C’est un plaisir pour moi, de vous retrouver ici, dans cette nouvelle partie de LDDK. Enfin nouvelle, pas vraiment mais disons qu’elle est remise à jour et surtout remise en lumière et j’espère pouvoir vous y proposer régulièrement, de nouveaux dossiers sexo.
Aujourd’hui, j’ai décidé « D’inaugurer » cette mise en lumière avec le sodurètre plus connu sous le nom de sounding. Vous savez la pratique sexuelle qui consiste à introduire une sonde dans l’urètre, pour éprouver de nouvelles sensations. Pratique à priori terrifiante, n’est-ce pas ?
Bref, j’espère que ce « Dossier sexo » vous plaira et qu’il vous fera réagir. N’hésitez pas à y déposer vos avis, vos questions ou vos idées pour un prochain article. Vous participerez ainsi au tirage au sort du mois et tenterez de remporter le sextoy mis en jeu. N’oubliez pas : 1 commentaire = 1 chance de gagner !
Allez, installez-vous confortablement, serrez les dents : C’est parti ! Let’s Go !!!
LE SODURETRE, LE SOUNDING EN QUELQUES MOTS
Ne vous êtes-vous jamais demandé : « Comment en sommes-nous arrivés à ce que l’on connait en matière de sexualité ? », (Fellation, sodomie, squirt, lactation induite et même cunnilingus). Après tout, ce ne sont pas là, des pratiques utiles à la reproduction mais uniquement au plaisir (Et quel Plaisir).
Bref, au fil des siècles nous sommes passés de la levrette à des pratiques plus… stimulantes, pour seul et unique but : Le Plaisir. Au court des années on a osé plus de choses, pour en arriver à la fameuse citation : Quand on peut, on veut !
Force est de constater que dans le sexe, dès que l’on peut faire…, l’envie est si grande qu’on finit par le faire. Après tout, nous recherchons tous le plaisir, l’orgasme, et on se plaint toutes et tous, de la routine. Alors oui, les pratiques évoluent, les envies changent et petit à petit, on découvre de nouvelles sensations, de nouveaux plaisirs…
Le sodurètre (Ou le sounding) fait partie de ces pratiques qui interroge : « Pourquoi se glisser une sonde dans l’urètre ? », « Comment arrive-t-on à mettre un plug à urètre dedans ? », etc.
Dans tous les cas, le seul but est le plaisir, l’envie de plaisir, l’envie de vivre de nouvelles expériences, de ressentir de nouvelles sensations. Oh je vous vois là derrière votre écran, à dodeliner sur votre fauteuil, vous ressentez quelques petites douleurs, des petits picotements au niveau du bas ventre, etc. 😳
Bien sûr, on a toutes et tous les mêmes aprioris : « C’est dangereux ! », « Ça doit faire mal ! », « Pourquoi !? ». Et en effet, c’est dangereux, c’est pourquoi pour pratiquer le sodurètre il faut impérativement réduire ces risques, mais on en parle plus tard. Pour débuter, commençons par un petit tour d’horizon de la pratique.
LE SODURETRE, C’EST QUOI ?
Le sodurètre est un mot-valise formé de sodomie et urètre. Oui, oui, vous avez très bien compris l’image ( 😆 ). Cette pratique sexuelle consiste à introduire une sonde (Prévue à cet effet) dans l’urètre. Très confidentielle il y a quelques années, aujourd’hui on retrouve le sounding sur de nombreux Tube et quelques films porno.
On retrouve les premières traces de cette pratique dans les publications du chercheur allemand Ernst Gräfenberg, à qui l’on doit le célèbre Point G ou Point de Gräfenberg 😀
En 1950, il publie ses travaux sur le rôle de l’urètre dans le plaisir sexuel féminin. Il y cite l’exemple de deux lesbiennes qui s’offrent du plaisir à l’aide d’aiguilles à chapeau, qu’elles s’introduisent dans l’urètre. On y retrouve aussi le cas d’un homme qui avait pratiqué le sodurètre avec une balle de fusil… bon, celle-ci a poursuivi son bout de chemin, jusqu’à la vessie, donc : Next > 🙁
Le sodurètre a largement été démocratisé par le BDSM même si contrairement aux idées, ce n’est pas une pratique liée à ces jeux. On peut aisément l’intégrer dans nos moments coquins, en solo ou en duo (On en parle plus tard). Lors des préliminaires, par exemple.
