Divine serveuse par Wolvie : partie 1

 

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Par une belle journée ensoleillé d’été, je me retrouve à la terrasse d’un café en compagnie d’un collègue de travail, profitant du début de week-end pour se détendre.

Mon collègue blagueur, raconte une blague qui me fait rire aux éclats, quand Aurélie, la belle serveuse aborde notre table. Elle nous demande ce que nous désirons boire avec un sourire gêné de nous interrompre. Ses grands yeux bleus me fixent avec un certain intérêt qui ne manque pas d’attirer l’attention du collègue. Sachant que ma timidité envers les femmes est importante et voyant que j’ai du mal à articuler devant cette sublime jeune femme, il prend l’initiative de commander pour nous deux :

— Je vais prendre une bière et mon ami timide ici présent qui a l’air de vous trouver très attirante prendra un jus de fruit.

N’étant pas du genre à parler doucement, ses paroles résonnèrent dans le café. Heureusement que nous étions les seuls clients de l’établissement malgré la saison, mais cela n’empêcha pas à la jeune femme de tourner au rouge pivoine en un quart de seconde et d’accompagner sa nouvelle couleur par un sourire ravageur et intéressé qui m’était passé complètement au-dessus car en plus d’être timide, je ne suis pas doué pour les signaux. Quant à moi, ma réaction fut plus violente, puisque mon coude vint frapper légèrement le côté de mon collègue de travail pour lui dire d’arrêter. Décidément, je me demande pourquoi j’accepte encore ses invitations…

La serveuse qui se présente sous le nom d’Aurélie, note la commande et tourne aller la préparer en dandinant son derrière lentement, comme si elle souhaitait être admiré.

— Ce cul qu’elle a cette petite ! Je le lui caresserai bien ! Me confie-t-il sans aucune discrétion avant de rajouter « Dommage que je ne semble pas être à son goût. Par contre tu lui as tapé dans l’œil ! La manière dont elle te dévore des yeux ne fait aucun doute. Fonce mon gars ! Les petites jeunes sont des cochonnes qui ne demandent qu’à être des chiennes de nos jours ! Oh attends, mon téléphone sonne. Merde, c’est ma femme ! Grrrrr… Toujours à déranger quand il ne faut pas celle-là ! »

Pendant qu’il répondait à son appel téléphonique après s’être levé et éloigné de quelques centimètres pour parler à sa moitié, je lançais de timides regards vers le comptoir à l’intérieur du bistrot pour voir si j’étais vraiment la cible de cette ravissante serveuse. Connaissant cet agaçant collègue, il doit se moquer de moi. Oui, je ne suis pas vraiment mince et oui, je n’aime pas mon corps, ni ma timidité, mais c’est pas une raison pour se moquer de moi à la moindre occasion !

Mais si seulement c’était le cas, que je l’intéressais vraiment malgré mon ventre un peu sorti et mes difficultés pour parler aux femmes, ce serait chouette. Elle est vraiment belle ! Un visage d’ange souligné par des yeux bleus perçants et un sourire rosé et des cheveux châtains tombant aux épaules et légèrement ondulés. Je ne suis pas particulièrement obnubilé par les poitrines, petite moyenne ou grande, peu importe pour moi, mais les formes suggérées sous ce chemisier blanc sont tout bonnement parfaites pour son petit gabarit.

Oh non ! La voilà qui croise mon regard et qui me sourit en me faisant un clin d’œil très sensuel. Elle va me prendre pour un pervers ! Et voilà que je sens mes joues chauffer ! J’avais tellement envie d’admirer cette jeune femme inaccessible encore un peu plus longtemps, mais mon regard a fuit naturellement et n’ose pas se relever.

Mon collègue se rapproche et me coupe dans ma panique interne.

— Désolé, mais ma chère moitié me casse les couilles avec les histoires de sa mère et veut que je rentre tout de suite. Comme j’ai dit que je t’invitais, je te laisse de quoi payer la note. Je dois y aller, plus je traîne, moins elle va me lâcher la grappe. A lundi !

Alors que je regardais ce collègue embarrassant s’éloigner en l’enviant d’avoir quelqu’un avec qui partager sa vie. D’autant plus que contrairement à lui, sa femme en plus d’être mignonne est adorable et gentille. Je la plains souvent de devoir supporter un tel relou… C’est alors que mes pensées furent coupées par le dépôt de mon verre devant moi. La belle Aurélie était revenue.

C’est alors qu’elle s’adresse à moi : « Il va bientôt revenir votre ami ? Nous allons bientôt fermer et je n’ai clairement pas envie d’attendre pour quelqu’un comme lui. Je sais que j’ai un beau cul, mais c’est le genre de rustre qui ne le touchera jamais ! »

Malgré toutes mes forces et mon courage je n’ai réussi qu’à lui répondre : « Il a dû partir. Une urgence apparemment. Mais sa bière sera payée. Dommage que je ne boive pas d’alcool. Vous … Vous voulez la boire à sa place ? »

— Cela me ferait plaisir, oui, mais à deux conditions : la première est que vous me teniez compagnie car boire seule est triste alors que boire avec un bel homme est flatteur. La seconde est que nous nous passions à l’intérieur comme cela je pourrai fermer le rideau et la terrasse que nous soyons tranquille pour éviter le relou qui arrive 5 minutes après la fermeture et me force à faire des heures supplémentaires. Déjà que je ne fais que rendre service à mes parents qui se sont éclipsés pour des vacances à l’étranger sans moi !

