Kmille à l’hôtel par Wolvie
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Nous sommes le samedi matin, Kmille est seule dans cette chambre d’hôtel, loin de chez elle depuis le début de la semaine. Fichu séminaire obligatoire qui la force à se séparer de son zizi attitré pendant 2 semaine alors qu’elle est excitée, en manque et insatiable en ce moment ! Et son chéri qui n’a pu finalement la rejoindre ce week-end à cause de son travail.
Kmille est seule, chaude et s’ennuie. Même le film porno à la demande qu’elle a commandé n’arrive pas à la calmer.
Pour essayer de refroidir ses ardeurs elle décide de prendre une douche qui, elle l’espère, lui offrira la détente qu’elle recherche tant.
Kmille retire d’abord son chemisier blanc sous lequel la belle n’avait pas jugé bon d’emprisonner sa poitrine généreuse et appétissante dans un soutien-gorge restrictif. Elle se caresse rapidement mais délicatement les seins du bout des doigts avant de retirer sa culotte qui cachait la seule chose que sa courte jupe ne dévoilait pas. La demoiselle était vraiment excitée, sa culotte trempée comme rarement, en est un témoignage frappant.
Kmille commence enfin à glisser délicatement sa jupe le long de ses cuisses, puis de ses jambes de rêve et se glisse sous la douche qu’elle mit en marche.
L’eau rafraîchissante ruisselle sur les courbes de la belle qui n’hésites pas à se frotter avec insistance tout le corps à l’aide de sa savonnette. Sa poitrine étant imposante, Kmille passe du temps dessus et dans son état, ses tétons durcirent rapidement, elle tenta de résister à la tentation qui lui aurait fait plus de mal que de bien.
La chaude demoiselle continue à se savonner le reste du corps en pensant à des choses qui ne l’excitent pas pour ne pas rajouter à cette torture d’abstinence, elle y est presque ! Mais c’est la partie la plus délicate : sa chatte doit subir le même sort que le reste de son corps.
C’est avec la frustration de ne pouvoir se débarrasser de son excitation extrême que Kmille commence à se savonner la chatte et malgré toute sa volonté, elle ne peut s’empêcher de se mordiller les lèvres en même temps et de ce caresser sa poitrine imposante. La belle est trop faible et à déjà la savonnette insérer dans son petit abricot sans même qu’elle s’en aperçoive…
S’en est trop, Kmille cède et sort brusquement de la douche pour fouiller dans sa valise. Encore mouillée de la tête au pieds, la douce peste contre l’impossibilité de trouver le gode qu’elle avait pourtant pris soin d’apporter pour exciter son homme avant de lui sauter dessus…
« Enfin, le voilà !« , s’exclama-t’elle.
L’engin en main, Kmille retourne sous la douche, équipé d’une ventouse elle colle le sexe artificiel contre la paroi vitrée de la douche, à hauteur de sexe d’homme et s’enfile le jouet dans son vagin avec un râle de soulagement. Son intimité non visité par un phallus depuis plusieurs jours est enfin en train de s’apaiser, enfin, c’est ce qu’elle espère… . Que voulez-vous, Kmille est une coquine très gourmande !!
Mais Kmille n’en reste pas là, elle commence à remuer sur le jouet avec ardeur, comme si sa vie en dépendait. Après quelques dizaines de secondes, la position devint inconfortable pour un plaisir solitaire. C’est avec déception qu’elle retire le jouet de son corps pour le prendre en bouche et goûter son propre jus. Alors qu’elle suce le sextoy, Kmille remarque le miroir placé en face de la douche.
Enfin plutôt que de le remarquer, puisqu’elle s’en sert pour s’habiller depuis plusieurs jours, c’est lui trouver une vraie utilité qui lui passe par la tête. Elle décide alors de coller le jouet sur la paroi extérieur de la douche pour bien faire face au miroir, à hauteur basse, Kmille recule à 4 pattes pour se prendre elle-même en levrette. La position est bien plus confortable ainsi et elle aime se regarder en train de se faire pénétrer, voir ses seins lourds gigoter sous les coups de queue, voir son visage envahis de plaisir l’a toujours excité. Ce n’est pas un homme mais la coquine insatiable était déjà moins frustrée par son manque de sexe de la semaine.
Toujours à la recherche d’un plaisir supérieur, Kmille fini par s’empaler le cul.
La cochonne aime radicalement, même si elle aurait préféré une vraie queue dans le fondement.
En dépit de ses sensations de libération, Kmille reste la moins bruyante possible pour éviter d’alerter les chambres voisines de ses activités on ne peut plus excitantes…
Non loin de là, quelqu’un frappe à la porte de la chambre, personne ne répond devant l’insistance de l’individu qui se décida alors à utiliser sa clef.
« Service de chambre !« , s’annonce l’homme qui venait de pénétrer les lieux.
L’homme qui n’a pas eu de réponse, et devant l’absence de pancarte sur la porte, en conclu que l’occupant était absent. Il commence alors à faire son travail, quand il entend de légers gémissements d’agonie. Sans y prêter attention, l’homme continue le ménage. C’est avec la répétition de ces petits gémissements qu’il alla voir, hésitant, dans la salle de bain, si personne n’était en danger.
Quelle ne fut pas sa surprise ! Au lieu de trouver un accidenté, c’est une belle cochonne en train de s’enculer avec un gode à ventouse qu’il admirait.
« Oh pardons, je suis désolé, je ne pensais pas…« , dit gêné l’homme de ménage en se couvrant les yeux et en se retournant.