Le sounding se démocratise pour le pire et le meilleur (Un peu). Pour le pire, car beaucoup sont celles et ceux qui le pratiquent n’importe comment. On retrouve ainsi des vidéos où des hommes s’introduisent dans le méat, le corps d’un stylo en plastique, une paille et même des crayons à papier, en faisant fi des risques.
LE SOUNDING ET LES RISQUES !
Bien sûr, il faut être conscient que cette pratique n’est pas anodine, elle comporte des risques : Lésions de l’urètre et infections urinaires, entre autre chose. Selon que vous soyez une femme ou un homme ces risques seront plus ou moins importants : Les femmes sont plus sujettes aux infections et à l’inverse, les hommes doivent faire attention aux lésions.
Je dois peut-être préciser un point anatomique : L’urètre d’une femme est plus court que celui d’un homme. Vous comprenez donc, pourquoi les risques bien qu’existants pour les deux sexes, sont plus importants selon les cas.
Dans tous les cas, si vous vous entourez des précautions nécessaires à ce genre de pratique, il n’y a aucune raison que cela se termine mal. Soyez progressif dans votre façon de faire et surtout utilisez des outils spécifiques à cet usage. Oubliez les manches de stylos, de couverts ou autres joyeusetés qu’on peut retrouver sur la toile.
Tout comme la sodomie, le sodurètre ne se pratique pas à l’arrache…
LE SOUNDING, POURQUOI !?
A la base il n’y a pas de bonne ou de mauvaise raison. Vous en éprouvez l’envie et cela devrait vous suffire. En solo ou entre adultes consentants, cette pratique sexuelle pourrait bien vous combler !
Imaginez une stimulation du point G ou de la prostate, depuis l’intérieur. Voilà ce que vous promet le sounding…
D’après Ernst Grâfenberg (Oui, encore lui), l’urètre serait proche des tissus érectiles, ce qui conduirait au déclenchement de l’orgasme.
– Chez la femme, les racines du clitoris et le point G sont situés autour de l’urètre. Le sodurètre permet de masser toute cette zone de l’intérieur. Une stimulation du clitoris et du point G en même temps et rien que pour votre plaisir !
Et là, ce n’est pas une notice commerciale qui prône tel ou tel vibromasseur…
– Chez l’homme, le sounding permet l’accroissement de la sensibilité du pénis et une sensation continue, proche de l’éjaculation. Si vous osez laisser la sonde poursuivre son chemin, vous arriverez alors à la prostate, pour un massage très… stimulant.
Prêt pour ces sensations renversantes !?
Vous l’aurez compris, le but n’est pas la « Douleur » mais bel et bien le Plaisir ! Oui le sondage vésical n’est pas réputé pour être des plus agréables, mais il me semble que le toucher rectal est dans le même cas, non ? Pourtant, la sodomie ne vous parait pas si bestial que ça, si ?
Faites abstraction de vos acquis et si vous en éprouvez l’envie, essayez !
SONDER SON URETRE, LA PRATIQUE.
Bien, vous êtes désormais prêt(e)s pour passer à la pratique. Avouez-le, vous en mourrez d’envie. Les picotements du bas ventre ont laissé place au désir de vous prêter à l’expérience 😀
Le moment est venu de choisir votre sonde à urètre, car vous êtes censés et puisqu’il s’agit d’une pratique comportant des risques, vous ne souhaitez pas faire n’importe quoi !
On trouve trois types de sondes à urètre : Les sondes plugs, les tiges et les tiges cathéter.
– Les sondes plugs : Elles sont courtes et conçues pour être utilisée durant la masturbation ou comme bijou « A urètre ». Certaines possèdent un anneau qui se place autour du pénis. Il permet de maintenir le plug à urètre durant l’orgasme et évite ainsi que les contractions de l’éjaculation ne l’expulse.
