Des vacances d’enfer par Mia Michael : épisode 6
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Hermine, enlève son maillot … Elle a des seins menus et une légère toison châtain sur le pubis. Ses yeux sont plein de larmes et ses joues rouges … d’humiliation ? Ou d’excitation ?
Elle va devant Janine et lui dit :
— Vous pourriez me prêter votre uniforme, s’il vous plait, Mademoiselle Janine ?
Janine a sans doute l’habitude car elle joue le jeu et répond :
— Tu appelles ça demander poliment, Hermine ?
Hermine se met alors à genoux et elle et pose ses lèvres sur un de ses pieds … Janine lève l’autre pied et le pose sur la nuque de la fille, en disant :
— Non
Ouch !! C’est dur et pas du tout le genre de Janine ! Alors, la fille vient à genoux devant moi. Elle lève la tête et demande :
— Vous pourriez me prêter votre uniforme Mademoiselle Lizzie. Dites oui, je vous en prie.
Mademoiselle Lizzie … ça fait vraiment bizarre ! Je sais que je dois jouer … Je réponds :
— Embrasse mes fesses, d’abord.
Elle tourne à genoux autour de moi et arrivée à hauteur de mes fesses, encore douloureuses, elle les couvre de baiser légers. Alicia me dit :
— Penche-toi en avant.
Bon … je me penche en me cambrant. Hermine pose doucement les mains sur mes fesses pour les écarter et je sens sa langue frétiller sur mon anus. Oooh … Je ferais bien durer les choses, mais ça ne doit pas être ce que souhaite Alicia, alors je lui dis :
— C’est bien, ma fille, je te le prête.
Je me redresse et je regarde Hermine enfiler mon uniforme, pas frais du tout ! Zoé la métisse, appelle Hermine :
— Eh ! La bonne ! Viens me lécher le minou.
Je me dis « Elle en a de la chance, la bonne. »
Oui … euh … J’ai un léger … euh … non, un gros penchant pour les filles et je ne sais pas si c’est l’ambiance de sexe qui règne ici, mais je voudrais être à la place d’Hermine. Surtout que cette métisse, c’est vraiment le genre de fille qui m’émeut … 20 cm sous le nombril.
Les filles regardent Hermine glisser son joli visage entre les cuisses de la métisse … Janine prend ma main, en disant :
— Viens …
Elle a ramassé l’uniforme qui reste et elle m’entraîne vers la cuisine. Je lui dis :
— Tu es sûre qu’on peut partir ??
— Oui. Elle m’a fait signe. C’est Marthe qui va nous dire ce qu’on doit faire …
Marthe nous donne une série de corvées … La journée se termine sans incidents, sans punitions … Ouf !!
*
Ce matin on prépare tout pour le petit déjeuner. Quand Alicia arrive, elle dit à Janine :
— Prépare un plateau pour ma mère et moi.
Puis à moi :
— Viens avec moi, elle veut te voir …
Ouch !! Tout le monde craint la mère encore plus que sa garce de fille. Alicia entre dans la chambre sans frapper … La Comtesse est assise dans son lit et téléphone en anglais.
Ma mère est là, elle range … Elle ne fait pas attention à moi. Charmant !
Alicia me dit :
— Déshabille-toi et file entre ses jambes …
Je gémis :
— Mais, c’est ma tante, Mademoiselle Alicia
— Et alors, Tu m’as bien léché le cul et je suis ta cousine … Tu as envie d’une nouvelle confrontation ?
— OH NON !!
J’enlève mon uniforme, puis je vais au pied du lit et je soulève le drap et une mince couverture. Je suis face aux deux pieds nus de la Comtesse. Je les écarte délicatement et me faufile entre ses jambes. Alicia rabat le drap sur moi. Je suis dans le noir … dans les odeurs de la Comtesse. Elle a une odeur forte, je peux me diriger vers son sexe dans le noir.
Franchement, ces gens n’ont aucune morale, obliger quelqu’un à faire à un acte sexuel incestueux et en plus, lesbien ! D’accord, lesbien, ce n’est pas le problème. Plus précisément, me retrouver le nez dans la chatte d’une femme … ça … me plait … mais quand celle-ci est de ma famille. Mais, bon, dans le noir, je ne vois pas que c’est ma tante. Je vais donc faire comme si je rampais entre les cuisses d’une inconnue ou de la métisse.
On frappe. C’est Janine qui apporte le déjeuner, enfin, je suppose …
C’est beau une famille réunie, il y a maintenant deux sœurs, ma mère et la Comtesse et deux cousines, Alicia et moi …
Le seul truc pas normal, c’est une nièce qui vient de mettre sa bouche sur la chatte toute collante de sa tante …
C’est vrai, ma meilleure amie, celle avec qui je voulais partir en vacances, et moi on a déjà fait des câlins. Mais, c’est très différent. Je l’aime … beaucoup … elle est épilée et … j’adore sa chatte, son odeur, son goût … Au point où j’en suis, oui, je peux avouer que j’ai déjà emprunté une de ses culottes portées pour m’en servir comme d’un « Doudou ». Je me suis endormie le nez dans ses odeurs … Ici, c’est ma tante, on a presque le même ADN et j’ai le nez dans sa chatte broussailleuse et pas fraîche du tout. A travers, le drap elle me donne un bonne claque sur la tête en disant :
— Alors, tu te décides ?
Oui, oui ! Je commence à lécher dans le noir, d’abord les poils, puis les lèvres, vite que je trouve son clito … Son odeur est forte et son goût aussi ! Je trouve son clito et je le lèche soigneusement en tournant autour avec ma langue, c’est ce que mon amie Laure, aime ! J’entends la Comtesse appeler ma mère :
— Louise.
— Oui, Madame ?
