Le train des plaisirs par Wolvie

 

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Kmille part rejoindre son homme en vacances qui est déjà sur place.

La belle s’y rend en train par une ligne de nuit, plus économique et moins étouffante pour le trajet : c’est l’été et l’air à l’intérieur d’un train est rapidement irrespirable à cause de la chaleur.

Elle se retrouve dans un compartiment de 4 couchettes individuelles – 2 de chaque côté – dans lequel se trouvent déjà deux personnes : un homme et une femme qu’elle estime ayant un âge sensiblement identique au sien. La coquine ignore si ces deux personnes sont ensemble ou pas, mais elle semble bien tombée pour le plaisir des yeux.

Lui, est plutôt mignon et à une paire de fesses qu’elle palperait bien, tandis que la demoiselle, Kmille en ferait sans hésiter son quatre-heures. Sa poitrine ferme de la jeune femme ressort légèrement de son décolleté généreux et la mini-jupe qu’elle arbore ne laisse pas grand-chose à l’imagination quant à la perfection de ses jambes. Kmille a décelé l’absence d’une culotte, à moins qu’elle porte un string très discret. En tout cas, Kmille en est toute émoustillée.

Ils n’ont échangé qu’un simple bonsoir jusqu’à présent, mais Kmille aimerait bien en savoir plus pour assouvir sa curiosité. A priori, le couple n’en n’est pas un. Ils se sont retrouvés par hasard dans le même compartiment qui leur a été attribué lors de la réservation. Cependant une tension sexuelle était palpable entre les deux. Il y a fort à parier que si la belle n’était pas entrée, ils seraient en train de s’embrasser à l’heure qu’il est, tellement leurs regards fuyants mais intenses, et la rougeur des joues qu’ils exposaient à chaque fois que leurs regards se croisaient était révélateur pour notre experte en coquineries.

Le silence continue de régner dans le compartiment, et cela pendant plusieurs dizaines de minutes. Kmille qui n’avait pas mangé, sort un Tupperware dans lequel elle avait mis le reste de lasagnes qu’elle avait dans le frigo. Elle commence à sortir également ses couverts lorsqu’elle se sent observée et propose à ses colocataires de voyage s’ils désirent un morceau. C’est avec plaisir qu’ils acceptent : elle vient de briser la glace.

Autour de ce repas à la bonne franquette, les langues commencent à se délier. Lui, Rémi à 33 ans. Il part en vacances rejoindre sa copine, tandis que la pulpeuse demoiselle qui a 25 printemps et porte le nom de Diane se rend sur les lieux de son boulot d’été. Kmille, coquine comme elle est n’hésite pas à agrémenter la conversation de quelques allusions comme quoi ils feraient un joli couple, qu’ils sont mignons tous les deux, etc.

Le train part enfin et le début du trajet continue sur cette lancée. Mais rapidement, Diane commence à fatiguer et s’installe sur la couchette du haut. Rémi en fait de même sur la couchette juste en dessous. Kmille est seule de son côté, il semble que personne ne viendra occuper la couchette en dessous d’elle. Dommage, elle qui aime tant être au-dessus de quelqu’un. Voyant que les deux sont prêts à dormir, elle décide déçue d’en faire autant.

Quelques temps après, elle entend un bruit étrange, mais pourtant bien familier venant de la couchette du bas. Rémi serait-il en train de se masturber dans la pièce où deux jeunes et ravissantes femmes dorment ? Kmille est plus étonnée que choquée. Au contraire, cela l’excite bien de l’imaginer se toucher à l’abri des regards. n’arrivant pas à fermer l’œil, elle décide d’en faire autant. Elle glisse sa main dans son pyjama et commence à se caresser en faisant attention à ne pas alerter ses voisins.

Ce sont cependant les bruits suivants qui étonnèrent la belle.

« J’aime ta queue, Rémi. Je peux la sucer ?, demande Diane.

— Bien sûr. Tu me branles si bien, alors sucer, ça va être le pied ! Mais ne parle pas si fort ! Tu va la réveiller. », lui répond tout bas Rémi avant de pousser un léger râle de plaisir indiquant distinctement que la demoiselle a enfourné son sexe dans la bouche et l’entreprend avec ardeur.

