Kmille me domine par Alpha03 : partie 1

 

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Cela faisait déjà un an que je venais d’emménager dans mon appartement F1, dans cette petite résidence bien plaisante, pas trop loin du Centre Ville.

J’étais encore célibataire, et je me suis dit qu’avec toutes les filles célibataires qu’il y avait ici (Deux bâtiments, quand même), j’allais peut-être enfin trouver l’âme-sœur.

Mais ma timidité maladive continuait à prendre le dessus sur moi. Et les Marion, Christelle, Aurélie, Jennifer que je croisais, se contentaient d’un simple « Bonjour », tout comme moi.

A ce rythme là, au bout d’un an, difficile d’entamer une relation conjugale concrète.

Je rentrais donc tous les soirs chez moi, en me disant : « peut-être que demain … ».

Mais bon, demain était pareil qu’hier, je n’osais faire le premier pas auprès de toutes ces filles, qui n’osaient pas, non plus, m’accoster, elles devaient sentir mon malaise.

Résultat : je passais mes soirées, ou parfois mes journées, quand je ne bossais pas à fantasmer sur elles, sur des scénarios, qui, de toute façon ne se réaliseraient jamais, dans ces scénarios j’étais vraiment un gros cochon, et elles de grosses cochonnes ! Fantasme, quand tu nous tiens !

Puis, un jour, emménagea dans l’appart en dessous de chez moi, Kmille. Elle était brune, les yeux bleus, très jolie fille, souriante, agréable quoi, sexy … ! Pas pour moi donc, je m’étais déjà mis ça dans la tête.

Y’a pas plus mauvais départ que d’être négatif, il faut bien le dire.

Je me disais quand même « Peut-être qu’avec la nouvelle voisine … », puis une semaine passa, deux, puis trois, puis un mois, deux, quatre, six … et résultat : « Bonjour », « Bonsoir » quand on se croisait.

J’étais incapable de déballer d’autres mots et d’entamer une conversation.

C’était reparti comme avec les autres, et comme avec les autres, je fantasmais grave sur Kmille.

Puis un beau jour, week-end de 4 jours, du vendredi au lundi ! J’en profite, je me casse de mon appart et de ce bâtiment; j’en avais marre, besoin de changer d’air. J’avais quand même un joli appart, et je devais penser à changer la chasse d’eau et colmater une légère fuite de tuyauterie dans les toilettes. Fallait que je prévienne mon propriétaire, mais je me disais : « On verra ça après ».

Faut dire que je repoussais à chaque fois, et pour ne pas faire de fuite, j’avais placé une petite boite de conserve sous le tuyau, et je devais, à chaque fois que je tirais la chasse d’eau, contrôler qu’elle s’arrête bien au bout d’une minute en la maniant un peu, sinon, ça coulait toujours dans le tuyau.

Bref, je suis parti en vacances, mais je n’avais pas vérifié la fuite, trop content de me barrer, de partir me ressourcer …

Je rentre donc le lundi, et là …, je retrouve un mot sur ma porte :

« Fuite d’eau à mon plafond

prière de me contacter

logement 3, RDC

Kmille »

« Zut, j’ai une énorme fuite dans mon appart ! » me dis-je.

Je suis en panique, rentre chez moi, rien dans le salon et l’entrée, mais dans la salle de bain, fuite d’eau … ma chasse d’eau coulait toujours !

Je coupe l’eau, éponge, nettoie. Pas trop de dégats chez moi. Je descends donc voir ma voisine, qui est bien chez elle.

Les Brigands - Kmille me domine

— Excusez-moi, j’ai vu votre mot sur la porte, vous avez une fuite ?

— Oui, tout le plafond et une partie de mon papier peint est mort, vous avez dû avoir une inondation.

— Oui, je vais faire marcher mon assurance, ne vous inquiétez pas, je m’occupe de ça.

Bref, on fait les démarches, et … on se file nos numéros de téléphone, non …, je déconne malheureusement, je suis bien trop timide pour ça.

