Lieux d’exhibes pour une coquine qui se lâche par Reglisse31

 

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Ce mois de mai a été particulièrement chaud les températures frôlaient les 25° ou plus, en ce mardi, début d’après-midi, Camille se demande comment elle a fini par accepter l’invitation de fameux Paul …

Elle, la prude, la sage, qui pour faire plaisir à son homme a décidée de faire quelques photos de charmes pour provoquer excitations et désirs, a passé une petite annonce pour découvrir des lieux sympas. Les photos se feraient plus tard avec Monsieur, cela va de soi.

Paul, quant à lui est un habitué du site. Il aime regarder, c’est un voyeur dans l’âme, même s’il accepte plus quand on lui propose. Il contacta Camille et lui proposa de lui montrer ses spots des endroits légèrement sauvages en péri-urbain avec des possibilités de photos de charmes sans être dérangés ou vus, ce qui correspondait tout à fait aux désirs de Camille.

Pour l’occasion, malgré la chaleur, et par prudence elle avait choisi une tenue pas trop légère, pour ne pas tenter Paul, qui n’avait pas ses yeux dans les poches. Une robe pas trop de décolleté mais avec des bretelles fines, quitte à devoir les relever si celles-ci glissaient. Des chaussures confortables car, il l’avait prévenue qu’il faudrait marcher pour certains endroits et parfois en terrain escarpé.

Les voilà partis en voiture, Camille a préféré prendre sa Mini Cooper histoire de pas perdre tous ces repères, Paul lui indique les directions, ils échangent gaiement sur leurs goûts musicaux, un climat de confiance discret se crée, mettant Camille en situation plus sereine.

— Nous voici arrivés, gare-toi ou tu pourras sans gêner la circulation même si le coin est pas très fréquenté il y a des pécheurs parfois ! S’écrie Paul en indiquant un petit coin de fossé herbeux.

Ils entamant une descente à travers les bois, obligeant Camille à se retenir à certains troncs tellement la pente est raide par endroits.

— C’est une véritable épreuve ton coin dis donc !!

Paul,  qui ouvres le chemin et se retourne

— Encore 50 mètres et on est arrivés !

En effet le bruit du courant de la rivière se fait entendre de plus en plus clairement aux oreilles de nos aventuriers.

*

La sueur commençais a perler au front de Camille, marcher sous la fraîcheur du bois ne suffit pas à estomper le chaud de la marche, Paul commence à lui préciser les différents coins à explorer aux alentours.

— Là-bas tu as des grosses pierres qui pourraient être pas mal, viens je te montre.

Les voici partis, Camille apprécie le bruit de l’eau et la fraîcheur du sous-bois, cette odeur particulière ne lui déplaît pas, les voici arrivés devant de gros blocs de granit certains avec des  formes arrondies, qui donnent envie de se coucher dessus pour lézarder au soleil.

— Paul, ça te dirait de me prendre en photo ? J’ai mon appareil dans mon sac à dos. Lâche Camille.

Ne s’attendant pas à une telle demande, il accepte bien volontiers ne sachant pas quel genre de photos la jeune femme lui proposait de faire.

Elle commence par se cambrer face à un caillou afin de montrer et faire mouler ses fesses sous sa robe, on y devine une forme gracieuse de culotte, Paul prend plusieurs photos et laisse Camille aller suivant ses désirs, ondulant ou alternant les cambrures …

Image d'illustration - Lieux d'exhibes pour une coquine qui se lâche

Le fessier de Kmille, qu’en pensez-vous ?

De poses en poses, la chaleur aidant, Camille  propose de laisser tomber sa robe, Paul n’en demandait pas tant et acquiesce avec délectation. Il va enfin voir cette poitrine qui semble si généreuse et admirer ses fesses qui semblent être une véritable invitation aux caresses.

Laissant glisser sa robe sur ses hanches Camille découvre deux superbes obus bien dessinés, une forme ronde et généreuse, des tétons clairs qui sous l’effet de l’air et d’un léger vent se sont mis à pointer. Une fois retirée il admira la culotte de dentelle noire portée pas Camille, taillée à merveille et dessinant ses hanches avec délice

— Je suis prêt, quand tu veux. Lâche-t’il.