– Les tiges : Elles sont créées pour dilater le méat et l’urètre. Elles existent de différentes tailles avec des diamètres plus ou moins importants. Certaines se présentent tel des chapelets à urètre, elles provoquent des orgasmes intenses lors des va-et-vient.
– Les tiges cathéter : En silicone, elles s’enfoncent jusqu’à la vessie et seraient les plus adaptés pour la stimulation de la prostate. Les tiges cathéter sont creuses, pour laisser passer l’urine. Ce type de sondes sont parfaites pour les jeux uro 😀
Voilà, vous avez choisis votre outil… comment faire maintenant pour jouer avec. Cette pratique peut être introduite dans vos jeux en duo, mais si c’est une découverte pour vous, je vous conseille de l’explorer en solo. Ceci afin d’éviter tout risque, en solo vous sentez les choses.
Arrêtez-vous si vous ressentez une sensation de brûlure inhabituelle. Reposez-vous quelques minutes, le temps que votre corps s’habitue à la sensation. Laissez faire la gravité et ne brusquez pas l’insertion. Si vous sentez un blocage, ressortez délicatement la sonde puis réessayez délicatement. Ne forcez jamais.
Si malgré tout vous souhaitez jouer en duo, communiquez vos sensations, soyez à l’écoute de votre partenaire et de même, ne brusquez pas l’insertion. Ne forcez jamais et communiquez entre vous.
Attention, afin d’éviter toutes mésaventures, il est impératif de suivre ces indications :
– Désinfecter vos jouets avant et après utilisation. Pour ce faire utiliser un produit spécifique pour sextoys et de l’eau bouillante.
– Nettoyez vos mains et vos parties intimes avec une lotion antibactérienne.
– Buvez beaucoup d’eau avant vos jeux coquins.
– Utilisez un lubrifiant intime à base d’eau et n’hésitez pas à en abuser, lors de l’insertion.
– Insérez votre sonde à urètre délicatement et progressivement. Ne forcez jamais et laissez faire la gravité en vous contentant de suivre la progression en maintenant la tige.
– Immédiatement après avoir joué avec votre urètre, allez faire pipi pour évacuer les germes potentiels.
Ses précautions d’utilisation permettent de découvrir le sodurètre avec le minimum de risque. Cependant, cette pratique n’est pas anodine, elle est à réserver aux personnes averties et consentantes.
Je ne peux être considéré comme responsable, pour d’éventuelles conséquences d’une pratique mal maitrisée.
SOURCES UTILISÉES POUR LA REDACTION DE CE DOSSIER
Je n’ai hélas, pas la science infuse, donc comme pour tout mes dossiers, je m’appuie sur différents articles glanés ici et là sur la toile, sur les sites que je juge sérieux. N’hésitez pas à suivre les liens ci-dessous, pour aller plus loin dans votre lecture.
– Espace Libido : 5 choses à savoir avant de jouer avec son urètre.
– Le Monde : Le pénis est un orifice comme les autres.
– Wikipédia : Le sodurètre.
– Wikipédia : Ernst Grâfenberg.
CONCLUSION
Voilà, j’espère que ce dossier sur le sounding, vous aura plu. Peut-être vous aura-t-il donné l’envie de découvrir cette pratique sexuelle. Si tel est le cas, soyez prudent et respectez les précautions d’utilisation indiquées ci-dessus. Gardez en tête que c’est un jeu pouvant être dangereux, aussi ne le pratiquez pas n’importe comment.
Des boutiques en ligne proposent des sondes ou des plugs à urètre adaptés, donc privilégiez ces produits et oubliez tous ce qui n’est pas adaptés ou sûrs.
N’hésitez pas à laisser un petit commentaire, pour donner votre avis ou poser vos questions. Comme à chaque fois, vous participerez au tirage au sort du mois et tenterez de gagner le sextoy mis en jeu.
Gros bisous et merci pour votre lecture
K.