Enfin, le nécessaire est fait, l’assurance contactée, et 15 jours après, les travaux commençaient chez elle, salle de bain remise à neuf pour Kmille !! « Cool, mon assurance lui a payé une nouvelle salle de bain », me disais-je.

Puis au bout de quelques semaines, alors que je ne la croisais plus, elle me dit, un soir, dans le hall de la résidence :

— On m’a refait ma salle de bain à neuf, vous voulez voir ?

« Oui, pas de problème, je suis content pour vous, excusez moi encore », toujours ma gentillesse maladive, ça aussi …

Je rentrais donc dans son appartement, et constatais effectivement que la salle de bain était nickel. On discute alors un peu, de choses banales, du genre : « C’est pas mal chez vous », etc …

Puis elle me demande :

— Ça fait longtemps que vous êtes ici ?

— Oui, un pu plus d’un an et demi.

— Ah ok … et célibataire ?

Ça y est, elle venait de me poser LA question qui me gênait. On entamait un sujet sur les relations Amoureuses, et je ne pouvais m’empêcher de rougir à chaque fois, ou d’être mal à l’aise, de peur qu’on découvre ma virginité …

« Euh oui, pour l’instant, enfin qui vivra verra », j’utilise souvent des phrases toutes faites de ce genre, ça passe mieux.

« Divorcé ? », me répondit-elle.

« Euh non, célibataire tout court », disais-je bêtement, l’air étourdi, comme un adolescent un peu débile et mal dégourdi.

Elle avait senti chez moi mon malaise, et je suis sûr, qu’elle c’était doutée que j’étais puceau à plus de 35 ans ! P.t.in ! Elle avait deviné me disais-je, si elle parlait aux autres filles de la résidence, elles seraient toutes au courant, et pas moyen d’arriver à les draguer, quoi que de toute façon … J’envisageais le pire, comme d’habitude.

— Un mec comme toi, célibataire, c’est dommage pour nous !

Elle était beaucoup plus délurée que moi, c’est clair, moi j’étais comme un con, devant elle, souriant bêtement …

— Et y’a quelque chose qui fait que tu es toujours célibataire, sans indiscrétion ?

— Euh et bien, je préfère ma liberté, j’aime bien être seul .

Vraiment je disais n’importe quoi, je sortais ce qui me passait par la tête, sans réfléchir …

— Bah, c’est un choix, reste cool, t’es tout rouge, je ne voulais pas te gêner avec mes questions, ça va ?

— Euh oui ça va.

Et là, je ne sais pas ce qui m’a pris, je me suis lâché ! Il y avait longtemps que je rêvais de fantasme de domination, j’entends pas là, non pas dominer, mais être dominé. Etre soumis à une femme. Je le faisais déjà sur internet via les sites de showcam …

— En fait, j’ai un côté soumis, c’est peut-être aussi pour ça.

— T’es soumis, je m’en étais un peu douté, tu aimes ça ? c’est ton trip ?

— Bah oui, j’aime bien.

J’avais perdu un peu de ma timidité sur le coup, car je sentais monter l’excitation, et, je  me dis que j’avais peut-être trouvé, enfin, une maîtresse sexy, jeune et compréhensive.

« Mais bon, c’est un fantasme », rajoutais-je stupidement pour ne pas passer pour un pervers auprès d’elle.

— T’as déjà pratiqué ? ça m’intéresse, je n’ai jamais rencontré de soumis

— Euh non, jamais.

Si elle savait le nombre de séance virtuelle que j’avais faite devant ma cam.

— Ah ouais, ça te plairait d’essayer, là ? que je sois ta maîtresse, je sens que tu aimerais, juste comme ça, pour voir. J’adore les nouvelles expérience, si ça te dérange pas.

Elle m’avait touché droit au cœur, comment dire non ? comment résister ?

— Euh …

J’étais hyper excité, et bête comme mes pieds en même temps, incapable de déballer le moindre mot.

— Allez, on est entre nous, mets toi à poil ! t’inquiètes pas, ça va bien se passer ! je ne suis pas une malade, t’as rien à craindre !

Impossible de résister, je commençais donc à me déshabiller, en gardant mon maillot et mon slip.

— Euh, comme ça ?