Kmille en a les doigts trempés rien qu’à les imaginer faire ça devant elle sans qu’ils ne la sachent réveillée. Elle est très excitée et se retourne pour se retrouver sur le côté face au mur et se doigter plus profondément tout en évitant d’attirer l’attention. Les bruits qu’elle entend l’excitent. Ça y est, il semblerait qu’elle lui soit monté dessus et qu’ils baisent. La coquine ne lui a pas enfilé de capote. Kmille aimerait vraiment les rejoindre, mais se retient fortement de peur de les effrayer et les intimider l’un comme l’autre. Alors elle continue de se caresser le minou et d’enfoncer ses doigts dans son intimité en écoutant les bruits étouffés qu’ils génèrent de leur voix ou de leurs corps qui se cognent.

Mais la belle veut voir. Elle veut voir Diane nue pour admirer ses seins généreux. Elle veut observer la verge de Rémi jusqu’à en baver d’envie. Alors délicatement, elle se retourne. Ouf ! Ils ne l’ont pas remarqué ! Diane est là en train de chevaucher Rémi. Kmille, la main sur son intimité continue de se toucher en regardant cette poitrine rebondir sur les mouvements intenses, mais camouflés de ces ébats. Ce n’est qu’après que sa vue se soit habitué à la pénombre des lieux, ainsi qu’un petit calcul basé sur l’anatomie, qu’elle conclut que Diane se fait sodomiser depuis le début.

Rien qu’à l’idée, les doigts de la main libre de Kmille se dirigent instinctivement vers son propre tunnel étroit et se mettent à stimuler la zone interdite, mais si bonne.

Diane se retire et s’allonge sur le côté. Rémi collé contre elle, la pénètre à nouveau dans le même trou. Ils n’ont pas remarqué que Kmille les observe. Pourtant, il ne leur suffit que de lever les yeux de quelques millimètres. S’ils savaient ! Ce voyeurisme l’excite au plus haut point, elle ne peut s’empêcher de goûter à sa mouille. Malheureusement avec un bruit un peu trop fort, provoqué par la succion de ses lèvres, ils remarquent enfin que la belle les mate en train de faire leur affaire.

Pris sur le fait, les deux coquins s’arrêtent en pleine action, gênés et observent Kmille après avoir allumé la lumière.

— Ne vous dérangez pas pour moi, mes loulous. Continuez, ça m’excite ! A moins que vous ne vouliez un petit peu de compagnie, on pourrait bien s’amuser tous les trois !

Les deux se regardèrent un peu gênés, puis Rémi lui dit : « Je suis un mec, ma réponse est évidente ! Donc si t’es d’accord Diane, pourquoi pas ! »

Diane reste hésitante. Elle qui est habituellement sage, se retrouve propulsé d’une vie calme vers un plan cul dans un train avec un inconnu et cela se finirait dans un trio avec une autre femme ? Elle n’a jamais fait l’amour à une femme, mais a toujours été curieuse d’essayer au moins une fois. Et puis, cette Kmille est sacrément mignonne ! Mais elle n’a pas envie de passer pour une salope

Telles furent ses premières pensées interrompues par Kmille :

— Tu vas aimer me goûter le minou, je te le promet. On ne vit qu’une fois, et je vois dans tes yeux que tu en as envie. Alors vis !

Diane se laisse ainsi convaincre par Kmille qui descend du lit avec une insatiabilité phénoménale. Elle avait retiré on ne sait quand son haut de pyjama qui dévoilait sa poitrine dont les tétons sont déjà bien durcis par la situation. Le bas de son pyjama ne reste pas longtemps non plus sur son corps, dévoilant le reste de l’intimité de la belle.

Elle s’avance vers Diane et l’embrasse debout tout en commençant à lui caresser le minou.

« J’aime tes seins ma coquine », lui dit Kmille. « Ils sont bien gros et fermes. »

— Les tiens sont jolis aussi », lui répond Diane qui commence à embrasser les tétons de Kmille.

