Mon cousin pervers !!!

 

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Je fantasme depuis 4 ans sur Jérôme, j’ai 18 ans et j’ai  » vu le Loup  » il y a déjà 5 ans. Bon, je dois dire que j’adore ça et que pour beaucoup je suis déjà une belle petite salope mais que voulez-vous. Je découvre le sexe, ma sexualité et j’avoue y prendre un certain plaisir. Et puis, après tout, mieux vaut en profiter jeune qu’une fois adulte, en couple avec des enfants.

Bref, depuis 5 ans je collectionne les aventures, les expériences et les pratiques. Ma première sodomie, j’avais 16 ans et euh…, comment dire, la première fois, c’était juste pitoyable et très… douloureux. Le mec manquait d’expérience et pour lui tout se passer comme dans un porno. Autant vous dire que ce mec n’est pas dans mon top 10 des meilleurs coups de l’année ! Mais j’imagine que pour lui c’est le top du top. Enfin bref un con à zapper sans ménagement !

J’ai donc 18 ans et mon cousin, lui, en a 23. Oui il a 5 ans de plus que moi et je fantasme sur lui depuis mes 14 ans. Et dire que plus petit, enfin quand moi j’étais plus petite on jouait  » au docteur « . Si seulement aujourd’hui il voulait encore jouer au docteur avec moi…

Oui, ça fait 5 ans que je me caresse en pensant à lui, où je jouis en imaginant ce qu’il pourrait me faire découvrir. Mon cousin est un pervers !

Et dans mes scénarios les plus coquins je n’aurai jamais osé imaginer ce qui va suivre…

Nous sommes en plein mois de Juillet, il fait hyper chaud et mes parents ont organisé un repas de famille dont ils ont le secret. Toute la famille est là et forcément mon cousin pervers est, lui aussi, présent. Autant vous dire que j’ai sorti mes fringues les plus sobres et sexy à la fois (Famille oblige), car pour mon père et le restant de ma famille, je suis encore pucelle. Seule ma mère sait que je suis une femme. Je prends bien sûr la pilule et je suis rodée au maniement des capotes.

Pour tout vous dire, je sais même dérouler une capote sur une queue bien dressée avec ma bouche. Pas mal n’est-ce pas !!?

Tout le long du repas je matte mon cousin pervers du coin de l’œil, je l’imagine en train de me baiser, sa queue dans ma bouche. Je suis toute chose. Ma chatte est humide, je le sens, je mouille comme une bonne petite coquine. Bon je dois dire que tonton Jeannot (ndlK : petit clin d’œil à mon roman en cours) ne me lâche pas avec mes études : « Passes ton BAC » – « Faut aller en FAC sinon tu feras rien de ta vie » – etc… Sérieux, il me saoule trop ! Tonton si tu savais que là, je n’ai qu’une envie : me faire baiser vigoureusement par ton fils !!!

A 15 heures le repas touche à sa fin, enfin mon père tourne déjà ou plutôt encore à l’apéro devenu digestif maintenant. Il est accompagné de tonton Jeannot et de tata. Les cadavres s’enchainent et comme d’hab’ maman fait les yeux ronds. Un repas de famille comme des milliers d’autres, j’imagine.

Le gâteau, enfin le truc que ma mère a fait est sur la table et franchement ça a l’air juste dégueulasse. Je préfère aller me chercher une glace dans le congélo’ que ma mère a mis dans le garage sous prétexte que ça fait du bruit, enfin je sais pas un truc comme ça…

Je farfouille dans le congélo’ à la recherche de mes glaces préférées : pistache – chocolat. J’adore ! Et forcément je ne les trouve pas.

Assez rapidement je sens quelqu’un derrière moi. Très proche, au point où je sens quelque chose contre mon cul tendu en arrière.

— Tu trouves ce que tu cherches ?

Mon cousin pervers, il est là derrière moi. Sa bite contre mon cul ! Je fonds, j’adore. Je pourrai me retirer, faire la timorée, le pousser. Mais non, à ce moment-là je sens des picotements dans le bas ventre, ma chatte me hurle : « Vas-y prends-le. Maintenant ! ». Et je ne sais pas ce que vous auriez fait à ma place. Mais moi, ben j’ai cédé.

Je me suis retournée avec un petit sourire coquin, mise à genou devant son sexe imprimant une belle bosse sur son pantalon. Ni une ni deux son sexe était dehors. Quelle bête !! Elle est grosse, bien droite et comme ça, à vue de nez je dirai 19-20 cm. Putain j’la voyais pas aussi grosse. Quelle surprise, quelle agréable, surprise !!! Je lèche le bout de son gland puis l’enfonce au plus profond de ma bouche. Il a bon goût et je dois dire que ma bouche est bien remplie. J’adore ça !

