Aux services du vieux pervers – Initiation perverse

 

***

Voilà deux jours que Karine a rencontré le vieux Jeannot et son garage des sévices.

La nuit dernière elle n’a pas fermé l’œil de la nuit.

Voyant sur ses propres murs des chaines, des pinces ici et là, sa penderie renfermée des tenues en cuir luisant. Mais Karine loin d’appréhender ces jeux se met à les imaginer, et à ce … caresser, là sous sa couette.

Sa main s’immisce dans son shorty, sa chatte brûlante de désir mouille abondamment, elle se doigte en pensant à ce que ce vieux Jeannot pourrait lui faire, elle aime ça. Puis vers 5 heures du matin elle finit par fermer les yeux.

7 heures une douce mélodie envahie la chambre de la belle Karine. Les yeux piquant, les cheveux ébouriffés Karine s’extrait difficilement de son lit. Une petite douche rapide, un brin de ménage elle est prête pour accueillir ses parents qui ne devraient plus tarder.

Ils viennent pour une journée étape avant de partir 3 mois en Espagne. Karine avait prévu de passer les voir cet été mais bon ce sera pour l’année prochaine. Cet été c’est révision et boulot pas de place pour l’amusement … sauf pour Jeannot le vieux pervers … Karine sort d’un clignement d’yeux cette pensée qui ne la quitte plus depuis la veille. Une partie d’elle l’encourage à dire oui, l’autre plus raisonnable lui rappelle ses études. Son souhait de devenir avocat d’affaire. Mais rien y fait cette pensée ne la quitte plus. Pire encore à chaque fois qu’elle y pense elle sent une légère excitation l’envahir et grandir en elle.

Toute la journée elle y pense et lutte pour ne rien laissé paraître devant ses parents. Le soir venu c’est décidé, demain elle l’appelle, juste pour lui poser quelques questions.

Ses parents sont partis depuis presque 1 heure quand Ludivine rentre. Ce soir elle a prévu une grande fiesta et presse Karine de l’accompagner. Comme d’hab’ Karine ne peut lui dire non et bon gré mal gré elle l’accompagne.

Mini-jupe, bas, botte, un p’tit débardeur sexy, une veste ouverte. Karine attire les regards, mais elle n’y prête pas garde, son esprit n’est pas là.

*

Le lendemain elle appelle comme prévu le vieux Jeannot, son vieux pervers.

Ça sonne … répondeur :

« Bonjour euh … Jeannot, c’est Karine la serveuse du Steak House, je vous appelle suite à votre proposition, j’avais quelques questions. Bon et bien j’essaierai de vous rappeler plus tard. Bisou ».

Bisou !? Elle se surprend à dire ce bisou. Les joues empourprées, excitées mais clairement déçues elle finit par reprendre ses esprits et se dit qu’elle le rappellera. Au pire et bien elle passera à autre chose.

Elle s’assied sur le bord de son lit et se reluque dans le miroir derrière sa porte : « J’suis pas mal pourquoi ce vieux pervers me fait cet effet-là. J’pourrai trouver clairement mieux, en plus hier soir j’ai eu quelques prétendant  »  en pensant à ça, machinalement elle fouille dans sa poche et en ressort 4 numéros de téléphones.

Dans l’excitation de la soirée elle n’a pas pris les prénoms : « Des numéros de téléphones sans nom super !!! »

Son téléphone sonne, elle regarde l’écran de son smartphone, numéro privé, elle répond quand même.

— Allô

— Karine ? C’est Jeannot, alors tu as réfléchis à ma propositions ?

— Ah oui, bonjour Jeannot, comment allez-vous ? Euh oui j’y ai réfléchis et euh … j’aurai quelques questions.

— Je t’écoute !!

— Euh et bien, euh … comment dire …

— Par contre dépêche-toi, j’ai plein de chose à faire si tu ne sais pas quoi me demander, je te rappellerai plus tard !!

— Euh oui non c’est bon, euh désolée … donc oui je voulais savoir ce que vous souhaitiez exactement ?

— Et bien c’est simple je recherche une jeune femme à initier, à soumettre, je cherche pour faire simple une femme qui saura me satisfaire.