Waw, même pas la peine d’y penser … je doute prendre du plaisir à m’enfoncer ce truc dans le sexe.
Sans compter les risques de mettre des staphylocoques là, où normalement, ils ne peuvent accéder.
L’hygiène doit être irréprochable …
Pratique dangereuse à mon avis !
Coucou @Hawk,
Et bien comme dit dans l’article, c’est en effet une pratique à risque.
Dangereuse, non mais à risque oui. Il suffit de la pratiquer convenablement, comme beaucoup d’autres pratiques d’ailleurs.
L’hygiène doit être irréprochable mais au final il en est de même pour tous les sextoys. Il faut les nettoyer correctement avant et après utilisation.
Gros bisous et merci pour ton commentaire
K.
Excusez moi, mais ils y en à, qui passent à côté d’un plaisir qu’ils ne soupçonnent même pas…
Quand on dit prendre son temps, ce n’est pas brûler les étapes !!
J’ai 77 ans je pratique depuis presque 30 ans, de ma faute je n’ai connu que trois infections bénignes.
A mon âge les érections ont disparues, et le seul plaisir qu’il me reste, c’est de me faire jouir, grâce au sodurètre…
Voila ce que j’avais à dire, aux peureux.
S’il vous arrive un jour de vous retrouvez à l’hôpital et que vous soyez obligé de subir un pénétration de sonde dans l’urètre, je vous souhaite juste de sentir l’éjaculation montée !
Coucou Kmille,
Bon je ne crois pas essayer cette pratique mais l’article est vraiment intéressant. Je ne connaissais pas le sodurètre.
Coucou @Soso31,
C’est étonnant de ta part 😉 … je pensais que tu serais l’un des premiers à vouloir tester cette pratique 😉
Je plaisante bien sûr …
Merci beaucoup pour l’intérêt que tu as eu en lisant ces lignes, et merci pour ton commentaire.
Gros bisous
K.
Le pipi rapidement après, c’est très très important dans ces jeux de sodurètre.
Coucou @Philoo,
Oui, le pipi est très important, c’est le meilleur moyen d’évacuer les germes 😉
Gros bisous
K.
Je n’envisage pas cette pratique, mais ton article a le mérite d’être relativement complet.
On y trouve l’historique, l’anatomie homme/femme et bien évidemment les mises en garde.
Merci Kmille pour ce dossier sur le sodurètre.
Bises
Merci à toi pour ce commentaire.
Mon homme a été du même avis, au point d’avoir mal à l’évocation du sodurètre … mais après avoir testé, son avis à changé. Mais personnellement, je ne suis pas prête de franchir le pas moi-même 😀
Je vous proposerai, enfin on vous proposera bientôt, le test d’un sonde à urètre 😉
Bonjour Kmille,
Mon mari et moi avons testé le sounding, enfin surtout mon mari. Nous avons une amie infirmière et au cours d’une discussion intéressée par mon homme, nous en sommes venus à parler de ce plaisir si spécial.
Notre amie nous a dit qu’elle sondait souvent des hommes lors d’opération de prostate et a proposé de sonder mon homme …
Elle est donc venue un soir avec une sonde médicale et elle a sondé mon mari.
Il a eu quelques picotements et de légères douleurs mais supportables. Naturellement il bandait et cela n’a été que mieux pour le sodurètre. Notre amie a fait entrer et sortir cette sonde délicatement de son membre tendu et mon mari a fini par éjaculer.
Depuis il se fait sonder une fois tout les mois lors de nos soirées coquines. Mais il est vrai qu’il ne tentera pas cela seul, une main experte est ce qu’il y a de mieux.
Bises Kmille.
Coucou @Regal40,
Merci pour votre commentaire très sympa à lire.
Pour le coup, je pense par contre, que si jamais un jour je m’essai à cela, je préfèrerai le faire moi-même 😐
Mais c’est histoire de goût et surtout, de confiance, je pense.
Gros bisous
K.
Coucou Kmille,
Ton article est complet et très intéressant mais je passe mon tour.
Bises Kmille
Merci pour cet article !