« Vous n’avez pas mis la pancarte et personne n’a répondu lorsque je me suis annoncé, je suis désolé ! Je m’en vais ! »
L’homme commença à s’en aller quand Kmille le stoppa d’un : « Tu veux regarder ? Ça m’exciterais d’avoir un spectateur, en tout cas, ta bite est d’accord, elle. »
Un sourire coquin venant marquer son visage radieux, Kmille intensifie ses va-et-vient et commence à lâcher sa voix pour des cris plus bruyants, telle une bonne salope, tout en poursuivant ses va-et-vient toujours plus frénétique, elle ne lâche pas le regard de l’homme de ménage.
Il ne savait plus où se mettre, entre la situation insolite et l’excitation provoquée par Kmille.
Elle stoppa les va-et-vient et se retire de l’engin avant de se retourner, toujours en levrette, la croupe bien tendue face à l’homme de ménage, elle reprend le sextoy, toujours collé à la paroi de la douche, en bouche pour goûter brièvement à son anus.
Quelques secondes plus tard, elle décroche le jouet et enfile un peignoir qui pendait non loin, sans l’attacher. Kmille se dirige alors vers le lit en tirant l’homme par le bras pour qu’il la suive et s’allonge sur le lit, jambes écartées, le peignoir ouvert révélant le corps de la belle.
« Mon homme ne verrait pas d’inconvénient à ce que tu me baises, mais pour l’instant je veux juste que tu me mates et te branles pendant que je me touche. On verra pour le reste une autre fois ! »
Kmille a déjà le gode dans la chatte et attend que l’homme au physique banal, quoique légèrement ingrat, déballe son instrument bien plus envié.
La salope et comme une fille devant un cadeau de Noël quelques jours avant la fête, excitée mais ne touchera pas son cadeau.
Devant cette bite en train de s’ériger devant elle, Kmille commence à se caresser ses seins lourds et à agiter le gode dans sa grosse chatte gourmande. L’homme est de plus en plus confortable avec la situation, il commence à se branler devant le spectacle et les encouragement de la petite salope, là, allongée sur son lit.
« Branles toi !« , « Plus vite !« , « Jouis pour moi !« , faisaient partie des encouragements incessants qui revenaient le plus.
Plus l’homme se branle la bite, plus Kmille accélère le rythme des va-et-vient du jouet en elle.
Elle aime ces situations où elle est en charge, où elle fait monter le désir comme elle l’entend, contrairement d’avec son homme où elle est plus soumise. Mais le temps qui la sépare de la prochaine présentation de travail l’a empêché de prolonger le plaisir. C’est pourquoi Kmille indique à l’homme de s’approcher, puis sans prévenir, elle le prit en bouche.
Elle suce la bite déjà bien excitée par le spectacle qu’elle lui a offert, tout en le suçant elle continua à se goder la chatte, puis très vite, toujours plus excitée, elle décida de s’enculer l’anus, là en train de sucer un homme de ménage, telle une bonne chienne elle gode son anus de plus en plus vite.
Voyant que l’homme était sur le point de jouir, elle s’arrêta de le sucer pour s’allonger complètement. Tout en le branlant au dessus de son corps elle lui indique de l’enculer avec le gode toujours en place dans son cul bien ouvert.
Ça y est ! Il n’en peut plus ! Le sperme gicle sur les gros seins de Kmille en grosse quantité. Satisfaite mais persuadée qu’il en reste encore un peu elle continue à le branler pendant que l’homme de ménage continue à l’enculer délicatement et profondément avec le gode.
Le visage de la belle dessine un large sourire de satisfaction pendant que la bite de l’homme de ménage débande et laisse quelques gouttes de sperme s’échapper.
Après s’être caresser la poitrine et avoir étaler le sperme de cette homme inconnu sur sa poitrine encore dressée par l’excitation et surtout après avoir jouit sous les va-et-vient de cette homme au physique ingrat mais doué un gode à la main, elle se lève du lit, retire le gode de son anus, le tend à l’homme de ménage puis dépose un baiser sur sa bite épuisée.
Elle se retourne prend sur la table basse un papier et un stylo dans son sac à main, posé négligemment sur le sol, elle y note son numéro de téléphone et l’indique à l’homme de ménage puis elle file sous la douche prête à affronter une nouvelle journée, encore plus excitée mais bien moins frustrée…
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Très très excitant hummmm j’ai adoré merci.
Histoire très croustillante.
Dis moi est ce que ces photos sont récentes ?
Tu es chic et élégante, j’aime ta superbe toison ( de + en + rare de nos jours ), surtout conserves la 😆
Tu es pleine de sensualité féminine.
Ouaaaahhhhhh !!!!!
Quel récit !!!!
Cela faisait longtemps que je n’avais pas lu de récit comme celui ci, très excitant cela donne envie dans tous les sens du termes ! bravo !!!
Hummm très sympa ce scénario, merci Wolvie ! Mais une question Kmille, qu’en as-tu pensé toi ? Ce scénario aurait-il pu être réaliste ?
Bises coquines de nous 2 😉
Coucou Carla et Tony, merci pour ce commentaire 😉
Et bien pour répondre à vos questions j’ai publié cette histoire, donc oui elle m’a plu. Quant à savoir si ce scénario est réaliste. Je dois dire que non.
D’une, je n’ai jamais de séminaires.
De deux, à l’hôtel je verrouille toujours la porte et je mets toujours la pancarte, j’suis une flippée que voulez-vous 😳
En tout cas ravie que cette histoire vous ai plus.
J’espère que Wolvie nous gratifiera d’autres histoires coquines, bientôt.
Bisous
Joli récit !
Régulièrement en séminaire j’avoue que je ne laisserai plus jamais la petite pancarte et j’espère qu’une jolie femme de chambre rentrera à l’improviste 😀
Un récit très excitant.
Bisou.