Un peu estomaquée par ces propos Karine continue avec ces questions, tout en fouillant dans son chevet à la recherche d’un petit calepin et d’un stylo. Elle prend note

— Avez-vous des limites ?

— Aucune, je fais ce que j’ai envie quand j’en ai envie, mais tu peux toi fixer tes limites, je ne les franchirai pas.

— Pourquoi moi ?

— Ah la fameuse question, et bien je n’irai pas par quatre chemin ton air timide, ingénue et tes gros seins m’ont donné envie de te prendre en main. Tu es le genre de femme qu’on prend plaisir à soumettre.

— Ok … euh vous attendez une réponse pour quand ?

— Écoute Karine, je ne te force en rien, tu es partante ok. Sinon pas de soucis, des femmes il y en a plein, tu as plus besoin de moi que l’inverse. Mais je te promets que tu y prendras du plaisir, sois en certaine !

— …

— Karine, je dois raccrocher là, écoute réfléchis-y, et si tu es partante je serai toute la semaine à mon garage à partir de 13 heures, je t’y attendrai. Ce sera plus simple pour en parler, là je te sens un peu émue. Par contre si tu viens, je veux que tu viennes comme tu étais habillée pour ton service.

— Euh oui, euh ok.

— Très bien, alors peut-être à bientôt !

Sur ces mots il raccroche, Karine ne sait quoi penser, ses questions ont trouvé des réponses mais ces réponses l’ont embrumées plus encore. Pourtant cette conversation l’a excité. Cette façon de parler, d’être sûr de lui, cette franchise, cette assurance. Elle n’y tient plus, elle doit se …

Elle s’allonge sur son lit, déboutonne son jean, retire sa petite veste de la veille, sa chatte est encore en feu, ouverte. Ses doigts rentrent en elle, elle aime ça, elle est mouillée comme jamais elle n’a mouillé, elle se sent salope et elle adore ça. Très rapidement ses jambes se crispent, sa main se plaque fermement sur son clitoris, sa bouche s’entrouvre, elle gémit, elle jouit.

*

Midi, l’envie est trop fort, elle n’y tient plus, malgré les alertes de sa voix intérieure, elle s’habille, chemise rouge, pantalon noir, string soutien-gorge, bottes. Elle est prête et vers 13 heures elle se dirige vers ce lieu si excitant, si pervers. Serait-elle perverse elle-même ?

Une petite demi-heure après elle est devant ce garage, la voiture de Jeannot est devant, elle hésite puis se lance, elle frappe à la porte.

Jeannot, à l’intérieur, est en train de parler avec une habituelle, sa soumise préférée devenue depuis quelques années déjà plus une confidente qu’une soumise. Mais de temps en temps il aime la soumettre à nouveau, asseoir son autorité, lui rappeler que c’est lui le mâle dominant.

Il se lève et se dirige vers la porte, sans avoir au préalable quitté la conversation. Il a prévu de lui présenter cette future petite pute qui frappe à sa porte.

En ouvrant la porte il dit à Karine

— À très bien, justement je parlais de toi, alors tu as enfin osé !!

— Bonjour, euh … et bien oui.

— Sois pas timide, allez rentres, je ne vais pas te mordre, enfin pas aujourd’hui !

Karine rentre et remarque aussitôt l’ordinateur allumé, elle y distingue le visage d’une femme, la quarantaine à peu près, blonde, les yeux bleus, très belle.

— Karine, je te présente Alex, une amie que je prends en main de temps en temps.

— Ah euh oui, enchanté Alex, heureuse de vous rencontrer euh .. .virtuellement.

— Salut Karine, alors c’est ta première fois. Je suis sûre que tu ne sais pas trop quoi en penser ?

— Oui, justement Karine, j’avais pensé, pour te faire découvrir doucement mon univers te permettre de voir ce que j’attends en assistant à une séance avec Alex, qu’en penses-tu ?

— Euh … je ne sais pas trop, en fait euh, désolée Alex, mais je ne préfère pas trop, je préfère le découvrir lentement, par moi-même.

— Ok je comprends et c’est ta décision, pas de soucis.

Sans autres mots le vieux pervers s’approche du PC et coupe la conversation puis se retourne face à Karine.

— Bien assieds-toi !

