Expérience saphique – Fabienne par Regal40

 

Une bonne douche après cette soirée trépidante où mon corps a reçu toutes ces attaques aussi brutales que douces, j’ai reçu plus que je ne demandais, et j’ai donné autant que je recevais. Quelle nuit.

Vite Florence va arriver, je vais quand même pas la recevoir nue… Mince ça sonne, elle est déjà là ??? Vite, je vais la recevoir en peignoir tant pis.

— Coucou, tu arrives tôt, je t’attendais plus tard

— Oui excuse moi, mais j’ai pris un peu d’avance, pour pouvoir rester plus longtemps avec toi, je peux te consacrer la matinée.

— Trop gentille Florence entre, assieds toi.

— Je vois que tu sors de la douche

— Oui je vais m’habiller et je reviens

— Non !!! Reste comme ça, ça ne me dérange pas.

Je lui souris et je vois dans ses yeux une envie irrésistible de me retirer mon peignoir. Son attitude me surprend et tout en me souriant, elle s’assoit en relevant sa jupe pour bien mettre en évidence ses cuisses galbées. Je me sens rougir devant cette attitude qui me replonge dans mes envies saphiques, et j’essaie de ne rien laisser paraître. Je lui sers un café et m’assois face à elle.

En m’asseyant, mon peignoir baille et je vois Florence plonger son regard dans l’échancrure. Elle lève son regard et me sourit.

— Tu as de beaux seins ma chérie.

Je la remercie en baissant les yeux. Elle me montre son catalogue de lingerie et pendant que je le feuillette, elle se lève et vient à mes côtés. Elle me caresse le cou et un frisson me parcourt le dos. Se penchant à ma hauteur, je la regarde, ses lèvres sont presque sur les miennes, je sursaute et m’écarte de son haleine fraîche. Elle me sourit, s’approche lentement et colle ses lèvres sur les miennes. Je sens sa langue qui essaie de pénétrer ma bouche, je tente de résister, elle glisse une de ses mains dans mon peignoir et me pétrit un sein, elle tourne mon mamelon entre ses doigts, je soupire de plaisir et elle en profite pour introduire sa langue en moi. Je ne résiste pas et l’embrasse goulûment. Elle me masse les seins, si sensibles, je les sens durcir et sentant que j’y prends beaucoup de plaisir, je la repousse.

— Non, excuse moi je ne peux pas.

Elle ne dit rien, elle me caresse la joue, et s’agenouille devant moi. Lentement elle me relève la tête en me prenant le menton, nos regards en disent long sur mon trouble et sur son envie, elle me sourit, me prend le visage entre ses mains, se relève doucement et me pose un baiser tendre et suave sur les lèvres. Elle retourne à sa place.

— Pourquoi tu ne peux pas ???

— Je ne l’ai jamais fait avec une femme, ça me trouble.

— Raison de plus d’essayer, on se connaît depuis si longtemps, et j’ai très envie de toi.

Je l’entends qui se lève et qui s’approche, je n’ose pas bouger, elle me fait mettre debout, se place derrière moi, défait mon peignoir et le laisse glisser le long de mon corps. Je suis nue, je sens son souffle dans mon cou, elle me donne de petits bisous tout en me pelotant les seins. Une de ses mains se dirige vers mon ventre, sa caresse est si douce et inattendue que je me cambre. Elle se dirige vers mon vagin et un de ses doigts me caresse les lèvres de haut en bas. Je suis de plus en plus excitée et je sens que ma mouille va couler entre mes cuisses…

Elle me retourne et m’embrasse, j’ouvre grand la bouche pour accueillir sa langue, je me frotte contre elle tellement je suis en besoin de jouir. Elle se détache de moi et sa bouche descend lentement vers ma vulve, elle écarte lentement mes lèvres vaginales et je sens couler mon plaisir. Sa langue lèche doucement mon bouton d’amour, je colle son visage contre mon bas ventre et je pousse des petits cris de plaisir. Je sens sa langue titiller mon clitoris, je gémis de plaisir, elle le mordille, ses mains caressent mes fesses, elles me les écartent, tout en continuant son cunnilingus, et me caresse mon petit trou. Je suis surprise par cette caresse aussi inattendue que désirée, elle me titille l’anus et doucement un doigt me pénètre, je hurle ma surprise et mon émoi.

J’écarte les jambes et me penche vers le mur. Je pose mes deux mains bien à plat, les jambes écartées, Florence toujours à genoux entre mes cuisses continue à me butiner mon abricot tout en me doigtant le cul. J’ahane de plaisir, j’en bave, Florence accélère son mouvement linguale et m’aspire le clito, je sens l’orgasme saphique arriver et je pousse un cri de plaisir…

*

Florence se relève, je suis toujours penchée vers le mur, sa main court le long de ma colonne vertébrale, elle me tire la tête en arrière et m’embrasse. Je sens sa langue chercher la mienne, je me donne tout à elle. Elle me guide vers sa chaise me fait mettre à 4 pattes et s’assoit devant moi. Elle écarte ses jambes et je vois sa fente bien ouverte et son bouton qui pointe.

