Défi n°2 – Moto et godemichet par Solo

 

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Résumé

Je venais de passer la moitié de la journée avec une culotte vibrante doublé d’un gode anal en moi.
J’ai eu de multiples orgasmes totalement indépendants de ma volonté, puisque vous le savez, je suis une fille convenable moi, et qui étaient télécommandés par mon mystérieux pervers/coquin (A qui je me suis donné corps et presque âme, en fait en acceptant).

En revenant chez moi, ma voisine m’avait apostrophé en me tendant un paquet déposé à mon attention « Un gentil monsieur »  m’a t’elle dit !

La journée avec commencé par un « dring »  et un paquet. Elle était en train de se terminer de la même manière, mais à l’envers.

*

J’avais à peine posé le paquet sur ma table que c’est lui qui faisait « dring » … une sonnerie de téléphone assez classique, ou plutôt celle d’un sms.

Curieuse comme je suis, je me suis précipitée sur le paquet pour l’ouvrir ! Effectivement, un gsm standard était emballé dans du papier de soie et de la mousse.

Le message indiquait :

« Bonjour Kmille,

Je ne vous demande pas si vous avez eu une bonne journée, j’étais aux premières loges pour le voir.

Désolée pour votre vaisselles, j’espère que votre patron ne vous en tiendra pas rigueur.

Aimez-vous la moto ? Je me propose de venir vous cherchez demain à l’heure de votre choix pour vous déposer à votre lieu de travail.

Je vous fourni veste, casque et gants, je ne vous demande que d’être prête à une nouvelle aventure et de porter une jupe de saison, courte, sans rien en dessous.

Au plaisir de vous lire.

Votre coquin secret »

« Non mais il croit quoi lui », me dis-je. J’avais encore le cul en feu, les lèvres vibrantes de l’après-midi et il pensait que j’allais m’envoyer en l’air avec lui demain sur sa meule ?

Je jetais le gsm sur le canapé et me dirigeais vers la salle de bain. En fait, comme je l’avais dit, j’avais besoin d’un bain, d’un orgasme, parce que malgré ceux que j’avais eu, j’avais besoin d’un que je puisse contrôler moi-même et d’une paire de claques pour me dire que je n’ai pas rêvé.

J’allais donc me vautrer dans un bain, encore à mes rêves éveillés de la journée. Je prenais soin de diriger le jet d’eau sur ma vulve en appuyant sur mon clito. Une main sur l’un de mes seins, il ne me fallu pas longtemps pour jouir une fois encore.

Je me réveillais de mes brumes sexuelles pour me dire : « Mais quelle dingue. Tu viens de te faire jouir par un inconnu, et en plus, tu te masturbes 2 heures après en pensant à lui !!! »

Je me faisais un peu peur, mais, honnêtement, j’avais ADORÉ jouir sans pouvoir avoir aucun contrôle et en pleine foule.

Je me laissais le repas pour y réfléchir.

En fait, j’ai passé tout le repas, avec la main dans la culotte à y penser et sans arriver à finir mon verre d’eau, j’ai attrapé le téléphone et envoyé : « Je commence à 10 heures »

La réponse est arrivé quasi immédiatement « Je serai en bas à 09 h 30. Bonne soirée »

« 30 minutes ? Il veut faire quoi en 30 minutes ? Sans doute utilise t’il des vibros parce qu’il est éjaculateur précoce » me suis-je dit comme pour me rassurer à nouveau.

J’ai donc essayé de ne plus y penser, et passé la soirée devant la télé avant de m’endormir comme une mass … jouir, ça épuise.

Le lendemain matin, j’étais donc en train d’essayer de deviner la suite de la journée.

« 30 minutes, et il vient à moto ? Si ça se trouve, il vient juste me déposer et je me fais des idées, je n’aurai pas d’orgasmes farfelu ou d’expérience folle ce matin »

Je m’habillais donc comme demandé, une jolie robe rouge à fleur noir (Je n’ai pas de jupe, il fera avec) arrivant à mi-cuisse, mes bottes et mon gilet (Il fait frais le matin).

Les Brigands - Défi n°2 - Moto et Godemichet

Je terminais mon chocolat quand j’ai entendu le bruit d’une moto.

À priori, arrivée de façon « sportive », dans la rue.

Je regardais par la fenêtre pour voir une superbe sportive blanche avec un homme recouvert de cuir et d’un casque noir …

Je préparais mes affaires et descendais.

L’homme était toujours sur sa moto, une superbe sportive blanche, Yamaha R1, à la gueule de requin rutilante, le casque sur la tête, la visière à peine relevée. J’avais compris que je ne verrais pas encore son visage aujourd’hui.

« Bonjour » balbutiais-je.

Le pervers/coquin : « Bonjour Kmille. Vous avez bien dormi j’espère, avec vos aventures d’hier ».

Je n’ai pas pu m’empêcher de rougir.

