Le beau-père par Mia Michael : chapitre 2

 

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Je savais que je prenais quelques risques … limités en rencontrant des clients ici. Limités, car il y a une camera discrète dans toutes les chambres et … Merde, la caméra, il ne faut pas qu’il le sache !

Je demanderai à Véra d’effacer la bande.

Bon, quand le vin est tiré il faut le boire, même si c’est une horrible piquette, comme c’est le cas aujourd’hui !

Je le préviens :

— Mes clients sont priés de prendre une douche.

Ça le fait rire et comme il fume, ça se termine par une quinte de toux. Après avoir repris son souffle, il répond :

— Tu rigoles ? On te fait l’honneur de te baiser, toi une pute qui lèche des bites et ouvre tes cuisses à n’importe qui. C’est toi qui vas prendre une douche et bien laver ta moule !

Mia Michael - Le beau-père chapitre 2

Ce type est un dément ! Ma … moule est … archi fraîche !

On va arrêter de jouer ! Je sais que … ma moule va devoir passer à la casserole. Plus vite ce serait fait, mieux je me porterai !

Je lui demande :

— D’accord, beau papa, vous êtes un client, vous voulez quoi ?

Il n’a plus l’air emballé, tout à coup … Il fait une grimace et me dit :

— Je me tâte … Je me demande si ce ne serait pas plus amusant de raconter ta double vie. Qu’est ce que tu en penses ?

Je pense qu’il a envie de jouer avec mes pieds, le gros dégueulasse !

Il continue :

— Marche un peu … montre-moi tes appâts … fais la pute !

Bon … je me lève, je marche, je caresse mes nichons, je lui montre mon … meilleur profil, celui sur lequel je m’assieds …

— Marche a quatre pattes en remuant ton cul.

Bon, je me mets par terre …

Il ajoute :

— Aboie !

Au point où j’en suis … je fais :

— Ouaf, ouaf, ouaf, ouaf !

Il dit :

— Tu fais super bien la chienne, Mia. Allez, on arrête, je ne veux pas que tu te prennes au jeu et que tu lèves la patte sur un fauteuil.

Gros rire bien gras.

— Viens sucer la bite de ton maître, petite chienne.

Pfff … je grimpe sur le lit. Il est assis, appuyé contre le dossier du lit, les jambes relevées. Je dois me mettre à plat ventre pour atteindre sa gosse bite qui émerge de sous son énorme ventre. Autant le satisfaire. Je caresse son sexe, l’embrasse. Le bout est tout mouillé !

J’ai déjà eu des clients pas très nets. Rarement. La seule chose à faire, c’est les prendre le plus vite en bouche avec beaucoup de salive et de bien les sucer.

L’odeur disparaît. Ne me demandez pas où elle va. Le goût reste un moment par contre !

Il me caresse la tête en disant :

— Bravo petite, tu es une vraie pro pour faire une pipe. Tu es excitée ?

NON ! Mais je fais oui, de la tête, ce qui lui plaît d’autant plus que sa bite est dans ma bouche. Il me dit :

— Maintenant, je vais te prendre en levrette, petite chienne.

Chouette ! J’aime de loin, mieux la levrette que la position du missionnaire, je ne veux pas disparaître sous sa masse. Il me dit :

— Allez à quatre pattes et offre-moi bien ton cul. Je suis sûr que tu adores te faire prendre en levrette. Non ?

— Heu … oui.

Il donne une bonne claque sur mes fesses – Aïïïeee ! – en disant :

— Réponds mieux que ça, je suis un client.

— Oui Monsieur, j’aime me faire baiser en levrette.

Je regarde le miroir sur le mur devant moi, je me vois à quatre pattes … comme …  » la chèvre de Monsieur Seguin « . Derrière la chèvre, il y a un loup de 150 kg !

Un loup dont la tête m’est tellement familière … C’est tellement … irréel. Je le revois dans les réunions de famille, me disant: «  Voulez-vous me passer le plat, ma petite Mia  » … Puis, je pense que c’est comme si j’étais dans une vidéo porno, genre : «  Enfilée par son beau-père, elle jouit  ».

Je ne vais pas jouer les Saintes-nitouches, j’ai déjà vu le loup et même toute la meute. Mais malgré ça, j’ai remercié ma chatte de s’être bien humidifiée, parce que … Ouch ! Il m’a baisée d’un coup, à fond ! Ses grosses couilles ont claqué sur mes cuisses. Et ensuite il m’a baisée à grands coups de reins. Je suis restée complètement insensible … Non, impossible ! C’est … euh … mécanique et à ma grande honte, j’ai joui comme une folle. J’aurais dû me taire, mais voilà, j’ai joui …. bruyamment ! Ce qui m’a valu la réflexion suivante :

— Tiens une pute qui jouit …

J’ai essayé de sauver la face en disant :

— J’ai … euh … simulé.

Ça l’a fait rire. Il m’annonce:

— Maintenant, nettoie ma bite avec ta petite langue et tu peux t’estimer heureuse que je n’aie pas décidé de t’enculer.

Je le fais, normal. Ensuite, il s’est rhabillé. Moi, j’étais toujours nue. Il m’a embrassée, puis glissé un billet entre mes fesses en disant :

— On va se revoir samedi prochain pour l’anniversaire du petit Paul. Tu mettras une jupe et pas de culotte, d’accord ?

— Oui, M’sieur.

— Ah, j’oubliais, il y a l’oncle Félicien qui va te demander un rendez-vous. Tu parleras fort, je te rappelle qu’il est sourd.

Fin, ou peut-être à suivre ?

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