Camille commença à prendre la pose de face, de profil, de dos, Paul mitraillait du mieux qu’il pouvait. Ce n’est pas un professionnel, juste un amateur éclairé, il lui propose de prendre quelques photos de près, ce qu’elle accepta en présentant sa poitrine généreuse à l’objectif, sous le regard de Paul, qui commençait à  laisser poindre une érection sous son bermuda. La jeune femme avait aperçu la bosse naissante, et s’en trouvait plutôt flattée, même si elle se sentait un peu gênée.

Elle s’amusait de la situation et avait quand même confiance en son photographe, elle savait que si elle ne disait rien , il resterait de marbre, ce qui n’étais pas pour lui déplaire, elle décida de pousser un peu plus les limites. Sans prévenir pendant une pose la voilà qui commence à descendre sa culotte sur ses cuisses, dévoilant un sexe lisse légèrement humide d’excitation. Se dévoiler ainsi commençait à exciter notre miss. Paul eut une poussée érectile un peu plus brutale, la bosse était dorénavant très visible, notre ingénue s’en réjouissait allègrement et tout en finissant d’ôter sa culotte, passa une main sur son sexe humide et lécha ses doigts imprégnés de cette gelée royale.

Notre jeune femme invita Paul à se mettre à l‘aise si il le désirait, il n’attendit pas plus longtemps pour ouvrir sa braguette et laisser dépasser un sexe de taille moyenne en pleine érection. Il bandait dur notre photographe voyeur, la vue de cette femme nue devant lui le comblait, à tel point que ni lui, ni Camille n’avaient aperçus un troisième larron.

Un pêcheur qui descendait la rivière contemplait notre duo, il était installé là depuis un petit moment et avait lui aussi une bosse qui apparaissait sur son pantalon. D’abord gênée, la jeune femme eue pour réflexe de cacher sa féminité, Paul se penchât et ramassât sa robe pour qu’elle se rhabille, mais se ravisant, Camille déclinât son offre et fit signe au pêcheur de s’approcher …

*

Toute émoustillée par le sexe de Paul, elle se dit que le pêcheur devait avoir aussi un joli colis à montrer, il s’avançât doucement et elle put constater sans surprises que lui aussi avait un sexe qui déformait son pantalon. Quand il fut tout proche elle tendit la main et caressa la bosse, elle suivait la forme allongée du sexe qui durcissait sous la main de notre modèle photo.

Paul, ne sachant plus trop quoi faire regarda Camille, elle lui fit un regard qui lui donna la force de se rapprocher, elle tendit son autre main et saisit sa bite toute dure. Il laissât échapper un gémissement de contentement sous la douceur de ses mains.

Camille dégrafa les boutons de notre pêcheur et passât sa main pour sortir son sexe qui pointait fièrement vers le ciel.

— Hummm ! Fit elle avec envie. « Vos deux queues bien raides me donnent envie de faire des folies ».

Elle avançât sa bouche et avala goulûment la bite bien dure et bien grosse du pêcheur, les mains des deux hommes se séparaient pour s’affairer sur les seins pour le pêcheur, et sur le sexe trempé pour Paul qui caressait la fente dans sa longueur, il avait les doigts humides de la mouille de la jeune femme qui se laissait aller à ses plaisirs  sauvages.

Les doigts agiles commençaient à faire leurs effets, Camille gémissait, poussait quelques « Hummm », sentant que ses doigts ne feraient plus grand-chose Paul l’invita à se déplacer sur un coin herbeux et lui proposa de s’allonger. Le pêcheur ôta ses vêtements et les rejoignit. Camille reprit sa bite à pleine bouche, tandis que Paul glissa sa tête entre ses cuisses, il commença pas embrasser ses lèvres humides et juteuses puis, il glissa un peu sa langue en la faisant coulisser de haut en bas. La jeune femme, devenue jeune Salope, eut un spasme et contracta ses cuisses. Il arrivât sur le petit bouton qu’il s’employât à l’aspirer délicatement, à le sucer ou juste à tourner le bout de sa langue dessus, cela provoqua une marée. La Salope lui inondait littéralement la bouche.