— Votre fille ne sait pas lécher une chatte ! Elle ne vous ressemble pas du tout.
— Elle n’est pas éduquée Madame.
Non ! Je n’ai jamais eu de cours d’inceste ni de léchage de chatte !!
La Comtesse lève le drap et me dit :
— Sors de là ! Tu vas voir comment on lèche une chatte.
Et elle ajoute :
— En plus, tu as l’air d’aimer ça, ce n’est pas amusant !
Je deviens toute rouge parce que … c’est vrai … même pas très fraîche, ça m’a plu de la lécher ! Je vais vite me mettre à genoux à coté du lit. La Comtesse ajoute :
— Regarde, comment fais ta mère, petit idiote.
Ma mère se glisse entre les jambes de sa … sœur. Alicia est dans le lit à côté de sa mère et regarde la scène en mangeant un croissant.
J’ai déjà remarqué que ma mère était une servante soigneuse. Quand elle nettoie la cuvette des toilettes de sa soeur, c’est impeccable. De même, elle est très… soigneuse pour lécher une chatte. Elle lèche du vagin au clito à grands coups de langue avec beaucoup de salive et de « slurp, slurp ! » ridicules, mais… excitants.
C’est ce qu’elle aime, la Comtesse ! Ses hanches ondulent et vont au devant de la langue. Elle me dit :
— Regarde bien ta mère. ça, c’est une servante qui fait bien son travail… après ça, plus besoin de se laver ! Mais toi, tu es nulle ! On va te faire éduquer, ma fille, tu vas voir…
Elle gémit et caresse la tête de sa sœur qui s’active entre ses cuisses … Elle se tourne vers Alicia en disant :
— Embrasse-moi, ma chérie.
Alicia a la bouche pleine de croissant, elle lui répond :
— Tu veux un morceau de croissant mâché ?
— Ouiiiii !!!
Alicia met sa bouche contre la sienne et lui donne une gosse bouchée pleine de salive … Elles enchaînent avec un baiser passionné ! Mère et fille !!! C’est inconcevable pour moi !!
La langue de sa sœur dans sa chatte et celle de sa fille dans sa bouche, ça doit être son truc car elle se cambre plaque la tête de ma mère sur sa chatte en refermant à moitié ses cuisses et jouit !!
Voilà, voilà …
Ma mère lèche encore un peu, ben oui, elle nettoie. Alicia récupère sa langue … La Comtesse me regarde. Aëe ! Qu’est ce qu’elle va encore inventer ?? Elle me dit :
— Tu va avoir ton premier cours. Viens te mettre ici.
Elle me montre ses cuisses écartées. Je dois encore la lécher ?? Je ne comprends plus rien.
Je vais me mettre à genoux sur le lit. Ce n’est pas ça qu’elle veut… Elle me prend brutalement et me fais asseoir entre ses cuisses, le dos appuyé contre elle.
Puis elle s’adresse à ma mère :
— Lèche ta fille, Louise !
Je crie :
— Oooh non ! Pas ma mère !!!
Ça fait rire Alicia, qui m’encourage perfidement :
— Vas y Lizzie, ne te laisse pas faire !
Je crois qu’elle a très envie de me faire punir. Ma mère n’a pas d’état d’âme ou les cache bien ! Sa sœur lui dirait :
— Tu vas lécher la bite de ce porc !
Elle répondrait :
— Celui de droite ou celui de gauche, Madame.
Ce n’est pas que je me compare à un porc ! La comtesse me caresse les seins, pendant que ma … mère introduit sa langue dans mon … vagin ! Commet peut-on écrire des choses pareilles ??
Je reste de marbre … Sauf que cette langue dans ma chatte est d’une habileté diaboliques ! Et, sauf, que la Comtesse me pince le bout des seins …
Et ce n’est pas fini. Cette garce d’Alicia vient près de moi et me refile aussi un morceau de croissant plein de salive … C’est vraiment dégoûtant, mais aussi … terriblement excitant !! Je perd tout contrôle ! Mon cerveau ordonne à mon hypophyse de secréter des endorphines et à mes glandes de Bartholin de mouiller tout ce qu’elles peuvent !! Ma mère suce mon clito, ma tante me masse les seins, ma cousine m’emplit la bouche de sa langue et de sa salive …
C’est trop. .. affreux ! C’est ma famille, mais aussi des ennemies ! Je ne vais pas jouir, quand même ??? Oooooh si !! Je jouis en poussant des gémissements et en me cambrant … pour mieux m’offrir à la langue … de ma mère ! Elle continue à me lécher et quelques minutes plus tard, je jouis une deuxième fois ! J’aurai honte jusqu’à la fin des temps !!
À suivre …
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Si vous aimez mes histoires, vous aimerez mes livres « Mia sans dessous » Tomes 1, 2, 3, 4 et 5, et mes six livres non illustrés.
Pauvre petite elle est de plus en plus engloutie dans un monde de folie, qui sait ce qui va lui arriver dans le prochain chapitre.
Radia
Mia Michael doit le savoir 🙂
Vivement la suite …
Tellement immorale mais terriblement excitant !!! Un de mes chapitres préférés !!!
Haha, c’est vrai ça Mia Michael, comment on peut écrire des choses comme ça ? 😆 Perverse ! 😯
Il était très chouette ce chapitre, j’ai beaucoup aimé tous les petits détails, vivement la suite ♥
Un épisode tout en paradoxe.
J’ai beaucoup aimé la première partie; mais la fin était un tout petit peu dérangeante.
Juste ce qu’il faut pour mêler un soupçon de réflexion, sur ce que l’on est prêt à accepter, à l’excitation suscitée.
Merci beaucoup 😉
Terriblement excitant.
I could not resist commenting.
Very well written !