Je ne connaissais pas du tout le sodurètre et ton article est vraiment complet !
Même si je ne suis pas intéressée par cette pratique, je suis contente d’avoir pu me renseigner là-dessus, grâce à toi 😀
Et bien je suis ravie si cet article a pu te permettre de découvrir cette pratique.
J’ai réussi à motiver mon homme (Alors que je suis comme toi 😀 ), donc bientôt … il y aura un test d’une sonde à urètre sur LDDKLDDKLDDK 😉
Gros bisous
K.
C’ est une pratique qu’adore mon chéri et c’est lui qui m’a guidé pour lui donner ce plaisir. Un peu réticente au départ car j’avais peur de lui faire mal, c’est maintenant une pratique qui fait partie de notre quotidien.
Il faut bien sûr être prudent mais nous n’avons jamais eu aucun problème…
J’avoue que j’aime lui donner ce plaisir et le voir perdre pieds 😀
Si un jour tu y gouttes, tu ne pourras plus t’en passer 😀
Bisous
J’ai lu avec plaisir votre commentaire et je suis ravi pour vous deux sur le fait d’oser prendre du plaisir en pratiquant le sodurètre 😀
Si je peux vous donner un conseil, ce serait de vous munir de plusieurs sortes de plugs à urètre. Cela vous donnera encore plus de plaisirs.
Je vous souhaite beaucoup de bons moments ensemble !!
Le sodurètre est vraiment un grand plaisir. En prenant les précautions d’usage c’est une pratique différente, des autres jeux d’amour.
C’est tellement agréable 😀
Bravo !
Enfin quelqu’un qui a bien expliqué la chose.
Merci.
Bonnes informations et c’est bon à savoir pour la sécurité.
J’aimerai vraiment essayer le sodurètre mais je manque de confiance en moi pour le faire, alors que je cherche de nouvelles sensations.
Coucou @Val’
Je comprends tes réticences et honnêtement, personnellement je suis dans le même cas, c’est une chose qui m’attire mais pour l’heure je préfère laisser cela à mon homme. De plus soyons honnête, c’est plus simple pour un homme et moins « risqué » mais en effet, c’est une pratique à envisager en connaissance.
Avec des produits de qualité et en s’entourant d’un maximum d’hygiène afin d’éviter tout risque.
Ensuite il faut laisser faire la gravité (Lors des premiers essais) tout en maintenant la sonde ou le plug.
Mon homme le fait sans difficulté et pour tout t’avouer, c’est moi qui grince des dents quand je le vois faire, lui se contente de prendre du plaisir ( 😀 ) et pourtant au début il était vraiment réticent à l’idée.
Je t’encourage donc à franchir le pas mais toujours en étant délicat et en écoutant ton corps et tes réactions. Si tu ressens la moindre gêne tu stoppes et reprends si tu le souhaites, quelques minutes après.
Gros bisous et merci pour ton commentaire
K.
Bonjour,
J’ai enfin testé cette pratique avec plusieurs objets : Le plug, la tige et la tige cathéter.
Perso, le plug et la tige, ne me procurent absolument rien.
Par contre, la tige cathéter, oulala ! Quand elle arrive le long de la prostate, quel plaisir !
La tige mesure quand même 30 centimètres ( 😯 ) et il faut l’enfoncer jusqu’au bout pour ressentir la sensation. A environ 25 centimètres d’insertion, on ressent la sensation.
Je nettoie toujours la tige au gel hydroalcoolique (Ndlr : Avant de la rincer à l’eau tiède), c’est un produit que l’on trouve facilement en ce moment ! Lavage des mains et du pénis, et c’est partie pour une petite séance.
Lors de l’éjaculation, c’est tellement puissant que le sperme pousse la tige vers l’extérieur.
Je mets du 5 millimètres de diamètre. J’ai testé le 7 millimètres, c’est gros mais ça rentre bien. Le 7 ne me procurant pas plus de plaisir, je garde le 5 car il rentre facilement sans aucune douleur 😀
Voilà mon partage d’expérience.
Bonjour,
J’ai apprécié cet article et les commentaires apportant quelques précisions.