Rémi se sentait un peu à l’écart, alors il se lève derrière Diane et commence à lui embrasser le cou, son sexe pressé contre les fesses de la jeune demoiselle.

« Tu aimes ce sandwich rien que pour toi, ma belle ? », lui demande Kmille. « Viens on va le rendre encore meilleur ! »

Ainsi, Kmille s’allonge sur la couchette initialement vide et invite la jeune coquine à la rejoindre en position de 69.

« Viens et mange-moi comme tu aimerais qu’on te goûte ma belle !»

La jeune femme s’exécute et commence à donner de juteux coups de langues à Kmille qui ne peut s’empêcher de réagir positivement en assénant les siens sur le minou de la demoiselle.

Rémi était aux anges de voir deux sublimes femmes se donner mutuellement du plaisir. Mais comme Kmille avait parlé de sandwich, il ne se fait pas prier pour les rejoindre derrière Diane.

« Hum, voici un invité surprise qui vient te visiter. Je vais lui donner son laisser passer », dit Kmille avant de donner un bisou sur la verge prête à pénétrer à nouveau les fesses de Diane.

Rémi s’insère à nouveau en la demoiselle et Kmille ce coup-ci est en place VIP ! Les testicules se balancent juste au-dessus de son visage, à chaque coup qu’il assène à l’intérieur de la belle. A certains moments même, elles la frôlent, donnant un prétexte à la belle pour sortir sa langue de Diane et d’essayer de les attraper.

« Il t’encule bien ma belle ? », lui demande Kmille

— Oui, j’aime sa queue dans les fesses ! C’est trop bon !

— Alors, on va changer de position, ce sera plus confortable pour tout le monde.

Les trois coquins se désemboitent les uns des autres et laissent Diane s’allonger seule. Kmille vient présenter sa minette au-dessus du visage de sa partenaire et ordonne Rémi de lui défoncer le minou qui n’avait encore reçu aucune visite.

Diane commence à crier sous les coups de gourdins, mais ses cris sont rapidement étouffés par Kmille qui pose son minou sur les lèvres de la coquine.

— Là… Joue bien avec ta langue en moi, ma belle. C’est trop bon ma belle. Diane, tu es une bouffeuse de minou née !

Pendant que les deux femmes s’adressaient la parole, Rémi s’ennuyait un peu, même s’il participait, d’être mis à l’écart de ces jeux verbaux. C’est alors que complètement enfoncé dans Diane, il se met à caresser les seins de Kmille.

« Te voilà enfin, toi ! », lui lance la belle soulagée. « Je me demandais quand est-ce que tu allais essayer de t’occuper un peu de moi. Assieds-toi, je veux te chevaucher. »

Rémi s’exécute rapidement. Kmille ouvre sa valise et en sort une boite de préservatifs. Elle en retire un, le sort de son emballage pour le dérouler autour de la verge de Rémi.

— Voilà, mon loulou, regarde, mon minou est tout gonflé rien qu’à l’idée que tu vas me pénétrer avec ton gros engin. Si mon chéri était là, il viendrait me combler les fesses aussitôt pendant que tu t’occupes de mon abricot.

Kmille s’assoit sur Rémi, lui aussi assis et elle commence à le chevaucher les bras autour du cou.

Diane se retrouve à son tour seule, mais est rapidement invitée par Kmille à venir lui faire des bisous. La scène dure ainsi 2 petites minutes, jusqu’à ce que Kmille eut une idée :

— Y’a pas mon homme, mais j’ai un gode ceinture dans ma valise ! Ça te dirait de prendre les fesses d’une femme ma belle ? J’ai envie d’une bonne double, mon homme me manque trop. Va le chercher ! Le gode est dans la boîte que j’ai sortie. Prends-le, enfile-le, puis enfiles-moi !

Diane fouille dans la fameuse boîte et y trouve une vraie caverne d’Ali Baba du plaisir et en rougit à la fois d’envie et de honte. Elle se saisit du gode ceinture et l’enfile, puis sort le lubrifiant qui était également dans la boite. Cela lui fait bizarre de se retrouver avec un pénis, même s’il est artificiel. Elle ne peut s’empêcher d’essayer de masturber cette verge de plastique, par instinct, sous les yeux amusés de Kmille qui en lèche ses babines.

