J’ai caressé les seins de Kmille par Guillaume

 

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La première fois que j’ai vu Kmille c’était sur internet. J’avais posté des photos d’une belle femme avec des seins de rêve. De ses seins jaillissaient de véritables fontaines de lait.

Une merveille pour un mammophile doublé d’un lactophile comme moi ! Kmille a commenté une de ces photos. Rien que sur cette photo, nous avons eu une longue discussion. C’était agréable.

Très rapidement, nous nous sommes suivis mutuellement et nous sommes devenu de véritables amis. Des amis virtuels, mais de véritables amis.

Cette amitié est cimentée par notre passion de l’univers sexuel, de la beauté du corps ainsi que la splendeur des gros seins. Elle-même est dotée de seins avec lesquels la Nature a été généreuse : sans être énormes ou exagérément trop gros, ses seins sont joliment bien développés, ravissants et qui sied fort bien à son corps mince. Et elle aime les montrer à ses abonnés, ainsi qu’à ses amis virtuels.

Les Brigands - J'ai caressé les seins de Kmille

Ah ! On aurait envie de prendre ces douceurs rondes dans ses mains, de mette ses jolis tétons dans notre bouche. Un rêve impossible, mais que je respecte avec raison. Elle a, en effet un petit ami.

Le plus amusant c’est qu’auparavant, d’après les confidences qu’elle m’a faite, elle faisait régulièrement des plans culs. Jusqu’à ce qu’elle le rencontre et qu’elle décide de lui être désormais fidèle.

Brave Kmille !

Durant des mois, nous discutons, nous partageons nos Tweets, commentons des photos liés aux gros seins – dont les siens -, ses démonstrations, ses articles, des conseils, des sujets variés sans aucun rapport avec le sexe ou les seins, des nouvelles mutuelles…Sur Twitter puis sur FaceBook (Avant d’abandonner celui-ci par manque de praticité), par mail, par Skype.

Et c’est toujours agréable de discuter avec elle, de parler pendant des heures de tout et de rien. Une véritable amie, certes virtuelles, et très sexy. Ah ! Une amie telle qu’elle !…Qu’est-ce que je regrettais amèrement de ne pouvoir jamais la rencontrer, même une seule fois ! Discuter avec elle en face à face et partager des moments amicaux ensembles, peut-être autour d’un verre, dans un restaurant, un site touristique, ou que sais-je. Comme avec de réels amis que l’on peut voir régulièrement. Elle ne rencontre jamais ses abonnés. Je vis dans la région parisienne, et elle dans le Sud-Ouest. Ah ! Que je regrettais !

Mais un jour, un jour Kmille m’écrit un MP sur Twitter : elle va partir en vacances. Au Luxembourg. Elle voyagera en voiture. Seule. Son copain ne peut pas prendre de vacances : faute de jours de congés suffisant. Mais il a insisté pour qu’elle puisse prendre ses vacances et qu’elle parte s’aérer. Le taff ainsi que ses activité l’ont trop usés : elle en avait donc tellement besoin !

Elle m’a annoncé que pendant son voyage, elle allait faire une escale de deux jours sur Paris.

Elle n’avait jamais vu la Capitale. Et je lui ai tellement parlé de ses sites à visiter, de ses merveilles. Je suis un visiteur habitués de Paris, un touriste, un guide amateur. Au point de songer à réaliser un blog sur mes promenades parisiennes pour les visiteurs français et étrangers. C’est pourquoi elle souhaite profiter de a visite à Paris pour me voir. Impossible ! Elle, venir à Paris et être prête à venir me voir ? Impensable ! Elle souhaite me voir pour que je lui montre tout ce qu’il y a à voir dans Paris. Mais aussi, et c’est là la principale raison, elle aimerait pouvoir me rencontrer, voir son ami qu’elle apprécie beaucoup avec sincérité, son fan numéro 1 sur Twitter. Inimaginable ! Mais tellement magnifique ! J’ai accepté avec joie, et nous nous sommes convenus d’une date, d’un horaire et d’un lieu pour une première rencontre.

Le jour J arrive. Je l’ai attendu dès le matin, à la Place de la Sorbonne, en face de mon ancienne fac.