Il lui indique du doigt une chaise juste à côté d’une table matelassée.

Karine s’assied en scrutant une nouvelle fois cette pièce au mille perversions.

Jeannot reste debout et tout en lui parlant il tourne tel un prédateur autour de sa proie.

— Alors, aujourd’hui on va commencer doucement, le but est de te faire découvrir les sensations qu’on approfondira au fur et à mesure !

— …

— Mais avant de commencer, je dois te fixer quelques points.

— Euh …

— Inutile de parler, contentes-toi d’écouter, ensuite tu me diras si c’est ok pour toi, si tu n’es pas ok tu peux à tout moment quitter la pièce, c’est compris ?

— Euh oui oui, je vous écoutes.

— Bien, déjà tu me vouvoie et ça doit rester ainsi, ensuite tu ne feras rien sans ma permission. Hier c’était la dernière fois que tu sortais sans me le dire !!

Surprise Karine n’en revient pas : « Quoi, il m’a surveillé durant ces deux derniers jours ! »

Jeannot ayant remarqué sa stupeur poursuit :

— Et oui ma belle, je connais du monde, surtout le monde de la nuit et autant te dire que ta tenue d’hier soir n’est pas passée inaperçue !

— …

— D’ailleurs je crois que tu as eu quelques numéros de téléphones, c’est très bien, ne les jettes surtout pas, il nous serviront pour plus tard.

— Euh … d’accord.

— Bien donc ensuite, je veux que tu viennes ici tous les deux jours, on ne fera pas de séance à chaque fois mais je te donnerai quelques ordres à suivre et tu devras les suivre sous peine de punitions.

— Quel genre de punitions ?

— Tu verras, mais crois-moi elles te feront passer l’envie de désobéir !

— Euh je suppose que c’est ok pour moi.

— Très bien, ensuite tu dois savoir ce que j’aime.

Il accompagne ces mots en lui tendant une pochette cartonnée.

— Ne l’ouvre pas de suite, tu lieras ce qu’il y a dedans ce soir ! Maintenant, attends-moi là je reviens

Jeannot s’éloigne vers une espèce d’établi, il en retire quelques accessoires qu’il vient poser à côté de la table matelassée.

Karine distingue un plug, des pinces, un foulard, un bâillon.

Jeannot prend le foulard et s’approche de la belle :

— Lèves-toi et mets se foulard, caches-tes yeux, tu ne dois rien voir.

Karine se lève et passe le foulard autour de sa tête, devant ses yeux, elle est dans le noir, elle appréhende mais l’excitation en elle grandit encore un peu plus. Son souffle se fait plus rapide, plus haletant. Voilà elle ne peut plus faire marche arrière, elle se sent sous l’emprise d’un homme et elle se surprend à aimer ça.

— Très bien, maintenant déshabilles-toi !

Un par un Karine déboutonne sa chemise laissant apparaître sa poitrine généreuse, ses tétons gonflés par l’excitation. Elle le retire ses bottes, déboutonne son pantalon le retire et reste en string et soutien-gorge.

— Enlèves tout, je te veux entièrement nue !

Hésitante, ne voyant rien, Karine dégrafe son soutien-gorge puis le laisse tomber à ses pieds. Elle retire ensuite son string et laisse apparaître un petit ticket de métro très bien entretenu.

— C’est parfait, maintenant vient t’allonger sur le table

Jeannot la prend par le bras puis la guide sur la table matelassée.

— T’es sacrément bien foutue, je ne m’étais pas trompé, tu es prête !?

— Euh oui je crois.

— Très bien, je veux que tu me décrives tout ce que tu ressens, c’est bien compris ?

— Oui

— Oui qui ?

— Euh … oui Monsieur ?!

— Très bien, je t’ai dit, à partir de maintenant tu me vouvoies et surtout tu termines tes phrases par Monsieur, c’est compris ?

— Oui Monsieur

— Parfait, allez on commence, écarte tes jambes et mets tes bras le long de ton corps. N’oublies pas, je veux que tu me décrives tes sensations !!

Karine écarte légèrement ses jambes et poses ses bras le long de son corps. Sa chatte est déjà bien ouverte, tous ses sens sont en éveils elle sent l’excitation décupler en elle.