J’ai moi-même connu cette pratique lors d’une expérience SM. Je me suis rendu compte de ce que je ressentais lorsque ma Domina me retira le foulard des yeux. Je n’en revenais pas. Les sensations et la vue de la situation n’ont pas tardé à me faire jouir. Depuis, j’ai renouvelé seul l’expérience, avec des jouets de différentes formes et longueurs jusqu’à pouvoir m’introduire des tiges de 8 mm et des plugs de 9 mm de diamètre. Les sensations sont extraordinaires.
Je ne pratique que de manière occasionnelle mais je suis tenté par des objets légèrement plus larges. Je souhaitais savoir si le méat et l’urètre, reprennent leur dimension proche de l’origine ?
Merci de votre retour.
Bonjour @Alexals,
Merci pour ton commentaire hélas je ne peux répondre à ta question de façon définitive. Nous n’allons pas au-delà des 12 mm et Céd’ n’utilise ce plug à urètre que de manière très occasionnelle. A chaque fois son méat reprend sa taille mais je ne puis te certifier qu’avec une utilisation régulière et/ou avec un produit de diamètre plus important, il en sera de même.
Tu indiques pratiquer occasionnellement tu es donc dans le même cas que Céd’, aussi si tu n’excède pas les 12 mm il n’y a pas de raison que ton méat ne retrouve pas sa taille.
Au plaisir de te lire et une nouvelle fois, merci pour ton commentaire.
Gros bisous
K.
Merci Kmille, pour ta réponse.
J’espère qu’elle sera aussi utile à moi qu’à d’autres. 12mm c’est impressionnant et me laisse une marge importante, encore que… 😉
Au plaisir de poursuivre la découverte de votre blog !
Voici ma pratique du sounding :
J’enfonce la sonde jusqu’au niveau de la prostate. Ensuite, j’applique un vibro sur l’extrémité qui dépasse et en me relaxant, je peux « éjaculer » plusieurs fois.
Je dois prendre des précaution pour ne pas trop mouiller mon lit 😀
Si je suis en forme, je peux éjaculer simplement en stimulant ma prostate. Sinon j’applique le vibreur sur mon gland.
Bonjour Kmille,
C’est avec un réel intérêt que j ai lu votre dossier sur le sounding. Il a retenu toute mon attention.
Je suis un homme de 67 ans qui a redécouvert grâce à vous, des sensations au niveau du pénis qu’il avait perdu.
A la lecture de votre article, je me suis motivé pour découvrir les sensations provoquées par l’introduction dans mon pénis de tiges, de plugs et autres objets à ma disposition. En effet aujourd’hui, je pratique régulièrement en solo grâce à vous, le sounding. J’ai commencé par l’utilisation de tiges plus ou moins longues pour passer ensuite aux plugs de tailles raisonnables 10 millimètres sur 12 à 15 centimètres, que j’introduis dans mon urètre et que je fixe à un anneau au sillon du gland pour être maintenus et porté dans mon pantalon quotidiennement.
Je tiens à vous remercier pour l’envie que vous m’avez donné de découvrir cette pratique sexuelle, et vous faire partager mon expérience.
Amicalement.
Bonjour @Daniel je voudrais savoir si tu jouis quand tu entres une tige courte qui ne va pas toucher la prostate et quand tu la portes dans tes pantalons si tu ressens du plaisir, si ça te fais jouir ?
Merci pour ta réponse amicalement.
Curieux
Fantastic post, very informative. I’m wondering why the opposite experts of this sector don’t notice this. You must continue your writing!
I’m sure, you have a huge readers’ base already!
Votre dossier est très bien fait !
J’espère qu’il donnera envie à certain·e·s d’essayer pour le moins et même d’approfondir le sujet 😀
Merci
Bonjour Kmille, tt merci pour cet article instructif plein d’informations et de bon sens.
Le sodurètre (Ou le sounding) titille délicieusement ma libido depuis des années 😀
Après avoir osé tout dernièrement l’intermission furtive d’un petit plug à urètre d’une longueur de 5 à 6 cm, je me suis ensuite laissé tenter par une tige de sounding en silicone de 11 cm de long.
