Des vacances d’enfer par Mia Michael : épisode 9 (Partie 1)

 

***

Lena nous dit :

Accroupissez-vous comme pour pisser.

On prend toutes la position exigée. Elle ajoute :

— Maintenant, sautez !

Quoi ? Elle est folle ! C’est presque impossible à faire … Le fouet claque et on fait toutes des petits sauts ridicules ! Une des filles tombe à moitié. Lena et Karim rient en nous voyant nous démener … Karim finit par lui dire :

— Tu es moqueuse !

Euh … je ne sais pas si c’est le mot qui convient. Elle répond :

— Elles sont trop ridicules ! Bon, maintenant la vraie grenouille : debout avec les mains sur les hanches, vous sautez.

On se met toute à bondir bêtement. Je sens mes seins et mes fesses remuer au rythme de mes sauts … Sauter, tout le monde peut le faire, mais quand c’est aussi long, ça devient vite pénible ! Un garde passe et discute avec eux, on les entend rire. Il n’y a que la crainte du fouet de Karim qui me fait continuer.

Tout à coup, Lena dit au garde :

— J’oublie les filles, moi … C’est bon, vous pouvez arrêter !

Ouf ! On est rouges, essoufflées et couvertes de sueur. Lena nous dit :

— Demain, quand vous serez vendue, il faudra prendre ces positions. Cet après-midi, des acheteurs viendront vous examiner. S’ils le souhaitent, vous vous mettrez déjà dans les positions que vous venez d’apprendre. Ils peuvent aussi vouloir tester votre habileté, vous aurez sûrement des bites à sucer. Certaines propres, d’autres beaucoup moins. Attention, celles qui ne donnent pas satisfaction aux clients iront travailler dans les mines de phosphates et croyez-moi, ce n’est pas marrant.

Elle ajoute :

— Maintenant, on va vous tatouer. Suivez-moi.

Un tatouage ? Ah non pas d’accord ! Hélas, ici, j’ai juste le droit d’obéir. On arrive dans une pièce où deux hommes commencent déjà à tatouer des filles. Celles qu’ils doivent encore marquer ont les cheveux complètement relevés dans la nuque, grâce à un serre-tête en caoutchouc, et leur tatouage sera … un code barres dans la nuque  ! Oui, comme les articles dans un supermarché ! N’ayant jamais été tatouée, j’ai la trouille. Lorsque c’est mon tour, Lana montre un papier avec la marque qu’il doit faire. l’homme me dit :

— Tu ne bouges pas.

— Bien Monsieur.

Il pique dans ma nuque et je pousse un cri ! Aussitôt, Lana me lance :

— Tu veux une vraie raison de crier ?

— Noooon … pardon :

En un quart d’heure, mon tatouage est fait. L’homme colle un papier transparent sur son travail, puis il m’enlève le serre-tête. Quand on est toutes marquées, Lena nous dit :

— Ce tatouage permettra à nous, les Maîtres, d’avoir tous les renseignements vous concernant.

On va manger avec notre code barres, comme si nous étions nous-mêmes des boîtes de petits pois !

En début d’après-midi, Lena écrit un numéro au-dessus de nos seins, avec un marqueur. Ensuite on va dans un très grand enclos où il y a déjà des dizaines de filles. Il y a aussi des gardes armés de fouets, comme Karim.

On doit se mettre les une à côté des autres sur une rangée, puis les autres font pareil. Chaque file est à environ un mètre cinquante de la suivante. Les acheteurs potentiels commencent à arriver, avec un prospectus en main. Il y a beaucoup d’Occidentaux, mais aussi des Asiatiques. Un gros homme vient devant moi, je me mets en position n° 1 : les jambes écartées, les mains croisées sur la nuque … Et je me cambre bien. Du bout du doigt, il trace une ligne à partir de ma bouche vers mes seins, puis mon nombril, pour finir dans ma chatte. Il me pince les fesses avant de me demander :

Mia Michael - Je n'aime plus les vacances

Kmille en Lizzie plus vraie que nature, non ?

— Tu te laves bien les dents ?

— Oui, Maître.

— Montre-les ..

Grrr ! Mais j’obéis, évidemment. Ayant l’air satisfait de leur propreté, il sort son sexe de son pantalon avant de m’ordonner :

— Suce-moi !

Du coin de l’œil, je vois que Karim ne perd rien de notre « conversation » ! Je me mets aussitôt à genoux, puis je prends ce sexe en main ! Si mes dents sont propres, sa bite l’est beaucoup moins et j’ai un mouvement de recul.

— Aïïïe !!

Le fouet de Karim vient de claquer sur mes fesses. Je tire sur la peau pour dégager le gland et je le prends en bouche. Mes lèvres vont et viennent très docilement sur le sexe. J’ai peur du fouet ! Ça ne dure que quelques minutes, sans jouir, l’homme retire sa bite et vérifie la propreté des dents de la fille suivante. J’ai eu la malchance d’être la première à le sucer ! Sa bite sera propre pour la suivante.

Après ce sale type, une famille s’approche de moi. Ils sont tous blond-roux, l’air américain … Le père et la mère pas mal, la quarantaine. Les enfants, garçon et fille, doivent avoir 18 ans … Ils ont l’air ravis de pouvoir nous examiner. Je me mets dans la position 1. La fille tourne autour de moi, remarque la trace du fouet sur mes fesses et demande :

— Pourquoi on t’a fait ça ?

Ne sachant pas quoi répondre, j’opte pour la vérité :

— À cause d’un mouvement de recul au moment où j’ai dû sucer une bite, Maîtresse.

