Des vacances d’enfer par Mia Michael : épisode 7
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La Comtesse me repousse en disant :
— Ça suffit … Elle me donne chaud, cette petite salope, à se tortiller comme ça sur moi.
On se désunit, ma mère rentre sa langue dans sa bouche, les mains de la Comtesse quittent mes seins et moi, je reprends péniblement mes esprits !! Notre patronne me demande :
— Et alors, qu’est-ce qu’ont dit ?
— Merci. … Madame la Comtesse.
— Et à ta mère ? Tu n’as pas aimé sa langue dans ta chatte ?
Je murmure :
— Merci … maman.
Bon, j’ai compris, je me tourne vers Alicia et j’ajoute :
— Merci Mademoiselle Alicia.
Elle dit :
— Les rouquines ont toutes le feu au cul !
Je ne suis pas une rouquine, connasse, je suis auburn tirant sur le brun. La Comtesse me regarde … Je ne sais pas quoi faire. Sa voix claque :
— Et alors, tu as l’intention de rester plantée là ? Tu n’as pas un sol à nettoyer ?
— Si, Madame la Comtesse.
Je sors avec Janine. Elle me dit :
— C’est vrai que tu as un peu le feu au cul !
Je gémis :
— Tu as vu tout ce qu’elles m’ont fait ?
— Mais oui, je te charrie, n’importe qui aurait pris son pied !
Elle ajoute :
— Peut-être pas deux fois de suite !
D’accord, j’ai … du tempérament.
Alicia sort dans le couloir et nous appelle. Quoi encore ? Elle nous dit :
— On va chez mon père.
Oh non ! Un homme, maintenant ! Quelle horreur ! Ce n’est pas que je n’aime pas les hommes … mais je préfère de loin les femmes. Même négligées, comme la Comtesse …
Tout en marchant derrière Alicia, j’essaie maladroitement de remettre mon uniforme, mais elle m’arrête :
— Pas la peine de te rhabiller.
Arrivées devant la chambre du Comte, elle toque et dit :
— C’est Alicia, papa.
— Entre.
Toute nue et toute rouge, je la suis et je salue :
— Bonjour Monsieur le Comte.
Il s’adresse à Alicia :
— Elle a léché ta mère ?
— Oui, on vient de là.
— Qu’est-ce qu’elle en pense ?
— Qu’elle est nulle ! Par contre, elle s’est fait lécher par sa mère et elle a joui deux fois, cette petite salope !
Ça lui semble banal au Comte ! Il me dit :
— Approche …
Il m’examine, tâte mes seins en poussant un gros soupir et demande :
— Quel est ton tour de poitrine ?
— 85 B, Monsieur le Comte.
Il soupire à nouveau et dit :
— Comme Janine …
Il se met à tripoter les lèvres de mon sexe en disant :
— Tu mouilles ! Ça t’a plu, de lécher la Comtesse ?
Toujours aussi rouge, je réponds :
— Oui Monsieur le Comte.
Il dit à Alicia :
— On va leur faire gonfler les seins. Je verrais bien un 95 B pour toutes les deux.
Quelle horreur !! Il ajoute :
— Et celle-ci, on va lui faire une chatte de femme, comme Janine !
Il s’adresse à sa fille :
— Tu n’as pas l’air convaincue.
Elle hausse les épaules et répond :
— C’est toi le patron, papa chéri.
Quelle lécheuse … Et si ça se trouve, c’est au sens littéral ! Elle continue :
— Mais il faut des filles d’un mètre soixante-dix au minimum et mieux charpentées pour du 95 B, celles-ci vont tomber en avant.
Il rit ! Ah ah, il est capable de rire ? Puis, il lui demande :
— Qu’est-ce que tu ferais, toi ?
— Vends-les et achète des négresses grandes et bien bâties que tu pourrais remodeler à ta guise.
— Je vais y réfléchir.
Il met sa main sur les fesses de sa fille et les caresse. Elle lui sourit … Le Comte se tourne vers nous en disant :
— Dégagez !
Je sors, les larmes aux yeux ! Des gros seins et une grosse chatte ? Il est cinglé, ce type ! Et en plus, Alicia qui lui dit de nous vendre. C’est la folie ! Dans le couloir, je remets mon uniforme pour aller dans la cuisine. Là, j’annonce à Marthe :
— Mademoiselle Alicia m’a dit d’aider Janine.
Marthe sourit et répond :
— Janine est chez son amoureux.
OK. Je cours au chenil. Pour changer, Janine s’active en gloussant car son bien-aimé a son museau sous sa jupe.
Je l’appelle en pleurant. Elle me dit :
— Attends, j’arrive.
Elle s’adresse à son amoureux :
— Oui, on va le faire, dans quelques minutes.
— On dirait que cette bête comprend vraiment ce qu’elle dit. Il s’éloigne en grommelant un peu. Je tombe dans les bras de Janine en pleurant et en hoquetant :
— Le Comte … y … y … veut nous faire o … opérer. Du 95 B … il veut ! Ou … ou alors il va … nous vendre.
— Il va effectivement nous vendre.
— Mais comment est-ce … possible ? C’est complètement illégal et …
Janine hausse les épaules et répond :
— Il existe un monde parallèle sans foi ni loi, comme on disait il y a quelques siècles.
Mais qu’est ce qu’elle raconte !? Elle continue :
— S’il l’a dit devant toi, ce sera pour aujourd’hui. Sinon, il sait qu’on va tout faire pour nous évader.