Je songe de plus en plus à poursuivre tout en douceur cette découverte via une tige plus longue.
J’ avoue que celle courageusement testée par Céd’, me tente.
Si votre blog a pour vocation de provoquer la tentation et le désir, il attend amplement son but.
Merci pour tout cela.
C’est une pratique que je fais périodiquement et j’éprouve beaucoup de plaisir. C’est très agréable et d’autant plus devant une femme complice 😳
J’encourage tout le monde à essayer, c’est une vrai partie de plaisir et de bonheur !!
Alors là, je découvre carrément l’existence de cette pratique !!!
Comme quoi, tout est possible 😉
Très intéressant, cela me donne envi d’essayer 😀
Je voudrais savoir s’il faut une seringue pour mettre du lubrifiant à l’intérieur de l’urètre ou on n’en met que sur le bout du pénis et sur la sonde, et quand on éjacule faut-il enlever la sonde ?
Merci Kmille pour ton article complet je crois bien l’essayer 😀
Coucou,
Non il est inutile d’utiliser une seringue pour mettre le lubrifiant. Il te suffit de mettre une noisette sur ton méat puis d’en mettre un peu sur la sonde (Hygiéniquement nettoyée).
Pour le fait de retirer ou non la sonde lors de l’éjaculation, tu le constateras par toi-même, lorsque tu vas éjaculer la sonde sera repousser mais en fonction de tes sensations et plaisirs, tu pourras la maintenir (Sans forcer). Ce sera à toi de voir en fonction de tes plaisirs 😉
Gros bisous et merci pour ton commentaire.
Coucou,
Je me demandais : Est-ce qu’il peut y avoir une pénétration avec un certain type de plug à urètre ?
Coucou @Lawrence,
Honnêtement même si de tel plug existait, je le déconseillerai. Vu le type de produit, une pénétration pourrait engendrer des lésions non souhaitées et souhaitables 😉
Gros bisous
K.
Il se vend de nombreux plugs pour urètre de différentes dimensions.
Il faut savoir choisir la bonne grosseur pour éviter des blessures. Pensez à utiliser du lubrifiant pour facilite l’insertion dans urètre. C’est un réel plaisir !!
Salut, très intéressant ce dossier !!
J’ai envie de tester seulement quel diamètre pour commencer ? 2 millimètres me paraît petit et 6 millimètres me fait peur, et je n’ai pas envie d’acheter 50 sondes…
Merci
Coucou @Coyote,
Le diamètre pour bien débuter dépend de toi et uniquement mais je comprends que tu n’aies pas spécialement envie d’acheter plusieurs sondes, du coup peut-être pourrais-tu t’orienter vers les sets de sondes à urètre qui proposent plusieurs diamètres différents. Ainsi, par exemple, ce kit de dilatateurs à urètre pourrait convenir à ta recherche : Kit Dilatateurs à Urètre Silicone Dilator Set. Le diamètre va de 35 millimètres à 75 😉
Si tu as des questions plus précises n’hésites pas à me contacter directement 🙂
A très bientôt
K.
Je viens de lire ta réponse, je voulais juste ajouter une petite chose :
Amazon vend beaucoup de plug pour urètre de différentes grosseurs et différentes longueurs, il est facile de choisir… cependant, il est souhaitable de commencer avec une petite grosseur genre 6 à 7 mm.
Je t’assure que la pratique du sodurètre est un véritable plaisir 😀
On y prend vite gout !!
Bonjour Kmille,
Il y a environ deux mois, j’ai visionné une vidéo en ligne d’un gars pratiquant une séance de sounding. Je savais que cette pratique existait mais rien de plus.
J’en ai visionné d’autres et j’ai ressenti le besoin d’élargir mes connaissances sur le sujet 😳
En consultant les blogs ou les guides sur le web, je suis tombé sur votre article et sur le test de votre compagnon, et je dois dire qu’ils m’ont tous les deux intéressés au plus haut point.