— Non, j’ai dit A POIL ! totalement, de la tête aux pieds, je veux te voir entièrement nu devant moi !

J’exécutais immédiatement, la queue qui montait déjà, en érection devant elle.

— Ben dis donc, je te fais de l’effet, tu perds pas ton temps ! allez, tourne toi un peu que je te vois en entier … pas mal, qu’est ce que tu préfères dans la soumission ?

— Ben pas trop de douleur, plus les humiliations, les insultes un peu, un peu d’ordre à faire des branlettes.

En fait ce n’était pas un peu, c’était beaucoup, mais comment lui dire, peur de passer pour un pervers, j’étais quoiqu’il en soit totalement entre ses griffes, elle me dirigeait psychologiquement, m’avait atteint, et elle le savait déjà, car elle est intelligente, d’instinct elle avait compris comment me manipuler.

— Ok, bon ben tu vas commencer par te branler pour moi. Allez vas-y je te regarde, t’inquiète on est entre nous, et ça restera entre nous.

J’y allais donc doucement, puis un peu plus vite, sentant monter l’excitation en moi.

— Bien, arrête toi. Attends moi ici deux secondes.

Elle était partie chercher un truc dans la cuisine je pense.

— Alors mon cochon, comme ça tu es soumis, ça m’excite plutôt de te dominer. Tu serais prêt à devenir mon soumis ?  »

— Euh oui Maîtresse.

C’était la première fois que je l’appelais comme ça, désormais, elle avait marqué un panier à trois points !

— Bon, tu vas te branler à fond, mais sans éjaculer. Si t’éjacules, je te préviens, tu nettoies mon lino avec ta langue. Allez vas-y branle toi fort, sans cracher, et t’avises pas de t’arrêter !  »

J’allais jamais pouvoir me retenir. C’était impossible ! Ma première expérience réelle, devant une fille super canon sur qui j’avais déjà fantasmé. Mais je devais le faire. Quand je senti que ça montait, je la suppliais de me faire arrêter.

— Ça  va venir Maîtresse, faites moi arrêter, je vous en supplie ! je n’en peux plus !

— Bien, arrêtes-toi alors, je te testé, j’aime bien tester les gens. C’est bien, tu fais tout ce que je dis.

Indéniablement, elle avait pris une emprise psychologique sur moi.

— Pour ta récompense, tu vas pouvoir te branler à fond, pour moi, sans t’arrêter et en te lâchant bien. Éjacule dans ce kleenex par contre, j’ai pas envie de nettoyer ma salle de bain …  Allez c’est parti, astique toi bien mon cochon !  »

Quelques secondes plus tard, j’éjaculais d’un plaisir rarement atteint. J’étais ridicule, mais au septième ciel. Surtout, pris dans l’excitation, elle avait fait un truc qui m’avait encore plus excité, elle m’avait filmé en même temps que je me branlais.

— Tu vois, j’ai une petit vidéo de toi maintenant, en souvenir, où tu te branles et on voit même ta tête, tu aimes ça ?

— Oh oui !

Savoir que j’étais ainsi exhibé sur un support bien à elle m’excitait beaucoup.

— Maintenant, es-tu d’accord pour être entièrement à moi, toi mon soumis et moi ta Maîtresse ?

— Oui Maîtresse, je suis d’accord !

— Ok, alors rhabille toi, rentre chez toi, et on se revoit demain. J’ai d’autres surprises pour toi. J’avoue que ça me plait aussi, on a qu’une vie, et puisque t’es consentant pour réaliser ces fantasmes, pas de soucis. Par contre, n’espère rien en retour. Jamais tu ne coucheras avec moi, où je serai ta copine. On pourra se faire quelques sorties resto ou autres, mais pas plus d’affinités avec moi. T’es pas mon style mais en tant que soumis tu me plais bien.

— Ok, il n’y a aucun problème pour moi non plus, ne vous inquiétez pas.

Ce vouvoiement que j’avais envers elle prouvait sa supériorité incontestable.

— A demain, viens sonner chez moi à 18 heures !

— D’accord, pas de problème, à demain Maîtresse …

***

À suivre …

 

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