N’ayant que trop parlé, et m’étonnant moi-même du nombre de mots que j’ai réussi à lui dire, je me lève en guise de réponse avec les verres et les pose sur le comptoir. La voyant emmener les chaises à l’intérieur, je décidais de l’aider afin de rentrer tout le mobilier. Elle s’occupe de verrouiller la porte en verre, de rétracter le pare soleil manuellement, me faisant montre de ses formes gigotantes sous son débardeur. J’essayais de ne pas regarder, mais j’étais comme hypnotisé par sa beauté et ses formes. Alors j’essayais au maximum de masquer la direction de mon regard.

*

Ce spectacle, bien que trop court, fut suivi par une beaucoup moins sexy fermeture du store automatique qui plongeait radicalement le bar dans le noir. Cette pénombre ne fut que de courte durée, puisque Aurélie appuya sur l’interrupteur afin de faire naître la lumière dans le bar.

La belle se saisit de nos deux verres et les poses devant deux tabourets de bars face au comptoir et s’assied sur un. Elle tapote alors sur le tabouret voisin de sa main délicate pour que je vienne l’occuper.

Cette situation est bizarre pour moi : Dans un bar clos avec une belle inconnue qui semble ne pas se préoccuper de mes rondeurs. Le silence gêné qui commençait à régner fut brisé par sa voix sensuelle :

— Détends-toi, on boit juste un verre, je ne vais pas te manger. Quoique je te trouve craquant, alors peut-être bien que si. Hi hi hi !

Ne sachant pas quoi répondre et étant très intimidé, j’essaie de faire la conversation sur des sujets moins sensibles pour ma timidité :

— Alors tu… tu aides tes parents au bar ?

— Oui, ils sont chiants ! Heureusement qu’on vit à l’étage, sinon le bar serait resté fermé. J’aime pas rentrer toute seule la nuit. Les rues ne sont pas sûres. Mais je suis contente que les choses se soient déroulées ainsi, je suis en compagnie d’un bel homme tout à fait à mon goût.

Elle ponctua sa phrase en se rapprochant de moi et en me faisant un bisou sur la joue et me dit :

— Ça c’est parce que t’es adorable et mignon, tout timide comme tu es. Tu n’es pas comme ces beaux parleurs comme ton ami qui ne pense aux femmes que comme des objets… Tu veux un autre verre ?

J’acquiesce de la tête et elle n’attendait pas plus pour reprendre la parole.

— Par contre, tu dois boire ce que je désire que tu boives et me dire ce que tu en penses. C’est un cocktail que j’ai créé. Il est alcoolisé, mais si tu le bois, tu auras droit à une surprise.

Aurélie se mit à monter sur le comptoir et par redescendre de l’autre côté en faisant bien attention de bomber son derrière devant mon visage. Si j’en crois mes yeux, j’ai même aperçu sous sa jupe tailleur, un petit morceau de tissu rose. Aurais-je aperçu un petit peu de sa culotte ?

Et pendant que je me perdais dans mes pensées, tremblant de peur de la tournure que prennent les événements, je ne pouvais m’empêcher de l’admirer de dos pendant qu’elle préparait les cocktails.

Elle se retourna au bout de 2 minutes et déposa un verre devant moi au contenu coloré. Plusieurs couleurs se mélangeaient progressivement et en harmonie. Je ne voyais cependant qu’un seul verre. Peut-être allait-elle s’atteler au second ? Mais non. Au lieu de cela, elle se baisse puis se relève et insère deux pailles dans le verre.

— C’est un cocktail fait pour être partagé à deux en même temps. Tu es la première personne à qui je le fais goûter. J’espère que tu aimeras.

— Vas-y, me dit-elle en pressant ses lèvres autour de sa paille de son côté du comptoir. Je ne sais pas pourquoi, moi qui ne bois pas d’alcool, obéit aveuglément à cette déesse. Mes lèvres se déposent sur ma paille et commencent à aspirer en même temps qu’elle, ce cocktail délicieux et enivrant. Son regard ne quitte pas le mien une seule seconde, même si le mien essaie de fuir malgré moi, ses yeux tellement chaleureux et respirant le bonheur. Et seul le bruit de succion qui témoigne d’un verre vide brise le silence.

Je n’ai vraiment pas l’habitude, ma tête tourne un peu.

Sans dire un mot, elle approche son visage du mien et pose ses lèvres contre les miennes, sa langue forçant l’entrée. Je sentais du liquide s’écouler de sa bouche à la mienne. Elle avait gardé de ce cocktail dans sa bouche pour me l’offrir de la manière la plus excitante possible.

Aurélie décolle sa bouche de la mienne, puis lèche mes lèvres avant de s’occuper des siennes et reprend la parole après ce délicieux silence.