Le pervers/coquin : « Voici votre casque Kmille, votre robe est ravissante, comme vous »

« Minable flatteur, tu crois quoi ? » me suis-je dit en moi-même.

La veste était posée sur la selle passage.

Quand je l’ai soulevée, en dehors du poids, j’ai émis un cri de surprise en découvrant ce qu’elle cachait … un énorme gode, surtout par son diamètre, était sanglé à la selle, dressé vers le ciel.

Kmille : « Non mais ça va pas !!! »

Le pervers/coquin : « Vous avez peur Kmille ? Au pire, je peux l’enlever et vous déposer, vous seriez en retard en prenant les transports en commun maintenant ».

J’ai hésité, pas pour le fait de monter en moto avec un vicieux, mais pour la taille de l’engin …

Kmille : « J’ai peur oui, mais de me faire déchirer par ce, ce truc là, vous auriez du prévenir que je me prépare ou que je mette du lubrifiant »

Le pervers/coquin : « Vous avez raison, mais ça aurait gâché la surprise ! »

Nous sommes restés là, comme 2 cons, à regarder le Ssextoy. Heureusement que personne ne passait par là, à ce moment.

Le pervers/coquin : « Voudriez-vous me laisser vous aider ? »

Kmille : « Comment cela ? »

Le pervers/coquin : « Sans vouloir me lancer des fleurs, je suis assez habile de mes mains, j’ai une superbe coquine en face de moi, nue sous sa jupe … vous voyez de quel genre d’aide je peux vous apporter ? »

Je suis restée bouche bée…je n’ai pas eu le temps de dire un mot que tout en restant assis sur sa moto, il avait enlevé son gant droit et il m’avait délicatement enlacée pour me presser contre lui.

Sa main était contre ma cuisse gauche, j’avais le visage contre son casque, comme si j’allais l’embrasser ou lui dire un secret à l’oreille.

Il me caressa la cuisse, doucement, lentement, son pouce décrivait des cercles en passant sur le haut de ma cuisse, à quelques centimètres de ma chatte.

La température commençait à monter.

J’étais en pleine rue, presque en train de me faire doigter par un inconnu … complètement folle … si je continuais comme ça, se serait quoi la suite, m’enculer à Noël devant la famille ?

Mes idées sont vites revenues sur mes sensations, sa main droite, gantée, a lâché mes reins pour descendre sur ma cuisse droite, jusqu’au genou.

Il l’attrapa fermement et la souleva pour caler mon talon sur le repos pieds.

Immédiatement, j’eu les lèvres ouvertes et le vent passant sous ma robe m’arracha un frisson … sa main remonta vers l’aine, il avait maintenant sa main sous ma robe, au dessus de ma chatte.

Il faisait tourner sa main autour, sans jamais approcher directement, ça me rendait dingue, je l’avoue.

J’en étais à un point où j’avais envie qu’il me retourne sur le réservoir pour me prendre là, en pleine rue.

Finalement, il a passé sa main sur ma toison, très délicatement, puis sur mes lèvres, ses trois doigts sont passés sur ma vulve en écartant encore mes lèvres.

Il la fit passer, jusqu’à toucher mon petit trou pour revenir en arrière et appuyer son majeur sur mon clito.

« Putain, il est doué ce con … » j’étais en train de gémir.

« Vous êtes prête je pense » dit-il sur un ton moqueur.

Kmille : « HEIN ? Ah non, vous ne pouvez pas me laisser comme ça … »

Le pervers/coquin : « Ne vous inquiétez pas, tout ira bien une fois en route ! »

J’enfilais donc la veste tout en me demandant comment j’allais m’enfiler ce truc de 25 centimètres de long sur 6 de diamètre et rester assise en même temps.

Je grimpais sur la moto, le sac en bandoulière. Vu de dessous, je devais avoir l’air fine … les lèvres grandes ouvertes, la cyprine me coulant sur les cuisses …

Je me mettais donc sur les 2 repose-pieds, puis je m’abaissais progressivement, chose qui ne fut pas évidente. Ce genre de moto est clairement un aspirateur à minettes, mais pas une réelle routière pour deux … au moins, cela à fait fonctionné mes abdos.

J’avais le bout du sextoy sur mes lèvres … c’est passé tout seul.

« Prête Kmille ? » demanda t-il.

« Si on veut … »  répondis-je.

Il appuya sur le démarreur.

Et comme le matin précédent j’ai hurlé.

J’ai hurlé ma jouissance en l’attrapant par les épaules et la taille pour ne pas tomber.

Le gode vibrait au rythme du moteur, au démarrage, la montée dans les tours l’a comme propulsé en moi.

Maintenant, au ralenti, il vibre en moi comme si on me godait avec une « sex-machine » au ralenti.

Il donna 2-3 coups d’accélérateur. Chaque montée et descente dans les tours me labourait le bas ventre … chaque « Vroooom » de la moto m’extirpait un « haaaa » lascif.