— Elle était sale ?

— …  Oui … maîtresse.

— C’est dégoûtant !

Je ne le lui fais pas dire. Elle me donne des petites claques sur le derrière en expliquant à ses parents :

— J’aime bien les fesses de celle-ci, avec cette marque.

La mère, qui examinait une autre fille, lui répond :

— Faut voir les autres, ma chérie.

C’est au tour du garçon de m’examiner. Il me lance :

— Position 4 !

Je me mets aussitôt à sauter … Ça l’amuse tellement qu’il dit à sa sœur :

— Vient voir son cul !

Ils rigolent en observant mes fesses qui remuent. La fille me dit :

— Maintenant, danse d’un pied sur l’autre.

Mais c’est pas une position, ça ! Karim avance de 10 cm et je saute d’un pied sur l’autre. Grosse rigolade chez les deux sales gamins. Heureusement, leur père les appelle !

Un couple d’une trentaine vient aussi m’examiner … À voir leurs vêtements et leurs bijoux, ils doivent être très riches. Certainement pas le genre à acheter des fruits au marché. Pourtant, c’est exactement ce que ces gens font avec moi : ils tâtent mes seins et mes fesses comme si c’étaient des melons. Ils s’amusent aussi à me faire prendre toutes sortes de positions …

Un homme les suit pour une fellation, normal ! Mais lui, au moins, il est propre. Les acheteurs défilent, j’arrête de compter le nombre de fois qu’ils m’obligent à me mettre à quatre pattes et sauter sur place …

Le couple de Texans revient, avec leurs enfants qui se conduisent comme des gamins de 6 ans très mal élevés. Je vois le père donner un gros billet à Karim ! Aïe ! Je vais être fouettée ! Non, leur fille se plante devant moi et dit :

— Lèche mes pieds !

Ouf, après la bite de tout à l’heure, faire ça, c’est pas grand-chose … Je me mets à genoux tandis qu’elle enlève sa basket et pose le pied dessus. J’ai parlé trop vite, par cette chaleur et dans des baskets, ses pieds ne sentent vraiment pas bon … mais je les embrasse et les lèche. Ce qui ne lui suffit même pas, puisqu’elle ajoute :

— Suce mes orteils.

Quelle sale petite garce ! Je fais comme elle dit, évidemment. Pffff …

À nouveau, ses parents me sauvent en l’appelant. Après celle-ci, quelques acheteurs viennent encore m’examiner … Enfin, ils s’en vont.

Lena vient nous dire :

— Toutes les dix, suivez-moi.

Fin de la journée de présentations des filles à vendre … On mange et ensuite, il va falloir passer la nuit dans la cage.

***

Le lendemain, nous devons nous laver au jet … C’est très froid, mais ça fait du bien … On déjeune vers 8 heures, après quoi il faut monter dans un camion style militaire. Lena et Karim sont avec nous. Ils nous attachent avec des menottes à des anneaux qui se trouvent sous la bâche du camion, donc on doit voyager debout et enchaînées. Lena nous annonce :

— Vous allez avoir l’honneur d’être vendues sur le grand marché aux esclaves. Là, des milliers d’esclaves vous ont précédés au fil des siècles.

Rien à foutre de son cours d’histoire ! Je veux m’enfuir !

On roule longtemps avant d’entendre la circulation et les bruits d’une grande ville. Enfin, ils s’arrêtent. Debout dans notre camion, on entend des hommes qui donnent des ordres, des claquements de fouets et comme pour leur faire écho, des femmes qui crient.

Karim nous détache et on descend dans une grande cour qui est au centre de plusieurs bâtiments de style mauresque. C’est sans doute le nouveau grand marché des esclaves …

Lena nous annonce :

— La vente va se faire immédiatement. Vous vous souvenez des positions, j’espère !

On va se mettre derrière une longue file de filles nues. Au fur et à mesure des appels, la première de la file entre par une porte. Il fait chaud, j’ai faim et soif et je dois faire pipi. On attend bien une heure avant de passer … Enfin, c’est mon tour. Un garde ouvre la porte et je me retrouve dans une sorte de théâtre.

Des projecteurs m’éblouissent … Un garde me fait prendre immédiatement les différentes positions, ensuite les enchères commencent. Je comprends à peine ce qu’ils disent en anglais. La seule chose qui est claire, c’est que quelqu’un m’achète. Je descends de la scène pour rejoindre un groupe de filles. Un garde me met un mince collier en acier autour du cou. Il y a un œillet, sur lequel il fixe une chaîne et je suis attachée avec les autres femmes. Cinq autres filles nous rejoignent, elles sont également enchaînées.

Un garde prend un bout de la chaîne et toutes les filles le suivent jusque dans une grande pièce. Le garde nous dit :

— Vous pouvez pisser dans ce seau et boire de l’eau.

Nous allons toutes nous accroupir et nous désaltérer. Une jolie femme brune arrive, sans doute une Latino. On forme un rang enchaîné. Elle nous examine l’une après l’autre et puis elle nous fait … un petit discours de bienvenue ! Enfin, disons un discours :

— Vous êtes maintenant la propriété de la « Slave Universal Trade » et vous allez être marquées au logo de la société. C’est une marque de qualité que vous arborerez fièrement sur la fesse ! Ensuite, on vous transférera dans un de nos établissements en Amérique du Sud.

Au secours !

Fin de la première partie.

***

Si vous aimez cette histoire, dites-le dans les commentaires et vous pourrez lire la deuxième partie cet été. En attendant, il y aura d’autres récits sur le blog de Kmille 😀

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