Le beau-père par Mia Michael : chapitre 1

 

***

Je n’ai pas toujours été une fille convenable … Oui, je sais, ça surprend !

Comme je devais travailler pendant mes études, j’ai fait un peu de tout : serveuse, vendeuse, barmaid … Le soir ou le week-end.

À cette époque, j’étais assez … délurée. Si bien que de temps en temps, j’allais dans un café assez … spécialisé d’une ville universitaire.

Là, les Messieurs qui ont de l’argent peuvent rencontrer des étudiantes qui n’en ont pas beaucoup. D’accord, ça ressemble un peu à faire la pute. Oui, mais non, pas vraiment. Il n’y a pas de macs, bien sûr …

Je me suis mariée et j’ai un peu continué les rendez-vous en douce … Si mon mari l’avait su, il y aurait eu une discussion animée entre sa main et mon derrière ! Je préférais vraiment éviter ça : manger debout, c’est pas mon truc !

Entendons-nous, je n’étais pas professionnelle, juste … dilettante.

Mia Michael - Le beau-père chapitre 1

Il y a quelque temps, je dis à mon mari que je vais boire un verre avec une collègue. En fait, j’ai rendez-vous dans un hôtel de passe, genre miroirs au plafond et sur les murs. J’aime bien cette ambiance.

— Ton client t’attend dans la chambre 11.

— Ok, j’y vais.

La porte de la chambre est entr’ouverte. Je toque et une voix depuis la salle de bain me dit :

— Déshabille-toi et va sur le lit, j’arrive.

J’enlève ma mini robe et c’est tout, j’ai oublié de mettre des dessous. Mais pour un rendez-vous de ce genre, c’est vraiment inutile.

Je me couche sur le lit, les jambes écartées, et je regarde mon reflet dans le miroir au plafond. Je me caresse un peu, ma sœur jumelle, au-dessus de moi, aussi.

La porte de la salle de bain s’ouvre et un gros Monsieur tout nu et tout souriant en sort et me dit :

— Bonjour ma petite Mia

Alors là, la surprise de ma vie : mon beau-père ! Bon, je referme la bouche, les jambes et je me retrouve me couvrant les seins et la chatte de mes mains … Je n’arrive à dire en bégayant qu’une réplique de vaudeville :

— Vous !!!! Ici !! Mais co … co ….

Il s’assied près de moi, met une main sur ma cuisse et me dit :

— Ah oui, moi … et ravi de te voir dans cette tenue qui te va à ravir. Quand j’ai appris ce que tu faisais, je me suis dit :  » Pourquoi ne pas lui rendre service et me faire plaisir ?  ».

— Mais c’est très horriblement gênant, beau-papa !

Pour tout vous dire, mon beau-père ne ressemble en rien aux fils que j’ai épousé ! Sauf qu’ils ne sont pas commodes, l’un et l’autre. Mon beau-père, c’est un gros type peu soigné, qui enlève ses dents à la fin du repas pour frotter son appareil avec un grand mouchoir. Bonjour la classe ! Il m’a déjà donné des petites claques sur les fesses, genre  » Allez dépêche toi. « . Ça fait rire mon mari, mais moi, pas du tout ! C’est vrai quoi, je veux choisir les gens qui me donnent des claques sur les fesses !

Il s’assied sur le coin du lit en face de moi. Son énorme ventre repose en partie sur ses cuisses et sur une énorme bite complètement en érection. Quelle horreur !! En plus de ressembler à un hippopotame mort depuis plusieurs jours, il en a l’odeur : la vieille ménagerie !

Pour tout vous dire, je préférais m’envoyer en l’air avec le chien du voisin … Euh … non, mauvais, très mauvais exemple ! Parce que le chien du voisin … euh … ce n’est pas le sujet.

Je préférerais baiser avec un Américain qui a une grosse touffe jaune sur la tête plutôt qu’avec mon beau-père … et pourtant, j’ai toujours voté à gauche.

Bref, je ne l’aime pas et surtout, il me dégoûte.

Il me regarde de ces petits yeux de goret, jouissant de me tenir à sa merci.

Il me dit :

— Quand j’ai appris qu’il suffisait d’un billet et d’un coup de téléphone pour te sauter, j’ai pas hésité.

Toute rouge et les larmes aux yeux, je gémis :

— Je vous en prie, beau-papa, vous n’allez pas vouloir profiter de la situation je ne vous ai jamais rien fait.

Il se marre … et me dit :

— Ah si, je vais en profiter. Tu m’as toujours traité comme si j’étais un vieux chewing-gum collé à la semelle de ta chaussure. Le chewing-gum va prendre sa revanche, tu vas le lécher et le sucer

— Je vous offre une collègue … même deux …

— Je veux ton cul et ta bouche. Tu vas me sucer la bite et puis je t’enfilerai et je jouirai dans ta vulve.

Il emploie des mots aussi crus pour m’humilier et ça marche!

J’ai encore un argument ! Je lui dis :

— Vous savez, je connais des gens … du milieu … prêts à me rendre service.

— Oooohhh ! J’ai peur !

Il frissonne exagérément, faisant trembler des dizaines de kilos de graisse rance.

— À moi les menaces maintenant ! Quand tu as fait une bêtise, mon fils te donne une fessée, non ?

Je rougis encore un peu plus. Comment il sait ça, le monstre ? Oui, mon mari me donne parfois des fessées, quand  j’ai fait des grosses bêtises, comme flirter avec un de ses amis …

C’est vrai, mais j’avais un peu picolé. Il n’était pas content du tout et … je n’ai pas pu m’asseoir pendant trois jours … Ouch !! Faire la pute, il va encore moins aimer ! Aïe, aïe, aïe ! Mon pauvre derrière !

Mon beau-père ajoute :

— Non seulement lui, mais les gens pour qui tu travailles, ta famille, tes amis …

— Mais … c’est du chantage !

— Tu crois ?? Ah ouais, c’est bien possible … C’est amusant, non ?

NON … mais bon, que puis-je faire ?

Il prend son pied, le gros salopard. Il m’annonce :

— Si tu as peur de ne pas être payée, je te rassure tout de suite : quand je t’aurai bien baisée, tu me tendras tes fesses et j’y glisserai un billet.

***

Si vous aimez mes histoires, vous aimerez mes livres. Ils sont ici sur Amazon.