Personne ne dit mot. Diane étale le liquide bien partout sur le jouet, puis en dépose une noix au bout de ses doigts qu’elle approche de l’anus de Kmille qui a arrêté de bouger sur Rémi.

Diane pose ses doigts et masse l’entrée de la belle pour bien préparer l’insertion de l’objet, puis encouragée par Kmille, se positionne derrière elle pour entrer enfin.

« HO putain, c’est bon ça ! On dirait que tu as fait ça toute ta vie ma cochonne ! Maintenant, vous savez ce qu’il vous reste à faire tous les deux », rugit Kmille au centre de ce sandwich appétissant.

Effectivement, ils savaient ce qu’ils avaient à faire et Kmille était en extase de les sentir tous les deux, chacun dans son tunnel, la pénétrer, se frotter dans ses trous. Elle ne pouvait s’empêcher de crier. D’autant plus que pour la pénétrer, Diane enlaçait Kmille et jouait avec ses seins. Elle sentait également la poitrine de la belle se coller contre elle. Kmille était aux anges au point qu’elle venait de jouir pour la quatrième fois en moins de 3 minutes tellement elle était stimulée et excitée.

A bout de souffle, Kmille invite ses partenaires de changer de cible : ce coup-ci, c’est Diane qui va se prendre deux pines !

Rémi s’allonge sur le dos, puis dos à lui, Diane s’empale sur sa verge désormais dénudée, fesses les premières, laissant le champ libre à Kmille pour entrer par la grande porte.

Pour l’ingénue Diane, se prendre deux bâtons en même temps était plus qu’un fantasme, c’était un rêve inaccessible. Même si l’une de ces deux queues était artificielle, elle n’appréciait pas moins de sentir en elle deux organes s’agiter pour lui procurer ce plaisir divin. Surtout que la vue de la poitrine de Kmille qui gigotait sous ses efforts à la pénétrer l’excitaient encore plus. Diane ne sait pas ce qu’il lui arrive, mais elle sent son vagin s’inonder et expulser du liquide. Cela ne lui était jamais arrivé avant.

« Hum, une petite squirteuse. Décidément, tu es pleine de surprises ma cochonne… », lance Kmille

— En parlant de surprise, je vais gicler !

« Dedans », dit Diane hors de contrôle et comme hypnotisée par l’extase

— Hein ?

— Éjacules à l’intérieur de mon culs. J’ai déjà un trou rempli, alors un de plus ou un de moins…

Rémi ne se fait pas prier et commence à se vider en elle dans cette posture sous des râles assez impressionnants.

Les trois comparses ne bougent plus soit par épuisement, soit pour profiter l’espace d’un instant supplémentaire de ce moment exquis. Kmille se retire alors de sa nouvelle copine, et indique à Rémi de continuer à la pénétrer un peu. Elle retire le gode ceinture, puis abaisse sa tête vers les fesses de Diane pour caresser de sa langue le liquide qui viendrait s’en échapper.

Rémi n’en peut plus, il commence à se ramollir et se retire de Diane. La jeune cochonne descend alors de sa monture et rejoint Kmille déjà affairée à vider complètement ce tuyau en perte de forme. Le coquin n’avait pas tout donné et un second souffle le fait éjaculer à nouveau alors que Kmille l’avait dans sa bouche.

Mais notre Kmille n’est pas égoïste et surprend Diane en lui roulant une pelle, les deux finissant par s’échanger encore et encore ce sperme bien chaud qu’elles ont produit avec luxure et passion avant d’avaler chacune ce qu’elle avait jalousement conservé, sans omettre de lécher sur l’autre, le peu de liquide qui se serait aventuré sur les lèvres ou les joues de sa comparse.

— Je crois que je vais prendre le train plus souvent !

— Et moi, je crois que je veux te prendre plus souvent ma belle. Je suis sûr que tu plairais à mon homme. Tu dois vraiment aller bosser cet été ?

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