— Et maintenant la petite surprise que je t’ai promise. J’ai remarqué que tu as bien maté lorsque je fermais les stores. Regardes, ils sont plus jolis sans le débardeur.

C’est alors qu’Aurélie monta à nouveau sur le comptoir tout en se dandinant sur une musique qui ne passait que dans sa tête et remontait petit à petit et de manière très sensuelle son débardeur, juste au-dessus de moi. Le vêtement retroussé, mais non retiré laissait apparaître un soutien-gorge rose à dentelles noires sur les bords. Le sous vêtement mettait parfaitement en valeur cette poitrine bien ronde et rebondie. Mais il ne resta pas bien longtemps à couvrir ses seins, puisqu’elle le retira sans aucune gêne ne laissant aucun doute au naturel et à la fermeté de ses seins qui pouvaient tenir à peine chacun dans une main. Les tétons d’Aurélie étaient bien placés et dressées, durs d’excitation. Voir ces deux belles bosses se dandiner et gigoter au-dessus de ma tête pendant que la sublime brune se déhanchait, me donnait chaud. Très chaud. A moins que ce ne soit le cocktail qui ne me monte à la tête.

Elle se baisse vers moi, avançant ses seins libres vers mon visage qu’elle releva de sa main.

— Alors mon ange. Tu as envie de boire un autre verre ? Ne te gêne pas c’est gratuit pour toi. Tu auras même droit à une autre surprise si tu réponds à mon petit caprice.

Elle déposa son soutien-gorge sur ma tête et le frotta contre mon visage.

Avant de servir un autre verre de ce breuvage tellement torride, la belle se mit à quatre pattes sur le comptoir, me montrant sans aucune subtilité son derrière bien bombé et me cogna volontairement le visage avec en préparant la boisson dans cette position bien dangereuse.

*

Une fois le verre prêt, elle le dépose devant moi, ce coup-ci, en me présentant son visage et ses deux mamelons qui pendaient.

— Avant de le boire tous les deux, je t’excite ? J’ai une petite confession. Toi, tu m’as fait mouiller dès que je t’ai vu. J’aime les hommes avec un peu de ventre, je rebondis bien dessus quand je les chevauche. Et puis ils ont souvent une queue plus large pour remplir mes trous. Et t’es mignon tout plein, j’ai envie de te faire bien des choses et que tu me fasses tout pleins de choses aussi. Buvons !

Enivré par ces paroles autant que par sa beauté et que par l’alcool, j’obéis sans rechigner. Mes lèvres sur cette paille face aux siennes qui aspirait la sienne de manière très provocatrice sans me quitter du regard. Encore une fois, le silence fut rompu par le bruit de succion de la fin du verre.

Aurélie vient s’asseoir sur mes jambes, face à moi et plonge son décolleté sur mon visage.

— Tu veux ta surprise mon chou ?

Etant étouffé par sa poitrine douce et délicieuse, je ne pouvais qu’acquiescer en espérant qu’elle comprendrait ma réponse. Elle commence alors à caresser mon visage de ses tétons rigides d’excitation et en frôle un sur mes lèvres.

— Petit coquin. Je sens ta queue durcir dans ton pantalon. Tu n’as pas honte alors que tu n’as même pas eu ta surprise ?

Aurélie riait en disant cela. Elle s’amusait et commençait, elle aussi, à être enivrée de ses consommations. Elle gardait, cependant, pleinement le contrôle de ses actions. C’est alors qu’elle grimpa à nouveau sur le comptoir du bar et se remit à danser, à se caresser les seins et à danser pour son unique spectateur. Tout en restant debout sur cette estrade de fortune, elle se retourne vers le mur où se pavanaient fièrement les bouteilles d’alcool et se saisit grâce à la hauteur de ses talons d’une bouteille hautement perchée.

— Tu sais que le champagne c’est la boisson de l’amour ? Tu en prendras bien quelques lapées ?

Ma serveuse ne me laissait même pas le temps de répondre qu’elle retire complètement son débardeur et le jette avec négligence dans la salle. De sa main libre, elle commence à faire glisser sa jupe le long de ses hanches, puis de ses cuisses, laissant apparaître des bas assortis à son soutien-gorge. Oh putain ! La coquine n’avait pas de culotte ! Et aussitôt la jupe entièrement glissée, qu’elle s’attelle à débouchonner le champagne devant moi avec une telle grâce et aisance, de manière à ce que la mousse commence à dégouliner le long de son corps. Elle s’accroupi et me présente son sexe, très proche de mon visage.

— Viens me laper la chatte saveur champagne. Je veux sentir ta langue me déguster et boire le liquide directement à la source de l’amour.

La belle coquine me regarde avec des yeux suppliants. Déversant le champagne délicatement entre ses seins, le laissant s’écouler jusqu’à son minou vierge de tout poil puis, se déversant dans ma bouche après avoir caressé ses lèvres et son petit bouton.

Ma langue finie par agir toute seule en donnant quelques coups puis, ma bouche vint se coller contre son sexe afin d’aspirer tout ce qui était à sa portée…

À suivre…

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Histoire coquine ayant participé au concours un Satisfyer pour la journée des femmes