L’enclenchement de la première vitesse eu le même effet que le coup de rein d’un homme en train de me ramoner proprement … j’étais déjà presque au bord de l’orgasme.

Nous roulions à vive allure, c’était comme si j’étais attachée et qu’une machine faisait aller et venir le sextoy en moi, chaque accélération et chaque freinage me faisaient avancer et reculer sur la selle me pressant le vagin contre le sextoy, qui me ravageait par ailleurs des vibrations que le moteur et la route m’infligeaient.

Je serrais mon mystérieux pervers de pilote, plus pour ne pas tomber que par affection, mais ce salopard savait comment me prendre…une fois encore, dans tous les sens du terme.

J’avais la chatte en feu, de mes lèvres coulaient des flots, des vagues de jouissance. Je sentais que cela coulait sous mes fesses, elles-mêmes en demande par rapport à hier …

Mes pauvres petites fesses que tout le monde pouvait voir, en effet avec la vitesse mon cul offrait ses courbes à quiconque voulait les voir, pendant que nous roulions, qui aurait pu savoir que cette salope à moto sans culotte était en train de se faire goder à 11 000 t/min par un moteur japonais ?

Je m’en foutais, que l’on voit mon cul était ma dernière préoccupation pour le moment.

« Ne pas jouir, résister, ne pas tomber … »

Le feu passa à l’orange devant nous. Il a freiné fort, en tapant plusieurs vitesses plus bas, tout en appuyant sur ses poignées. Le brusque changement d’assiette m’a propulsé contre son dos. Les claquements de la boîte de vitesse, le changement de régime du moteur … un orgasme violent m’a traversé le corps, il tremblait entièrement … des spasmes incontrôlables me parcouraient les jambes, même mes tétons devenaient fous à être frottés dans mon soutien-gorge.

Je ne contrôlais plus mon corps et si d’un bras j’ai enserré sa poitrine, de l’autre, je lui ai carrément pris le sexe.

Le feu est resté rouge pendant un peu moins d’une minute, pendant tout ce temps, j’ai joui, j’ai serré les dents pour ne pas crier tout en le serrant lui, sa bite raide et dure sous son jean … quand j’ai rouvert les yeux, une gamine d’une vingtaine d’années, au volant, au côté de nous était en train de rire … mais pas d’un rire moqueur, celui plutôt de celle qui avait compris que je venais de me taper un orgasme de folie …

Je n’ai pas eu le temps de lui adresse un regard, autre que celui du réveil de mon plaisir, que nous étions repartis. La robe au vent, le cul à l’air, sa grosse bite dans une main, l’autre sur la poitrine, le sextoy dans ma chatte qui allait et reprenait de plus belle …

Mon 2ème orgasme à duré une éternité, il est arrivé quelques secondes après que nous ayons redémarré…je ne sais pas combien de temps nous avons roulé, mais je n’ai relevé la tête de son épaule et relâché mes bras que quand le moteur s’est arrêté … nous étions devant mon travail, il était 09 h 55, ça faisait presque 20 minutes que j’étais en train de jouir.

Il a mit  la béquille et est descendu le premier, j’avais toujours les jambes tremblantes, le cœur qui battait aussi vite que la moto montait dans les tours, il m’aida à me relever … j’eu l’impression que je perdais les eaux quand le sextoy me quitta le vagin. Il m’aida à enlever mon casque puis pendant que j’enlevais mon sac d’autour de ma poitrine, il dessangla le sextoy et le mit dans le sac du réservoir de la moto.

Il se tourna vers moi pour prendre la veste et dit : « Juste à l’heure … je ne pourrai passer vous – prendre – ce soir, mais on s’appelle. Puisque maintenant, vous avez mes coordonnées ! C’est un numéro juste pour vous, vous savez ! »

Je n’arrivais même pas à articuler.

Le pervers/coquin : « Ne dites rien, vos yeux parlent pour vous »

J’allais vers l’entrée en tentant de trouver ma clé dans mon sac, le moteur vrombissait à nouveau, et après un signe de la tête, il quitta la terrasse avec son requin blanc à deux roues.

J’étais à peine entrée quand j’entendis une voix familière …

« Espèce de petite SA-LO-PE !!! »

Ma collègue, putain, ma collègue …

Elle arriva vers moi comme une furie et me souleva la robe comme pour vérifier ce que je portais … « Salope, je viens de te voir arriver le cul à l’air et tu t’es sortie un gode de la chatte au milieu de la rue !!! »

Non seulement j’avais la tête dans les étoiles, mais j’avais encore les bras et les jambes ballantes « Arrêtes » suppliais-je en lui poussant la main qui tenait ma robe.

« Toi ma COCHONNE », dit-elle, « Si tu crois que je vais te laisser filer comme ça ! »

Son sourire, son regard lubrique et sa main qui venait de s’insinuer entre mes cuisses me donnaient une idée de ses envies et de la suite de la journée …

Ce n’était pas la première femme qui me touchait, et j’adorais ça …

La journée allait être intéressante …

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