— Mais ma mère et puis …
Marthe nous ayant rejointes, elle dit à Janine :
— Fais tes adieux à ton amoureux … tu pars. Tu vas me manquer.
Je lui demande :
— Moi aussi, on va me vendre, Madame Marthe ?
— Oui, toutes les bonnes !
Les larmes aux yeux, Janine me dit :
— Je vais lui dire au revoir. Si ça te choque, va à la cuisine …
Oui, ça me choque. Mais en même temps, j’ai vraiment envie de voir comment ça se passe. Je lui dis :
— Non, je reste avec toi …
Elle appelle le chien, il arrive tout joyeux en remuant la queue. Euh … la vraie. Les deux amoureux s’embrassent, ensuite, Janine se couche sur le dos. Le chien a l’habitude, il sait ce qu’il doit faire. Il se met tête-bêche au-dessus de Janine, le museau vers sa chatte et lèche. De l’autre côté, Janine se soulève sur un coude et lèche le sexe de son amant ! Oui, bon, c’est pas mon truc … mais je me dis, ils sont amoureux, ils vont être séparés … Elle prend le sexe entre ses lèvres et sa tête va et vient. Sa bouche est devenue la vulve d’une chienne ! Le sexe devient énorme … Le chien arrête de la lécher et il aboie. Janine doit connaître ce signal car elle se met vite à quatre pattes.
Il lui coince la taille entre ses grosses pattes … Il tâtonne un peu puis enfonce son membre dans la chatte de Janine, qui l’engloutit sans effort, c’est à peine si elle pousse un petit jappement à son tour. Le clebs la baise à grands coups d’arrière-train, beaucoup plus vite qu’un homme … C’est … bestial, bien sûr, mais le joli corps de Janine sous cet animal, c’est aussi très excitant … Je glisse la main entre mes cuisses en disant :
— C’est beau, Janine …
Elle répond d’une voix hachée :
— Mer … ci … ma … ché … rie !
Ensuite, je peux assister à un superbe orgasme … Janine s’envole vers le 7ème ciel avec plein de gémissements, de jappements et de cris …
Oooh, j’accélère le mouvement de mes doigts … Ça y est … elle a joui, donc elle redescend de son petit nuage … apaisée, mais ballottée … parce que son amoureux continue de la limer … Elle gémit :
— C’est fini … Johnny.
Fini ? Lui n’a pas fini, il continue. C’est un mâle, si vous voyez ce que je veux dire …
Quant à Janine … elle est prisonnière des grosses pattes qui enserrent sa taille et de ce sexe qui distend son vagin … Ce pénis doit grossir encore, enfin, c’est ce que dit Janine :
— C’est … trop … gros … oooohhhhh !
Et puis elle se remet à parler comme lui : elle gémit, jappe … et jouit à nouveau, tandis que son partenaire doit arroser copieusement le fond de son vagin !
J’aime bien Janine, mais si elle a une portée de chiots, faudra pas me garder un petit … Il s’arc-boute pour sortir son nœud de la vulve de sa femelle. Janine pousse des cris et dit :
— Doucement, doucement !
Elle a le visage sur le sol, les fesses vers le ciel. Ça y est, la grosse boule de chair sort en faisant « Plop ! » et Janine se transforme en fontaine : un flot de sperme s’échappe de son vagin. On applaudit ! C’est le Comte et un autre homme qui sont venus sans qu’on les entende … Ils regardent Janine en souriant. Elle se met debout les jambes tremblantes et lui dit :
— On m’a annoncé qu’on allait partir, alors je …
L’homme qui est avec le Comte est un gros Chinois d’une cinquantaine d’années. Il tend la main vers le Comte qui lui tape dans la paume, comme deux dealers qui font affaire ou plutôt comme deux marchands de chevaux. Il dit :
— La petite chienne, je la prends tout de suite avec moi, elle aura beaucoup de succès. L’autre …
Il me désigne :
— Je la ferai d’abord éduquer …
Janine est allée directement se mettre à genoux à côté de … son nouveau maître ! Je dis au Comte, mon oncle :
— Ne me vendez pas, je ferai tout ce que vous voulez !
Il se retourne vers l’homme et dit :
— C’est vrai, elle n’est pas éduquée.
Le Chinois répond :
— Ça va changer.
L’homme sort une seringue d’une mallette qui est à côté de lui. Là, je panique tellement que je m’enfuis. Je cours dans la prairie … Un peu avant que j’atteigne le bois, le Comte dit :
— Attrape-la, Johnny !
C’est l’instinct du chasseur que se réveille chez le chien. En une minute, il me rattrape et me fait tomber dans l’herbe. Je sens ses mâchoires sur ma nuque !! Je crie :
— Non !! Janine, au secours !
Il ne me mord pas, il me fait sentir que ça pourrait arriver, c’est tout ! Les hommes arrivent en parlant … d’un super hôtel au Maroc !! Je supplie mon oncle :
— J’ai peur des chiens …
Je sens que l’autre homme relève ma jupe et me fait une piqûre dans la fesse. Et puis … plus rien …
À suivre …
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Si vous aimez mes histoires, vous aimerez mes livres « Mia sans dessous » Tomes 1, 2, 3, 4 et 5, et mes six livres non illustrés.
Nouvel épisode et quel suspens !!!
J’ai hâte de découvrir ce qui va arriver !!!
Un épisode dans la droite file des précédents.
On prends toujours autant de plaisir à suivre les aventures de Lizzie.
Merci Mia Michael pour ce rebondissement final qui laisse espérer une suite torride 😉