Prunes par Mia Michael

 

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En août, je suis allée faire des photos à Bruxelles. On est vraiment en ville, mais depuis la terrasse de l’appartement où nous nous trouvions, j’ai vu le jardin de la maison d’à côté : une oasis de verdure. Un jardin plutôt sauvage, avec des murs couverts de lierre, un frêne, un marronnier, des bosquets de buis, des fougères … Des bambous lui donnent même un aspect exotique. En contrebas de la terrasse, il y a un prunier couvert de … prunes. J’en mouillais … Je veux dire, j’en salivais, rien qu’à les regarder.

Manifestement, personne ne se préoccupait de les cueillir, à part les oiseaux. Je suis sûre que les pigeons et les merles de ce jardin doivent avoir un petit ventre bien rond en cette saison.

J’ai dit au photographe :

— Quand on aura fini, ça ne vous dérange pas si je demande à votre voisin si je peux cueillir des prunes ?

— Non, pas du tout. Mais je te préviens, c’est un professeur de collège et il n’est pas commode.

Bah ! Après tout, un instituteur, c’est un homme et les hommes, je sais comment les … prendre.

À la fin de la séance de photos, je me suis rhabillée … oui … euh … parce qu’on avait terminé par les célèbres « pose du bébé » : toute nue, couchée sur le ventre, sur une peau de mouton. Mais bon, avec une bière en main, pas un biberon.

Je me rhabille : une mini robe blanche et noire, une culotte et des tongs. Je retourne sur la terrasse. Comment entrer en contact avec le prof grincheux et ses prunes ? Et là, bing ! une idée. J’enlève ma culotte pour la jeter sur le prunier. Des prunes et une culotte de fille, ça va bien ensemble.

Après avoir pris congé du photographe, je vais chez son voisin. Je sonne, un homme dégarni, avec des lunettes sans monture, vient m’ouvrir. C’est le moment de la jouer fine, Mia.

Je prends un air angélique pour lui dire :

— Excusez-moi, M’sieur, mais ma culotte est tombée dans votre jardin.

Il me regarde, surpris. Je continue :

— C’est que … j’ai eu un petit accident à cause du thé, alors je l’ai mise à sécher sur la terrasse et puis il y a eu un coup de vent …

Après avoir regardé ma mini, il me demande :

— Vous n’avez rien en dessous ?

Moi, je réponds en me tortillant :

— Ben non, M’sieur, et c’est gênant pour prendre le bus … Surtout qu’il y a du vent.

Il soupire et me dit :

— Bon, venez récupérer votre dessous, Mademoiselle.

Il parle vraiment comme un prof. Je sens qu’il me ferait bien écrire 100 fois « Je ne dois pas faire pipi dans ma culotte et encore moins la jeter dans le jardin des voisins. » Mais, je vois bien aussi que la situation commence à lui plaire. Je lui fais mon regard de biche avec battements de cils, qui veut dire : « Si vous voulez, je serai très gentille avec vous. » Ben, quoi ? Vous auriez vu vous toutes ces prunes ! En tout cas, il a compris le message.

Je le suis dans le jardin et on regarde ma culotte qui flotte au vent à 3 m du sol.

Il me fait remarquer :

— Au moins, elle sera sèche.

Il va chercher une échelle et la pose contre l’arbre. Je lui demande :

— Vous voulez bien le tenir ? J’ai peur de tomber.

Un peu, qu’il veut !

Mia Michael - Prunes

Je grimpe, j’attrape la culotte et je redescends, mais … oops, il ne bouge pas et mes fesses atterrissent sur son visage. Je vais vous dire, dans l’enseignement, il faut avoir la langue bien pendue et c’est son cas. Première fois qu’on me lèche la chatte, en haut d’une échelle et entourée de prunes

Ça n’arrive pas à toutes les filles ça, à part peut être à Rihanna qui a l’air très, très délurée. J’adorerais tenir son échelle.

J’aime les situations inhabituelles et je me laisse complaisamment lécher la chatte. Il passe de mon anus à ma chatte … Je me cambre bien, en haut de mon escabeau, pour qu’il puisse atteindre mon clito. Je lui dis :

— Oui, là, Monsieur, sucez-moi. Ouiiii … Mmmmhhhhh ….

Étant sensible comme fille, je ne résiste pas longtemps : quelques minutes plus tard, je jouis en mouillant le visage de l’instituteur.

Bon, ça, s’est fait. Maintenant, il me faut des prunes ! Je lui dis :

— À vous maintenant …

Je descends de l’échelle et je m’agenouille sur le gazon. Il sort son sexe et je le prends en bouche. Le gland est tout mouillé … Je lui fais une super fellation, comme une de ses élèves qui aurait peur d’avoir un zéro. Une élève de 18 ans bien sûr. Il aime … beaucoup … Je crois que j’aurai un 20 sur 20. Quand je sens qu’il va jouir, je sors son sexe de ma bouche et son sperme va atterrir sur quelques pois de senteur, formant une petite guirlande laiteuse.

Quand un Monsieur vient de sortir sa bite de votre bouche, il n’a plus grand-chose à vous refuser … surtout pas des prunes. Aussi est-il d’accord pour que je prenne tous les fruits que je veux. Yeesss !

Il y en a beaucoup par terre, suite à nos acrobaties sur l’escabeau. Je commence à les ramasser. À quatre pattes, en mini jupe, mes fesses prennent l’air, surveillées par le prof ! Pas facile pour un prof convenable de dire à une pure jeune fille … à une jeune fille … à une fille, « j’ai aimé vous lécher, la chatte, Mademoiselle, maintenant, je voudrais vous tirer. »

Il trouve un autre moyen, il me dit :

— Derrière la cabane, il y a un potager … bio !

— Super ! Je pourrais avoir quelques légumes ?

— Bien sûr et si j’osais, je vous demanderais …

Le reste ne vient pas, alors je l’aide en disant :

— Un de mes fantasmes est d’être prise en levrette dans un potager bio…

D’accord, c’est un peu direct.  On va dans le potager, c’est la caverne d’Ali Baba, des légumes bio. Le prof me dit :

— Tu prends ce que tu veux.

— Merci, M’sieur.

Je remplis deux cagettes de légumes … Quand elles sont remplies, je m’occupe du prof. Pour le remercier, j’enlève ma robe et je fais la chatte dans les légumes …

Le prof descend son pantalon et je peux constater à quel point je lui plaisais. Je me suis mise à 4 pattes et il est venu derrière mois. Il a caressé ma fente du bout de sexe. Oui, mais on n’a pas dit du flirt ! Je donne un coup de reins et il est entré en moi. Il m’a prise par mes hanches et m’a baisée à grands coups de reins. J’avais le nez dans des tomates et un peu plus loin des concombres et des courgettes me faisaient de l’oeil. Le prof, a accéléré et j’ai senti son sexe grossir en moi. Eh, oh ! Pas si vite ! Continue ! Il n’a pas su et il a jouit dans son petit caoutchouc. Pffff ! Ils sont rapides dans l’enseignements. Alors, devinez quoi ? Oui, j’ai pris une courgette et je me la suis collé dans la chatte. Ouch ! Je la sens bien! La courgette m’a baissée comme une reine. Quelques minutes, plus tard, je grimpais aux rideaux ! Oui, c’est une image.

Je peux revenir quand je veux, m’a dit le prof.

Je suis rentrée chez moi avec des beaux légumes et tellement de prunes que j’ai fait des confitures … Et, je n’ai pas oublié la courgette, bien sûr 😆

A suivre …

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