Puis je la vois enfin. Grande, mince, vêtue élégamment, très séduisante avec sa jolie robe d’été, les formes de son corps et de sa poitrine sont mis en valeur, ses longs cheveux bien coiffé, et surtout ses beaux yeux bleus que je découvrirai pour la première fois. Qu’est-ce qu’elle était belle, mon Dieu ! Nous étions excités tous les deux par cette première rencontre. Nous avons bu dans un café de la place, avons beaucoup parlé, puis nous avons commencé à nous promener dans Paris. Il y a tant de choses à voir dans Paris : impossible de les visiter tous en deux ou trois jours ! Je l’ai donc emmené voir les différents monuments et autres sites parisiens : Notre-Dame, le Louvre, le pont des Arts en face, le Panthéon, Montmartre et son Sacré-Cœur, le musée d’Orsay, celui de Georges Pompidou, les Halles (Mauvaise idée car elle voulait faire de longues courses, ce qui m’amuse) … Nous avons beaucoup marché sous un beau soleil d’été, longé la Seine pendant au moins une heure, avons mangé ensemble le midi, avons repris la marche et nous avons continué de bavarder. Nous avons passé une excellente journée. Que c’était bon de passer un moment comme celui-ci avec une amie qui s’est révélé tellement agréable. Une amie qu’on aimerait garder toute sa vie et l’apprécier pour ce qu’elle est. Cette amie que l’on rencontre physiquement pour la première fois.

C’est la fin de l’après-midi. Je l’a ramène à l’hôtel où elle allait loger durant son séjour parisien. Elle était très satisfaite de sa journée et elle m’a remercié pour ce moment. Elle m’a trouvé trop gentil, très poli, pas du tout vulgaire ( sauf quand quelques fois je m’agace, et là, ça la fait beaucoup rire ), et étonnamment cultivé. Elle regrette qu’avec toutes ses qualités, et que je sois un beau garçon qu’aucune femme n’a jamais souhaité sortir avec moi, car je le mérite. Que voulez-vous ? C’est comme ça !

Alors, avec quelques hésitations, elle m’a demandé si elle pouvait me poser une question. Je lui ai dis oui, naturellement. Elle a remarqué que depuis le début de notre rencontre physique, pas une seule fois je ne lui ai parlé de ses seins. Elle sait pourtant que je suis un passionné de gros seins, que j’aurai sauté sur l’occasion pour lui parler de sa propre poitrine. Rien. Pas même une proposition à son égard. Et malgré la longue promenade et la visite guidée que je lui ai fait faire, je ne lui ai jamais rien demandé en retour. C’est dans ma nature. Même si j’adore ses seins, je ne pouvais pas me permettre de lui demander ses seins, que j’en profite. Je ne voulais pas paraître comme un obsédé qui a accepté de la voir et de lui faire le tour de Paris juste pour recevoir ses seins en guise de paiement. Ce serait hypocrite de ma part ! Quant au soi-disant paiement, sa simple rencontre me suffisait.

Il y eut un court silence. Kmille semblait réfléchir et hésiter. Puis, reprenant la conversation, me dis qu’elle aimerait me poser une autre question, plutôt indiscrète, au point d’avoir honte de me la poser. Depuis que nous nous connaissions, j’ai été tellement gentil avec elle, et elle sait à quel point j’aimerai tant pouvoir toucher des gros seins, au moins une fois dans ma vie, et que j’aime beaucoup les siens. Alors, d’une voix basse quasi honteuse, elle m’a demandé si je voulais toucher ses seins, les caresser. Sa question me troubla. Elle a pourtant un copain ! Toucher les seins d’une femme ce n’est pas exactement faire l’amour avec elle. Elle me proposait uniquement de caresser ses seins, c’est tout. C’était pour elle, sa façon à la fois de me remercier pour la ballade mais surtout pour toute mon amitié envers elle. Mais je ne voulais pas … NON !!!

J’ai fini par céder. Je suis du genre à changer d’avis. Le cœur battant la chamade, j’ai fini par lui dire que j’aimerai. Kmille sourit nerveusement, mais avec joie. Mon acceptation de sa proposition semblait lui faire plaisir.

