Baisée en forêt

 

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Il est 16 h 00 quand Anne-Sophie termine son service, nous sommes dimanche et pour éviter un trop long trajet elle décide de couper par la forêt. La route y est mauvaise, elle lui fait même un peu peur. Mais c’est bien plus court, et puis, elle est pressée de rentrer…

Anne-Sophie ne croise aucune voiture depuis près de 10 minutes et, honnêtement, tant mieux. La route est vraiment étroite, on ne passe pas à deux sans mordre le bas-côté et, au final, risquer de se mettre dans le fossé. Bref, elle ne croise personne !

Concentrée, à vitesse réduite, elle scrute l’orée du bois, angoissée d’y voir surgir un chevreuil. Mais elle ne voit pas ce pickup qui surgit d’un chemin de traverse, là, à la sortie du virage. Au dernier moment Anne-Sophie freine, fait une embardée, frôle le pare-chocs et se précipite dans le fossé et paf la pastèque…

Un peu sonnée elle est rapidement rejointe pas le passager du pickup tandis que son conducteur, Alfred, le recul sur le chemin, histoire de ne pas provoquer un autre accident.

— Ça va m’dame ?!!

Anne-Sophie s’extirpe de sa Golf, habillée d’une jupette blanche, en talons, elle trébuche et se rattrape au jeune homme.

De l’autre côté de la route Alfred hurle :

— Gustave, elle a rien !

— Non c’est bon, elle va bien !

— Ok, va foutre le triangle !!

Alfred invite Anne-Sophie à le rejoindre : « Venez de ce côté ! ».

En la voyant traverser cette route boueuse en pleine forêt avec sa jupette et ses talons de salope, il ne peut s’empêcher de penser que ce n’est pas une tenue pour conduire :

— Vous r’gardez la route des fois ?!

— Euh… oui mais vous avez déboulé comme ça !

— Oui et vous avez bousillé ma caisse !

— Oh ça va, elle a rien, la mienne est foutue !!

Les yeux d’Anne-Sophie s’embrument en voyant sa Golf flambant neuve dans le fossé…

— Gustave va la remorquer ! T’inquiètes pas.

En attendant Gustave il sort le constat griffonne le croquis de l’accident, indique les dégâts et… mais elle l’arrête. Un autre accident risque fortement de lui coûter son assurance, ce n’est pas le premier, disons qu’elle n’est pas très vigilante au volant.

— Votre voiture n’a rien, on n’est p’têt pas obligé de faire un constat.

— Y’a rien, mais ça va pas, r’garde le pare-chocs il est foutu… faut payer ça !

— C’est une éraflure c’est pas grand-chose.

— Une éraflure, mais ça va pas, y’en a au moins pour 200 bales !!

— J’ai rien sur moi là…

— Oui ça je l’vois !!

— … mais j’vous le paierai.

— Non soit tu paies maintenant soit on fait un constat !!!

Gustave revient en courant vers son ami Alfred qui lui indique de sortir la Golf du fossé à l’aide du pickup.

— Soyez sympa, s’il vous plait.

Alfred est furibonde, sympa, il l’est mais couillon ça non. Il insiste pour remplir le constat. Alors, Anne-Sophie décide de jouer de ses charmes et tout en dandinant du cul, elle fait la moue :

— Je sais que je suis en tort, mais soyez sympa.

— Mais c’est 200 balles, ça fait chier merde !!!

Elle s’approche d’Alfred, lui effleure le dos de la main :

— On peut peut-être trouver un moyen de s’arranger.

— Euh…

Le sourire charmeur et le regard coquin de la belle révèle une idée indécente. Elle se colle à lui et lui murmure à l’oreille :

— On peut s’arranger autrement, non…

Tout en le fixant du regard elle se recule de quelques pas puis sur ce chemin de forêt, déboutonne un à un les boutons de son chemisier rose pâle. Petit à petit sa poitrine apparait, petite et ferme, les tétons dressés, bien durs. Elle ne porte pas de soutien-gorge et oups… pas de culotte non plus.

Alfred se sent à l’étroit dans son vieux jean délavé, sa bite se raidit.

La poitrine enfin libérée, elle se plaque à nouveau contre lui et, d’une main agile et curieuse elle descend jusqu’à son entre-jambe, caresse sa bite empaquetée dans ce pantalon devenu si étroit. D’un geste sûr, elle libère cette énorme queue et l’empoigne à pleine main. Elle le branle doucement, délicatement de haut en bas.