— A toi !!!!

Elle me tire par les cheveux et me colle le visage sur son sexe, ma langue fouille son intimité et je sens son jus qui mouille son bouton, tout en maintenant ma bouche sur sa fente elle se trémousse et gémit d’un plaisir saphique très excitant. Je lui caresse l’intérieur de ses cuisses, ma langue pénètre son con, elle pousse un cri de plaisir et me colle la tête contre son bas ventre très fort et jouis en poussant un cri qui ne me laisse pas indifférente. Ses mains relâchent ma tête, je monte et descend le long de sa fente du bout de la langue, elle soupire en me demandant de me relever et de l’embrasser. Je me mets face à elle et c’est moi qui prend les initiatives. Je lui saisis le menton, je la regarde droit dans les yeux et l’embrasse fougueusement.

Puis je la regarde droit dans les yeux en lui souriant et je commence à lui défaire les boutons de son chemisier. Elle n’a pas de soutien gorge et ses deux seins lourds apparaissent, je les saisis à pleines mains et les malaxe tout en m’asseyant sur ses cuisses et en l’embrassant à nouveau à pleine bouche. Elle en profite pour me caresser les fesses et me les écarter, elle me glisse à l’oreille qu’elle aimerait me prendre avec un jouet, je la toise et lui répond que c’est à moi de décider ce que l’on va faire. Je me lève, la prend par la main et la conduit vers ma chambre. Debout devant le lit je la déshabille, je lui laisse ses bottes et ses bas et je la pousse sur le lit, je lui ordonne de se mettre à plat ventre et je me couche sur elle. Je frotte mon sexe contre ses fesses elle se trémousse, je l’embrasse dans le cou et mes mains explorent son corps dénudé.

Elle écarte les bras et se tient aux montants du lit, j’en profite pour prendre deux foulards et l’attacher afin qu’elle soit toute à moi. Elle pousse des petits non qui veulent dire oui, et ça me rend toute envieuse de la faire jouir. Je lui attache les jambes et lui bande les yeux. Je lui lèche tout le corps et commence à lui masser son cul. Voyant qu’elle y prend plaisir, je sors de ma table de chevet un jouet intime pour double pénétration saphique ou non et vibrant. Je promène ce jouet en vibration sur son corps et le présente plusieurs fois sur ses deux trous qui ne demandent qu’à être comblés. Elle soulève ses fesses en me demandant de la pénétrer.

Doucement je présente le gode sur son petit trou, elle donne un coup de rein pour qu’il la pénètre et je le retire aussitôt, je prends plaisir à la faire languir de son besoin sexuel anal. Ne désirant pas être en reste, je me masturbe tout en la baisant. Je lui fait pénétrer lentement le jouet dans la chatte et dans le cul et le fait vibrer, elle pousse des cris de plaisir, je fais aller et venir l’objet vibrant en elle tout en me branlant, elle hurle de plaisir, j’accélère les va-et-vient, elle me supplie d’arrêter et je continue de plus belle, elle hurle sa jouissance et je continue mes mouvements, elle se débat dans ses entraves, je me caresse de plus en plus vite, de la savoir à ma merci et de l’entendre crier en me suppliant d’arrêter, décuple mon excitation, la jouissance arrive et mon cri se mêlant aux siens, je jouis comme une folle.

Je m’affale à ses côtés, je lui retire le bandeau de ses yeux, elle me demande de lui retirer le gode de son cul et de sa chatte, je refuse, elle me supplie de le faire et je colle mes lèvres contre les siennes pour l’embrasser plus que de raison. Son souffle me caresse les joues, nos langues se lèchent et se pourlèchent, je lui pince un téton, elle gémit de douleur et de plaisir, je me détache d’elle et lentement lui retire le double gode pour le renfoncer aussi vite en elle, elle crie sa surprise, je recommence plusieurs fois la manœuvre, elle se tortille de douleur et de plaisir, puis je cesse d’un coup, me rendant compte que j’y prends un plaisir saphique extrême.

Je lui fais part de ma surprise et de mon étonnement quant à ce qui vient de se passer, elle me demande de la détacher et me prends dans ses bras. Je me pelotonne contre elle en lui tétant un sein. Elle me caresse les joues et me parle tendrement.

— Ce n’est rien mon cœur, tête mon sein, ne t’arrête pas. Tu m’as fait jouir comme une bête et toi qui ne voulait pas faire l’amour avec moi, tu es allée au delà de mes espérances. Cela fait longtemps que je voulais te prendre contre moi et t’embrasser, te toucher, te pénétrer, te faire mouiller, te faire jouir. Et c’est toi qui t’es prise au jeu et je ne sais comment te remercier. Enfin non, je sais comment te remercier, allonge toi ma puce, je vais m’occuper de toi.