Commence alors le moment des caresses. Je pouvais prendre tout mon temps. Elle décida de se laisser faire, d’être soumise. Elle veut me laisser caresser ses seins comme je le voulais. Comme bon me semblait. Elle restait assise, droite, sur son lit. Moi de même. Mon cœur battait à vive allure. Je respirais fort. J’avais l’impression de manquer de sang et d’oxygène. C’était la première fois. J’étais perplexe. Pratiquement paralysé par la peur et l’excitation mélangée. Je ne savais trop quoi faire, par où commencer et comme m’y prendre. Après une attente qui semblait être une éternité, je commençais à tendre timidement ma main vers elle, en direction de sa poitrine qui se laisse faire attendant docilement que je la caresse. Ma main tremblait, avançait lentement. Kmille me prend alors doucement la main pour la laisser se reposer délicatement sur son sein droit. Que son sein était chaud et tout doux. Des émotions m’inondent, de la tête jusqu’à mon pantalon. Je ne voulais plus le lâcher. Je gardais ma main posé sur son sein, et elle me tenait toujours la main. Elle me demanda ce que je voulais faire. Je lui répondis alors que j’aimerai d’abord lui effleurer la poitrine, comme ça, encore habillée. Elle lâcha alors ma main et me laissa faire.

Ma main glissa doucement autour de son sein, décrivant de doux arcs de cercles. Je ne le touchais pas vraiment. Je l’effleurais, émoustillant mes sens.. Kmille me sourit discrètement, m’encourageant à continuer. Je fais alors glisser ma main du sein droit jusqu’à celui de gauche, toujours en effleurant. Sur ce sein, ma main le frôle encore, décrivant aussi de doux arcs de cercles. Kmille semble éprouver progressivement du plaisir. Elle aime qu’on touche et qu’on joue avec ses seins. Je repose de nouveau ma main sur son sein droit, et cette fois, je posais mon autre main sur le gauche. J’effleurai les deux seins en même temps, faisant le tour de leurs formes. Puis, une de mes mains glissa à l’intérieur de son décolleté, puis dans son soutien-gorge, et je tenais pratiquement le sein, sentant son doux téton dans ma paume. Mon autre main glisse vers la bretelle de sa robe pour que je puisse l’enlever. Kmille retire l’autre bretelle. Elle baisse le haut de sa robe. Il ne lui reste plus que son soutien-gorge.

Je glisse de nouveau mes mains sur ces seins. Avant de les agripper une  fois. Kmille pousse alors un gémissement. Celui du plaisir. Je mets mes mains derrière son dos. J’essaie de lui dégrafer son soutien-gorge. Kmille le fait. Puis, lentement, sous mes yeux, elle fait tomber son soutien-gorge. Me révélant ainsi toute la beauté de ses seins nus.

Ses seins étaient déjà magnifique sur ses photos, vidéos et cam. Là, devant moi, bien de chair et de sang. C’était irréel. C’était d’un seul coup la plus belle chose que je pouvais voir. J’en avais presque les larmes aux yeux.

Je prends les deux seins dans mes mains. Je les caresse d’abord, effleurant chaque coin de ces deux belles mamelles. Au-dessous. En-dessous. Bien sur les côtés. Autour du mamelon. Ses seins sont tellement doux ! Je les presse. Je les presse. Et je les presse encore. Je sens ses seins si doux s’écraser sous mes mains. Je sens toute la douceur agréable à l’intérieur de chacune de ses belles mamelles. Qui pourrait penser à ce moment là que c’est le tissu graisseux de ses seins qui donnent cet effet ? En pressant ses seins, Kmille gémit doucement, exaltant son plaisir. Je peux le sentir : elle veut que je joue encore avec ses seins. Encore ! Encore ! Encore ! Je presse encore ses seins à plusieurs reprises. En même temps. Puis, de plus en plus vite. Ce qui fait bien rire Kmille. J’arrête de les presser. Désormais je les écrase bien pour bien sentir la mollesse érotique de ses seins. Voir jusqu’où ils peuvent être écrasé de l’intérieur, comme on écraserait une outre à vinasse. Cela amuse Kmille qui pousse quelques petits rire. Si mous, si doux. De vrais sacs remplis d’eau. J’ai envie de dire, remplis d’eau d’amour. À un moment, je laisse un sein écrasé, mes doigts pressants en profondeur l’intérieur du sein. Kmille sourit. Elle pousse un nouveau petit rire. Là, je me mets à faire bouger ses seins. Je les tenais dans mes mains et je les faisais secouer.