Ses mains impriment mes va-et-vient, de plus en plus profondément. Quand sa bite est au fond de ma bouche il l’enfonce encore et me bloque ainsi jusqu’au haut-le-cœur. J’en bave, ma salive dégouline le long de mon menton, de son chibre. Sérieux il sait y faire.

Jérôme me redresse puis me plaque contre le mur. Il remonte mon t-shirt des Stones jusqu’à faire apparaître ma poitrine. A l’époque elle n’était pas si grosse, à peine 85C mais mes seins avaient une belle forme de poire. Ils étaient parfaits. Mes tétons pointaient fièrement vers son regard.

Je ne disais mots, me délectant juste de l’instant. Mon regard parlait pour moi.

Rapidement il me fait virevolter, face au mur, plaquée contre le mur il descend mon jean et en voyant mon string ficelle il lâche un : « Putain t’es trop bonne sérieux ». Ma chatte n’attend que sa bite, mon cul se cambre afin de lui faciliter l’accès. Tout en moi lui dit : « Enfonce-toi, maintenant ! », et il ne tarde pas à le faire. C’est à grand coup de buttoir qu’il me baise. Ses mains agrippent mes seins, ses doigts titillent mes tétons puis les pincent. Je me surprends à aimer cette douce torture des tétons.

C’est tellement bon que j’ai du mal à ne pas hurler de plaisir, mais bon les parents ne sont pas loin alors le silence est d’or.

De temps en temps ce silence est rompu par un « Clac », il me claque le cul, de plus en plus fort. Chaque « Clac » raisonne de plus en plus dans le garage. Chaque « Clac » redresse mon cul. Mon cul aime se faire fesser. Et mon cousin aime le claquer : « Putain t’as un vrai cul de salope, un bon cul à faire rougir ! »

Mes seins sont contre ce mur froid, mes tétons agonisent de douleur et moi je retiens mes gémissements de plaisir. La douleur, me fait du bien ! Et mon cousin le sent, il le sait. D’une poigne ferme il agrippe mes cheveux et bascule ma tête en arrière tout en pilonnant mon vagin. Mon cul rougit par ses fessées rebondit fermement contre son bassin. Ces mouvements deviennent de plus en plus amples jusqu’à présenter le gland de cette belle bite à l’entrée de mon vagin. Alors, il se renfonce en moi et, avec des va-et-vient plus rapides, moins amples, il pilonne le fond de mon con. Ma chatte se remplie de mon plaisir. Façon de lutter contre ce pilonnage intensif.

Deux minutes de répit, il se retire et, avec deux doigts, fouille mon intimité. Ses doigts ressortent, aussitôt remplacés par sa bite. Ils viennent alors à ma bouche, recouverts par mon plaisir et, humm, j’ai bon goût !!! Je les suce avec plaisir pendant qu’il claque à nouveau mon cul au rythme de ses pénétrations.

J’ai trop envie de le goûter à nouveau. Alors j’attends le moment où il se retire pour me retourner et le prendre à nouveau en bouche mais cette fois-ci mon but et de goûter son doux nectar. Alors je le suce, lui malaxe les couilles d’une main et de l’autre je caresse son cul. Qu’il est musclé ce petit cul, ça change d’Éric avec son gros cul flasque…

Mes deux mains sont maintenant sur son séant, je l’enfonce au fond de ma bouche puis le retire, le mordille, le lèche et le renfonce à nouveau. Je sais qu’il ne pourra tenir ce rythme longtemps. Et c’est au bout de quelques va-et-vient dont j’ai le secret que je sens sa respiration s’accélérer. Là je sais qu’il va bientôt lâcher ce sperme que j’aime tant. Deux – trois va-et-vient plus tard je sens ce doux liquide exquis se répandre dans ma bouche et je peux vous garantir que je n’en perds pas la moindre goûte. J’avale et je me délecte de son nectar jusqu’à la dernière goute restée sur son gland.

Satisfaite je me redresse face à lui, avec le sourire d’un plaisir assouvi…

Je me rhabille puis je prends ma glace dans le congélateur. Et avant de partir je lui claque son cul encore nue en lui lâchant : « Allez dépêche-toi les parents vont se poser des questions ! ».

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Note de l’Autrice :

Cette histoire est une fiction (Ou pas…) volontairement libérée. Toutes les scènes décrites dans La visiteuse, ne représentent pas la vision du sexe par les femmes. Chaque femme est libre d’explorer sa sexualité selon ses envies. Merci de respecter les femmes, nous sommes si douces et si belles, et surtout nous sommes douées de conscience 😉

 

Retrouvez toutes mes histoires érotiques dans ma rubrique Kmille raconte.

Retrouvez les aventures de Karine dans mon e-roman « Aux services du vieux pervers » qui prend naissance avec Lutte des classes.