Jeannot écarte un peu plus ses jambes jusqu’à voir sa chatte béante, il la regarde et ne manque pas de commenter

— T’as une sacrée chatte gourmande ma salope, tu mouilles déjà, ça t’excite !?

— Oui Monsieur

— C’est parfait tout ça !!

À côté d’elle il commence par prendre ses seins en main, effleures ses tétons durcis, les pince légèrement, délicatement il les fait glisser entre ses doigts, et d’un coup, s’en crier garde il gifle son sein droit.

— Je t’ai dit quoi Salope ?

— Euh de vous dire ce que je ressens Monsieur

— Et donc, je t’écoute !!

— Euh … c’est bon Monsieur.

— N’oublie pas de me dire ce que tu ressens, sinon je vais te punir dès aujourd’hui !!

— D’accord Monsieur.

Jeannot continu à titiller les tétons de Karine puis il prend une petite pince à tétons, la serre au minimum et la pose sur le téton droit

— Humm c’est bon Monsieur

— Tu aimes ?

— Oui Monsieur.

Il retire alors la pince et la serre un peu plus puis la remet sur le téton droit

La douleur saisie Karine :

— Humm oui, c’est bon Monsieur.

Jeannot tapote doucement puis plus vivement la pince sur le tétons de Karine, puis de l’autre main il pince plus fortement le téton gauche de la belle

— Oh oui Monsieur c’est bon

— Tu aimes ça ma salope ?

— Oui Monsieur, j’aime ça

Sur ces mots Jeannot prend un gode et se dirige vers la chatte de Karine

— Ton clito est énorme, t’es une belle salope toi !!

— …

— Tu aimes être Salope ?

— Oui Monsieur

— Alors dis-le !!

— J’aime être une salope Monsieur, j’aime être votre Salope !

Il enfonce le gode dans sa chatte, il rentre tout seul, puis il pince le clito de la belle, fermement et tire légèrement dessus

— Humm Monsieur, oui, c’est bon !

— Bien, très bien, maintenant tu vas te mettre en levrette, le cul bien tendu en arrière.

Karine s’exécute son excitation et de plus en plus intense, la douleur sur son téton droit s’amplifie grâce à la gravité, son sein pend, la douleur l’excite.

Jeannot lui assène une claque sur le cul qui ne manque pas de faire gémir la belle

— Oui Monsieur c’est bon ça !!!

Excité Jeannot lui met quelques fessées de plus en plus fortes, chacune d’elle fait gémir la belle, sa vulve se contracte au point de faire ressortir le gode.

Jeannot le prend en main et l’approche de la bouche de Karine

— Ouvre la bouche salope et suce ça !

Il lui enfonce le gode dans sa bouche

— Alors c’est bon ma salope ?

— Oui Monsieur

— Tu as bon goût ?

— Oui Monsieur

— Très bien descend de la table maintenant

Karine descend difficilement de la table. Jeannot lui indique son envie de la baiser, elle ne dit pas non, clairement elle en meurt d’envie

— Allez penche-toi en avant, je ne veux pas que tes seins soient appuyer sur la table, je veux qu’ils pendent, compris ?

— Oui Monsieur

Jeannot enfile d’une main un préservatif et pénètre Karine sans ménagement.

Malgré son âge avancé il se déchaîne tout aussi fougueusement qu’un jeune. Au rythme de ses va-et-vient il claque le cul de Karine, qui gémit sous les assauts effrénés de ce vieux pervers

— T’aime ça ma pute ?

— Oui Monsieur

— Alors couine plus fort, j’veux t’entendre, montre-moi que tu es une bonne salope !!

Il continu ses va-et-vient implacable Karine gémit de plus en plus fort, ses seins ballottent d’avant en arrière, la pince lui procure douleur et plaisir, elle aime ça.

Jeannot adore la baiser, un sourire de satisfaction s’imprime sur son visage. Il agrippe les cheveux de Karine pour lui permettre de la culbuter encore plus profondément.

Le cul de Karine est rougi par les claques du vieux pervers. Claques qui sont, au fur et à mesure, de plus en plus fortes.

Il se retire d’un coup sec, retire la capote de sa bite

— À genou Salope !!!