On croirait voir du pudding bouger. C’est amusant ! Kmille en rit doucement. Ce pudding là, il excite. On le mangerait bien. Puis, les tenant bien dans mes mains, je soulève ses seins. Je les lève. Les faits retomber. Les soulève. Puis j’en soulève un et je baisse l’autre. Puis inversement. Et encore inversement. J’appellerai ça le « jeu de la balance ». Puis je me mets à presser autour des mamelons. En pressant autour des mamelons, j’avais l’impression que du lait allait jaillir, d’un seul coup, comme un fontaine. Ou de l’air allait subitement en jaillir, sortant dans un grand couinement comme le bruit d’un canard en plastique quand on expulse l’air à l’intérieur. Rien. Pas de lait, ni d’air expulsé. Êtrs lactophile procure trop d’imagination !

Je me mets à pincer, à titiller ses tétons. Kmille gémit, comme en extase. Je rêvais de le faire. Je me lance. Je prends un de ses seins et je le mets dans ma bouche. Je le suce. J’aspire l’air. C’est si chaud, si délicieux. En tétant, je m’attends à avaler une goutte de lait à tout moment. Je n’ai rien. Encore un tour d’imagination de lactophile. Je suce son téton tantôt doucement, tantôt en le tirant bien. Kmille, me tenant la tête avec une tendresse maternelle, avait les yeux fermés, la tête légèrement penchée en arrière, la bouche s’ouvrant un peu et exhalant quelques soupirs d’allégresse. Je fis de même avec l’autre sein. J’expérimentais  les deux dans ma bouche. Puis je tétais un sein tout en pressant l’autre.

Kmille et moi étions plongés dans une vague de sensualité et d’érotisme. C’est exquis ! C’est sublime ! C’est magnifique ! Ce qui nous arrive à Kmille et à moi, j’en suis sûr à présent, c’est un moment magique. Je continuais à profiter pleinement de ses seins tandis que Kmille, se laissant faire, y jouissait pleinement. Puis, au milieu de ce festival de douce euphorie et de passion, ce déroule subitement une explosion à l’intérieur de mon pantalon. De cette explosion, je ressens frénétiquement des décharges d’une dizaine de saccades. Je respire très fortement, comme un taureau. Kmille a compris ce qui s’est passé. Le moment magique s’est estompé. C’est fini. On arrête tout.

Nous nous reculâmes légèrement. Elle me demande si je venais d’éjaculer. Affirmatif. Puis elle me demande si j’allais bien. Oui. Est-ce que j’ai apprécié ce que je venais de faire avec elle ? Je venais de vivre un moment que je qualifierai de féerique . Mon rêve était devenu réalité. Je ne pensais pas cela possible. Surtout avec Kmille. Je ne pensais pas qu’un jour elle aller me faire un tel cadeau. Un cadeau digne d’une femme. Un cadeau offert par une véritable amie. Je l’ai remercié. Et elle m’a rendu la pareille.

Je me suis souvenu tout à coup que je devais partir. Je devais prendre mon train. Ma ville est un peu loin de Paris et mal desservie par les transports. Autant que je ne reste pas plus longtemps.

Il fallait que j’y aille. On m’attendait. Kmille me demanda si j’allais revenir demain. Oui. Cela me ferait plus que plaisir de la revoir à nouveau. D’autant qu’il reste encore le Trocadéro à voir avec la Tour Eiffel, ainsi que le château de Versailles près de Paris, lieu où j’insiste pour qu’elle le visite.

Alors nous nous quittâmes après nous être dit au revoir. Mais nous ne sommes pas tristes. Kmille et moi nous nous reverrons demain.

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