Le fait que vous soyez une femme et que vous avez convaincu votre homme de tester le sounding m’a quelque part rassuré.
J’étais maintenant prêt à passer à la pratique et j’en avais vraiment très envie.
Je me suis procurer le matériel nécessaire dans une boutique en ligne :
– Kit 4 dilatateurs d’un diamètre de 4, 5, 6 et 7 mm en acier inoxydable
– Lubrifiant stérile à base d’eau pour usage urétral.
Après avoir désinfecter les sondes (Eau bouillante), nettoyer mes mains et avant-bras (Façon chirurgien), mes parties intimes avec du savon antibactérien et bu beaucoup d’eau, j’étais paré pour le grand saut.
Je me suis installé sur mon lit. (Je vous avoue que j’étais fébrile et que je ne bandais pas.)
Je prends mon sexe en main, je dépose une bonne dose de lubrifiant sur mon méat ainsi que sur la tige lisse de 5 mm de diamètre.
Je la dépose sur mon méat et commence à l’insérer très doucement.
Ô surprise ça rendre facilement sans douleur juste un petit picotement qui disparaît rapidement.
Je maintiens la tige et je laisse la gravité faire son travail. Elle progresse doucement et je suis hypnotisé par cette sonde qui disparaît.
A mi chemin, elle s’arrête (15 cm insérable). Je la ressors lentement. Toujours pas de douleur et c’est très agréable. Je remets du lubrifiant et je recommence plusieurs fois.
Pas de masturbation, je ne veux pas prendre trop de risque.
Je décide d’arrêter mais pas avant que la sonde pénètre mon pénis jusqu’à sa base.
Dose de lubrifiant et merci la gravité, mon membre l’avale tout seul sans mon aide et je suis en érection.
Quelle sensation de plénitude ! Et j’en profite quelques minutes. Je n’ai pas envie d’arrêter. Il le faut pourtant. Je ne veux pas abuser. Mon pénis n’a jamais était pénétré.
Je retire la sonde et me dirige immédiatement vers les toilettes. Mon urètre est sensible mais pas de brûlure. Je ressens seulement une envie d’éjaculer avec des spasmes du périnée.
C’est hyper agréable !
Ma première fois a eu lieu hier matin. J’ai écrit ces lignes environ quatre heures après 😀
Je ressentais encore des ondes de plaisir qui partaient de mon bas ventre et se propageaient dans tout le corps.
Aujourd’hui, je n’ai qu’une seule envie : RECOMMENCER !
Cependant, je prendrais mon temps car mon objectif est d’atteindre la prostate et de ressentir tous les plaisirs que, elle seule est capable de nous offrir.
Merci @Bruno, pour ce témoignage très intéressant et complémentaire à mon dossier.
Je suis ravie de lire que tu as osé franchir le pas pour ainsi, découvrir une autre façon de prendre du plaisir. Ravie aussi de lire que tu n’as pas fait ça n’importe comment.
J’en profite pour attirer l’attention de celles et ceux qui sont intéressé·e·s par ce type de pratique : Encadrez-la, ne faites pas n’importe quoi et ne prenez pas ce qui se fait sur Pornhub pour modèle. On oublie les corps de style, les manches de couteau et j’en passe. Il y a des accessoires prévus à cet effet alors on les utilise 😀
Encore une fois, merci @Bruno pour ton témoignage ♥♥♥
Je voudrais ajouter un petit plus au commentaire sodurètre. Que je pratique depuis plusieurs mois 😆
J’ai démarré avec des plugs de 8 puis 9 millimètres de diamètre. Maintenant je peux utiliser un plug de 12 millimètres. J’avais l’habitude de le garder inséré 1 heure voire plus. Maintenant au bout d’une demi-heure il a tendance à sortir de l’urètre. Je me suis dit en freinant le canal de l’urètre avec un anneau de gland de 20 millimètres le plug ne sortira pas. C’est ce que j’ai fait et je suis tranquille pour porter mon plug encore plus longtemps (1 heure – 2 heures voire 3).
C’est un vrai plaisir !!