L’excitation des trois amants commençait à monter en puissance le bras de Camille caressa la tête de Paul qui se releva, elle relâcha ses coups de langues sur la bites et les couilles du pêcheur et se mit à 4 pattes tout en regardant Paul et lui dit :

— Continue de me faire du bien !

Elle reprit ensuite le pêcheur en bouche pendant que Paul s’installait derrière elle. Il saisit son sexe et commence par lubrifier son gland de la mouille qui coulait de la chatte trempée de notre jeune Salope. Une fois bien humidifié , il la pénètre doucement, lentement elle sentait le gland entrer en elle, ce sexe bien dur qui commençait à glisser dans son bas ventre. La sensation lui fait pousser de nouveaux gémissements.

Le rythme lent du départ, commençait à s’accélérer, Paul la saisit par la taille pour appuyer ses coups de reins, sa bite rentrait totalement, ses couilles frappaient ses lèvres dégoulinantes de plaisirs, le pêcheur qui sentait son désir monter saisit Camille par la tête et lui imprima une cadence et une profondeur accrue.

Malmenée et culbutée de part en part notre Salope coquine prenait un plaisir qu’elle aurait jugé malsain, mais c’était tellement bon d’être un objet sexuel qu’elle en coulait littéralement. Son sexe était une vraie source, sa bouche un puits de luxure ou la bite raide du pêcheur gonflait et était sur le point de gicler son nectar dans la bouche de notre docile coquine.

Le pêcheur, sentant l’éjaculation venir tentât de retirer son sexe de la bouche de la jeune Salope qui par une acrobatie réussie à attraper ses bourses et le rapprocher. Elle lui fit comprendre qu’elle voulait le sentir se répandre dans sa gorge.

Paul pilonnait de façon méthodique le con de Camille qui sentait monter en elle des spasmes, synonyme d’orgasme imminent. Notre trio champêtre était sur le point de conclure leur ébat.

Le pêcheur donna le La, il commençât à se raidir et relâcha son étreinte sur la tête de Camille. Elle comprit que le jus chaud allait lui inonder la bouche, un jet puissant et fourni lui frappa la glotte, elle aimait cette sensation de chaleur dans sa gorge, le sperme mêlé de base dégoulinait, elle aspirait tout ce qu’elle pouvait et suçait avidement le gland du pêcheur pour le nettoyer au maximum.

Ce jus dans la bouche lui donnait une bouffée de chaleur, l’orgasme était imminent, elle sentait Paul se raidir, il allait lui aussi la gratifier de sa semence. Il accélérait ses coups et allait au plus profond du con de sa Salope, un coup plus fort et plus long provoqua un déferlement de sensations, ça vibrait, ça grondait, ça brûlait en elle. Elle reculait son séant pour mieux ressentir la queue de Paul, c’était bon.

— Oh oui ! Gémit-elle.

Paul n’y tenait plus, il lâchât un jet puissant, qu’elle ressentait, elle était inondée, son con dégoulinait de ce liquide onctueux. Le plaisir fut bref et intense …

*

Nos trois amants rompus, et fatigués de leurs émotions se séparaient de façon silencieuse, pas tout à fait conscients de ce qui venait de se dérouler. Camille prit la parole et dit :

— C’était bon, mais exceptionnel, j’espère que vous garderez ça pour vous messieurs.

Chacun opinait de la tête, et se rhabillait, le pêcheur s’en retournait ravi, nos deux amis rassemblèrent leur affaires et regagnèrent difficilement la voiture. Le retour fut raide.

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Kmille les seins à l’air avec la robe blanche de l’histoire

Une fois la côte remontée, ils rejoignaient dans la voiture. Elle raccompagnait Paul sur le parking où il avait laissé sa voiture, il reprit ses affaire et s’avança jusqu’à la vitre conducteur de la Mini Cooper, Camille le regarda et lui  dit :

— Merci pour le spot, il est fort intéressant, je regarderais les photos et je te recontacte, peut-être auras-tu un autre lieu à me dévoiler.

Paul se réjouit d’entendre pareille phrase. Il regarde la Mini prendre la route à vive allure, décidément cette Camille n’est pas aussi sage qu’elle y parait …

Fin … ou pas !?

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