Coquine ou salope, elle s’agenouille devant ce chibre gonflé par l’envie et l’enfourne dans sa bouche experte. En un clin d’œil elle l’engloutit, la déguste et la ressort lentement.

Debout, le volubile Alfred perd ses mots et ne bredouille que quelques « humm » ici et là. Cette pipe est parfaite, Anne-Sophie sait y faire, elle aime ça et ça se voit…

Gustave attache la Golf au treuil du pickup puis actionne le bouton. La voiture glisse et sort du fossé, la puissance du pickup fait son œuvre et facilement la tire vers lui, en quelques minutes la Volkswagen est dans le chemin, bien à l’abris.

Toujours à son affaire, Anne-Sophie ne remarque pas le jeune homme en train de la mater, elle suce à pleine bouche, lèche et astique le membre dressé d’Alfred. Hésitant, il s’approche et d’une main timide, caresse sa croupe tendue. Elle ne dit mot, se laisse faire et mieux encore, elle dandine son cul et le tend plus encore…

Ses gémissements étouffés l’encouragent à être plus entreprenant.

A présent en levrette, toujours en train de pomper cette imposante bite, elle lui offre son séant.

Gustave répond à cette provocation en baissant son jogging, puis, le sexe au garde-à-vous, s’enfonce en elle, son anus s’ouvre délicatement et dans un soupire de satisfaction il débute un va-et-vient vigoureux, profond et rapide. La salope aime ça et elle le montre en venant à sa rencontre. C’est elle qui imprime les va-et-vient, tantôt lent, tantôt rapide.

Le clito gonflé, le con dégoulinant, elle suce et s’encule avec un plaisir déconcertant, là en plein milieu d’une forêt.

La fougue des deux mâles, exacerbés par l’excitation d’Anne-Sophie, prend le relais. Et c’est à tour de rôle qu’ils s’emploient à la satisfaire. Chacun leur tour ils s’enfoncent dans son anus ouvert et accueillant. Va-et-vient après va-et-vient la belle gémit :

— Humm, oui c’est bon ! Oui !!!

Déchainé, Alfred agrippe sa croupe et sans effort s’enfonce en elle, il alterne entre son anus et son vagin. Ses couilles frappent le haut des cuisses de cette coquine si difficile à satisfaire. Ereinté, en sueur malgré ce froid hivernal, il cède sa place au jeune Gustave, plus fougueux.

Agrippant sa chevelure dorée il la pénètre vigoureusement, en quelque va-et-vient profond la jeune garce se lâche et dans un long gémissement jouit. Ses jambes se serrent, se chatte se contracte puis, dans un dernier soupire de satisfaction elle s’écroule dans la boue de ce chemin de forêt.

Satisfaite, c’est recouvert de boue qu’elle termine en suçant ces deux sexes toujours dressés. Une à une, elle les engloutie, les astique, puis déguste leur jus onctueux. Chacun leur tour ils s’oublient dans sa bouche. Elle les déguste jusqu’à la dernière goutte. Anne-Sophie adore le sperme et c’est dans une totale méprise des risques qu’elle avale ce liquide blanchâtre.

Enfin, dans un sourire satisfait, Anne-Sophie prend la parole :

— Alors, c’est bon pour le pare-chocs ?

Pour seule réponse, Gustave lui tend avec bonté une vieille couverture usée prise dans la benne du pickup :

— Tiens, pour t’essuyer un peu.

Elle essuie la boue sur sa poitrine, sur son ventre et ses cuisses puis se rhabille avant de dire :

— Merci pour ce moment…

Alfred, le vieux briscard, encore étonné par cette partie de jambe en l’air, lui réajuste son chemisier.

— Ta Golf a pas grand-chose, mais si t’as besoin d’un garagiste, appelle-moi, le numéro et sur le constat.

— Merci.

— Non, c’est rien, dépêche-toi avant que la nuit tombe.

Il est 18 heures quand Anne-Sophie sort de cette forêt au mille délices au volant de sa Golf embouée. Demain elle appellera Alfred pour avoir les coordonnés du garagiste…

***

Note de l’Autrice :

Cette histoire est une fiction (Ou pas…) volontairement libérée. Toutes les scènes décrites dans La visiteuse, ne représentent pas la vision du sexe par les femmes. Chaque femme est libre d’explorer sa sexualité selon ses envies. Merci de respecter les femmes, nous sommes si douces et si belles, et surtout nous sommes douées de conscience 😉

 

Retrouvez toutes mes histoires érotiques dans ma rubrique Kmille raconte.

Retrouvez les aventures de Karine dans mon e-roman « Aux services du vieux pervers » qui prend naissance avec Lutte des classes.