Je m’allonge sur le dos et c’est elle, qui à son tour m’attache, les bras en croix et jambes écartées, elle me donne de petites tapes sur le vagin et se positionne en soixante neuf. Je vois sa chatte se baisser contre ma bouche et je sors ma langue pour lui lécher ce fruit tant désiré. Je sens ses doigts écartés ma chatte et sa langue qui monte et descend le long de mes lèvres vaginales, elle me boit tout comme je la bois, elle me mange tout comme je la mange, elle entre en moi tout comme je rentre en elle. Elle trémousse son bas ventre au dessus de mes lèvres et je laisse ma langue hors de ma bouche et c’est elle qui décide lorsque ce bout de chair entrera en elle. J’aimerai lui doigter l’anus mais ne pouvant pas, cela renforce mon désir et mon désarroi.

Elle se relève et se retourne pour me rouler une pelle d’enfer.

Elle va chercher son sac à main et en sort un gode anal qu’elle se met à enfourner dans sa bouche, puis tout en ayant l’objet en bouche elle se positionne entre mes jambes, me dilate l’anus en me faisant entrer et sortir deux doigts. Elle retire le gode de sa bouche et le fait pénétrer lentement dans mon cul. Je retiens ma respiration, je savoure cette façon de faire et cette douceur qui m’envahit l’anus. Elle fait glisser l’objet en moi doucement, elle me caresse mon petit bouton tout en me sodomisant, je la regarde qui sourit, elle fait vibrer le gode et me l’enfonce au plus profond de moi. Je le sens en moi, elle me dit que c’est un plug et qu’il va tenir tout seul dans mon trou. Je le sens vibrer, et je ferme les yeux dans un moment de bonheur saphique intense.

Florence se lève et je la regarde s’éclipser, elle revient avec une caméra et se met à me filmer, ce sera un souvenir pour elle, je prends peur et lui demande si elle a l’intention de diffuser les images, elle me répond uniquement à ses connaissances féminines. J’hésite à accepter cette diffusion et sentant ma réticence, elle pose la caméra et vient s’allonger sur moi. Elle frotte son sexe contre le mien et m’embrasse, elle me pétrit les seins, me les pince , les embrasse et me glisse à l’oreille :

— J’avais tellement envie de toi que mon rêve saphique s’est réalisé, et j’aimerai tant te partager avec d’autres amies à moi. Tu m’as démontré que tu n’étais pas insensible aux femmes et il n’y a pas de raison que nos ébats ne soient pas partagés. J’ai très envi de te partager, non ne dit rien, tu ne peux plus rien dire, tu es à moi, pour te remercier de ce que tu m’as offert je vais te baiser comme un homme.

Je la regarde se relever, j’admire ce corps nu qui me trouble tant. Je la vois enfiler une sorte de lanière où elle passe ses jambes puis elle se retourne et là une énorme queue est planté sur son bas ventre dans ma direction. Je commence à mouiller en la voyant s’approcher du lit, le plug vibre toujours et me procure beaucoup de plaisir. Elle s’allonge sur moi et fais pénétrer cette queue en moi, elle donne des coups de rein doucement, nous nous regardons les yeux dans les yeux, nous nous sourions et elle accélère, je lui souffle sur le visage mes gémissements, elle me pénètre de plus en plus vite, de plus en plus fort, mon cul et ma chatte sont en feu, je crie stop, mais elle continue en collant sa bouche sur la mienne, je me trémousse comme je peux pour échapper à son étreinte, mais elle me plaque plus fort sur le lit.

Et je sens le plug sortir de mon cul, Florence me regarde en riant, non elle ne va pas me sodomiser. Devant mes yeux exorbités, elle rit et je sens sa queue sortir de mon vagin et se diriger vers mon cul, je n’ai jamais accepté ce type d’expérience saphique, cette sodomie. A part un ou deux doigts, mais sentant qu’elle va le faire, la peur de souffrir se fait jour, elle se met à genoux entre mes cuisses et me badigeonne l’anus de gel intime, elle me soulève la bassin, je crie non, elle rit, et je sens entrer en moi cette fausse bite en silicone. Je hurle de douleur et de plaisir, Florence me soulève et me rabaisse sur cette verge en riant.

Mon trou n’en demandait pas tant. Le plaisir faisant place à la douleur, je mêle mes cris à ceux de Florence et je jouis analement ce qui ne m’étais jamais arrivé. Elle continue à me fourrer l’anus jusqu’à ce qu’elle s’effondre sur moi en m’embrassant.

Nous restons dans cette position pendant un bon moment, puis elle se décide à se retirer de mon cul. Je sens cette bite sortir doucement de mon trou. Florence se met debout au-dessus de moi et en enlevant ce gode ceinture, je m’aperçois qu’il était double et qu’elle avait elle aussi un gode en elle d’où sa jouissance extrême.

Elle me détache, et me prend dans ses bras, elle me guide vers la salle de bains et nous nous douchons ensemble, nous frottons nos corps savonneux et n’avons pas envie de nous séparer. Mais le temps passe si vite et Florence doit partir. Elle me promet de revenir très vite et de montrer notre vidéo saphique à ses copines qui ne manqueront pas de me téléphoner pour des rendez-vous intenses et jouissifs. D’autres expériences saphiques à venir 😳

Mais ça c’est une autre histoire …….

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N’hésitez pas à lire mon e-roman : Au service du vieux pervers.