Karine obéit et se met à genou, face à Jeannot, les yeux toujours bandés

— Tu vas me montrer comment tu suce ! Retire ton bandeau

Karine retire son bandeau et se retrouve face à face avec la bite de Jeannot, un monstre, plus de 20 centimètres et un gros diamètre, jamais elle n’avait vu ce genre d’engin.

— Allez suces-moi !!

Elle suce timidement le gland de Jeannot, puis descend le long de son chibre, entièrement épilé, en direction de ses couilles. Jeannot presse son visage contre ses deux grosses couilles bien pendantes, bien pleines.

Puis la tenant par les cheveux la fait remonter le long de cette énorme bite.

Il prend alors la tête de la belle Karine entre ses deux mains puis enfonce sa bite dans sa bouche, il lui baise la bouche de plus en plus profondément, puis il l’enfonce d’un coup.

Le haut de cœur ne se fait pas attendre, il relâche alors la pression puis reprend ses va-et-vient sans laisser le temps à Karine de s’en remettre. Puis encore une fois il l’enfonce d’un coup.

Karine bave sous les assauts de ce vieux pervers qui n’arrête pas ses va-et-vient dans sa bouche.

Quand il en a assez il lui ordonne de le branler sur ses deux gros seins.

Très vite son sperme de vieux pervers inonde les gros seins de Karine.

— Alors ma belle, tu as aimé ça ?

— Oui Monsieur

— Très bien, alors tu vas t’allonger au sol, là, et tu vas te caresser jusqu’à ce que tu jouisses, j’veux plus une goutte de sperme sur tes seins, compris

— Oui Monsieur

Karine s’allonge sur le sol, devant Jeannot et lance sa main droite vers sa chatte, vers son clito gonflé par le plaisir, sa main gauche caresse ses deux seins.

Très vite elle attrape son clito entre ses doigts, elle le fait tourner entre doigts. Sa main gauche enduit ses seins avec ce sperme encore chaud.

Elle finit par se faire jouir comme jamais, crispant ses jambes, raidissant son bassin, sa main se plaquant fermement sur son clito, sur sa chatte, son gémissement, son râle indique clairement son plaisir, ses seins reluise du sperme de Jeannot.

— Super ma Salope, rhabille-toi. Je veux que tu gardes mon sperme sur toi jusqu’à ce soir ! Ce sera ta première épreuve.

— Euh …

Dégoûtée mais excitée, Karine finit par acquiescer en terminant sa phrase par Monsieur.

— Autre chose Karine, ce soir, tu feras une liste de tes limites et demain tu me l’apporteras, je crois que je vais avoir envie de te baiser tous les jours. C’est compris ?

— Oui Monsieur

— On se revoit Vendredi et je veux que tu viennes avec ça

Il lui tend un Rosebud de petite taille

— Je crois que ton cul ne demande que ça, et j’ai vraiment envie de t’enculer, donc d’ici peu ton cul devra aussi m’appartenir, compris ?

— Oui monsieur.

Karine se rhabille, pendant que Jeannot range ces ustensiles.

Puis tous deux, ils sortent de se garage au mille perversions.

Jeannot raccompagne Karine chez elle.

Tout le long du trajet il s’enquiert de savoir si elle a apprécié, ce qu’elle en a pensé.

***

Sommaire

Aux services du vieux pervers, Chapitre 1 : Une rencontre

Aux services du vieux pervers, Chapitre 2 : Initiation perverse

Aux services du vieux pervers, Chapitre 3 : Karine, une salope soumise ?

Aux services du vieux pervers, Chapitre 4 : Exquise punition

Aux services du vieux pervers, Chapitre 5 : Marquis !

Aux services du vieux pervers, Chapitre 6 : Jeannot

 

Note de l’Autrice :

Cette histoire est une fiction (Ou pas…) volontairement libérée. Toutes les scènes décrites dans La visiteuse, ne représentent pas la vision du sexe par les femmes. Chaque femme est libre d’explorer sa sexualité selon ses envies. Merci de respecter les femmes, nous sommes si douces et si belles, et surtout nous sommes douées de conscience 😉

 

Retrouvez toutes mes histoires érotiques dans ma rubrique Kmille raconte.

Retrouvez la préquelle des aventures de Karine dans Lutte des classes.