L’étudiante coquine par Almaviva

 

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Je frappe à la porte, qui bientôt s’ouvre …

Une jolie fille apparaît dans l’embrasure de la porte : pas très grande, blonde, cheveux longs et mouillés, pieds et jambes nues, simplement vêtue d’une serviette de bain enroulée autour du corps, pas maquillée, la bouche pulpeuse et la moue mi-boudeuse, mi-rieuse, le rouge aux joues …

Elle sort manifestement de sa douche et à l’air décontenancée par ma ponctualité …

Elle me fait entrer, me demande un peu gênée de ne pas faire attention au désordre, et me demande de l’excuser quelques minutes, le temps qu’elle s’apprête un peu …

Pendant qu’elle s’est réfugiée dans la salle de bain, je jette un regard circulaire sur le studio, un convertible déplié, les draps en bataille, un ours en peluche contre l’oreiller et une petite nuisette tire-bouchonnée.

Un bureau style Ikéa avec des papiers, des bouquins et des magasines féminins en désordre, une chaise sur laquelle pendent une petite culotte et une brassière rose vichy, un coin cuisine en désordre également, avec une banane à demi-épluchée sur la table.

Les Brigands - L'étudiante coquine

Enfin, elle sort de la salle de bain, beaucoup plus présentable que tout à l’heure : elle a séché ses cheveux, les a rassemblés en queue de cheval, s’est fait un peu les yeux, à enfilé un débardeur blanc et une mini-jupe plissée écossaise ainsi que des ballerines.

L’étudiante m’explique qu’elle est en première année de fac de lettres modernes, qu’elle s’est pas mal amusée … notamment avec les garçons, je crois comprendre … que les examens approchent et qu’elle a beaucoup de retard par rapport au programme.

Je lui demande dans quel domaine ou matière je peux l’aider et elle me dit qu’elle a un cours difficile sur la littérature libertine du 18ème siècle, et notamment le Marquis de Sade, Casanova …

Je suis réponds que ça tombe bien, parce que je connais assez bien.

Nous nous installons à son bureau, l’un à côté de l’autre, commençons par faire un peu de ménage puis débutons l’étude de « Justine, les infortunes de la vertu ».

Elle a un peu de mal à comprendre les subtilités de cette écriture, je la sens troublée par l’histoire de cette jeune fille, toujours mal récompensée des efforts qu’elle fait pour rester dans le droit chemin.

En même temps, je m’aperçois, involontairement – mais nous sommes si proche l’un de l’autre, par l’échancrure de son débardeur, qu’elle ne porte pas de soutien-gorge, et je devine ses petits tétons se dresser et pointer à travers le tissus.

L’espace est assez exigu, je sens parfois sa jambe frôler la mienne, sans que je sache si elle le fait exprès et qu’elle conduite dois-je tenir.

Quand nous abordons des scènes un peu lestés, je sens mon étudiante rougir et s’agiter sur sa chaise, croiser et décroiser les jambes. Comme pour se donner une contenance.

Du coup, sa jupe, déjà pas très longue, bien qu’elle tire dessus régulièrement et pudiquement, remonte inexorablement sur ses cuisses, et je ne peux m’empêcher d’être attiré par ce spectacle touchant, discrètement, en tout cas j’essaie de l’être.

Elle ne porte pas de collant, et je peux admirer sa peau satinée, halée, signe qu’elle est souvent jambes nues … et, je ne peux m’empêcher de me demander quel style de culotte mon étudiante porte-t’elle, voir même si elle en porte une (Vu qu’elle n’a pas jugé utile d’enfiler un soutien-gorge … mais il est vrai que ses seins sont menus), et au delà, qu’elle joliesses cachent ce petit kilt …

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La suite, au prochain épisode …