Les policiers coquins

 

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Il est 1 heure du matin quand Manon sort du boulot. Ce soir, comme tous les samedis, elle a eu droit à la fermeture et comme d’habitude, les clients se sont éternisés, croyants que le restaurant proposait des « After ». Bref, il est 1 heure, son homme passe la soirée chez des potes. Elle doit les rejoindre juste après être passée chez elle, s’être douchée et changée.

Arrivée à 2 – 3 kilomètres de chez elle, elle tombe sur un contrôle de police. Un fourgon et deux policiers arrêtent consciencieusement les véhicules, enfin, pour le coup il n’y a que sa voiture. C’est clair, elle ne va pas y échapper…

Forcément, ils l’arrêtent et heureusement, sinon notre histoire coquine tomberait à l’eau.

Un peu pressée elle a un peu abusé sur la vitesse, bon, c’est une longue ligne droite donc même si ce n’est pas bien, Manon a eu le pied un peu trop… lourd.

L’un des deux policiers se met au milieu de la route et lui indique de s’arrêter sur le bas-côté. Ce qu’elle fait, quelques mètres devant leur fourgon. Il vient à sa hauteur, elle ouvre la fenêtre…

C’est l’été, donc elle est habillée en conséquence. Un petit haut moulant, sans soutien-gorge offrant un super décolleté sur son 95D bien ferme en forme de poire. Un pantalon blanc moule son fessier et lui offre une forme particulièrement sexy avec un galbe aguichant. Un string de couleur blanche ne manque pas d’attirer l’attention, car oui, blanc sur blanc ça se voit.

Des bottines Steve Madden noires terminent la tenue estivale de la belle.

Le regard du policier se perd dans son décolleté, un peu perturbé il lui demande les papiers du véhicule. Son collègue tourne autour du véhicule à la recherche d’une quelconque infraction.

Manon retourne son sac-à-main sur le siège passager et, ne trouvant aucun papier elle finit pas se pencher vers la boite à gants. Les deux policiers sont à présent à sa hauteur et ne manquent rien du string présentant sa petite ficelle blanche, dépassant fièrement de la taille du pantalon.

Ne trouvant pas ces fichus papiers elle se confond en excuses et leur indique que les papiers doivent être chez elle. Des excuses basiques qu’on sort dès que ça nous arrive…

Logiquement, ils lui demandent de les suivre jusqu’au fourgon.

Manon sort en maudissant son homme qui avait, certainement dû les garder sur lui.

Je vous fais part du sermon des policiers sur sa vitesse excessive… clairement, elle va manger une amende sacrément sucrée, des points en moins, son homme va criser ! D’autant qu’elle vient de récupérer son permis.

Stressée à l’idée de bouffer une prune et des points en moins, elle se souvient du regard insistant du policier sur son décolleté. Peut-être qu’il y a moyen de moyenner et ainsi, éviter cette amende et tout l’toutime.

— Je sais que je roulais vite, mais je rentre du boulot et bon, vous comprenez…

— Madame, vous rouliez 30 km/h au-dessus de la limitation !

— Oui, je sais mais… mais j’suis fatiguée et j’étais pressée de… de rentrer chez moi.

— Vous pouvez pas tout expliquer comme ça, on est tous pressé, on n’est pas des chauffards pour autant !!!

L’autre flic reprend :

— D’autant que vous n’avez pas les papiers du véhicule et que vous avez déjà eu un retrait de permis.

— Oui mais…

— A cause, de la vitesse. Bah tiens donc !!! Ça ne vous a pas servi de leçon !?

— Si, si, bien sûr que si, mais…

— Mais vous étiez pressées de rentrer chez vous !!! Oui, on a compris !

Manon se tortille sur son tabouret, les jambes serrées, la tête baissée comme un enfant venant d’être pris à faire une bêtise. De temps en temps elle tente son regard de biche et il faut dire que ses grands yeux verts font leur effet. Elle a un regard magnifique, un regard à exploser la braguette de vos jeans…

Franck, l’agent de police lui ayant demandé les papiers s’adresse à son collègue :

— On peut peut-être oublier cette incartade ?

Manon surenchérie, soulagée par cette proposition, qui lui évitera une prise de tête avec son homme :

— Oh oui, et puis, je peux me montrer très sage…

Antoine la coupe et lâche sévèrement : « Ça, on en jugera nous-même ! », il termine en fermant les portes du fourgon…

Toujours assise sur son petit tabouret, Manon se retourne et détache la ceinture de Franck qui était derrière elle. D’un geste elle déboutonne son treillis sombre, descend la fermeture éclair et s’apprête à rencontrer la pine hors norme de ce policier pervers.

Antoine s’adresse alors à Franck :

— Alors, prêt à honorer cette petite chauffarde !!!

— Au garde-à-vous chef !

Et en effet, le sexe encore pendant est d’ores-et-déjà prêt à l’honorer.

Ce premier face-à-face surprend et excite notre belle coquine, elle le lèche d’un mouvement sûr et lent. Commençant par le gland, elle remonte en direction du bas ventre. Elle déguste cette verge molle et tombante qui frétille sous cette langue si gourmande. Le prenant en main, elle soulève le chibre de Franck et gobe ses bourses qui semblent si pleines.

Antoine s’autorise quelques photos afin d’immortaliser la scène mais très vite il s’emploie à dévêtir la salope qui s’offre à eux. Délicatement il l’effeuille, d’abord les bottines, puis le pantalon. Il termine par le haut qu’il retrousse et retire par son encolure. Un bref instant Manon est atteint de cécité et dans un « Clac » magistral elle retrouve la vue. Son séant vient de subir l’assaut de la main replète d’Antoine.

La poitrine ferme et fière excite le jeune policier, rapidement son membre durcit et se raidit enfin. Il est à présent impressionnant mais c’est Antoine, le chef, qui aura la primeur de cette chatte déjà si humide. Il préfère, sans doute, éviter de passer derrière une bite qui, à coup sûr, défigurera ce con si apetissant.

Il s’enfonce en elle et vigoureusement imprime ses va-et-vient rapides et profonds. Franck se contente, parce que ça l’excite énormément, de jouer avec les deux miches de Manon. Excitée, toujours debout, elle se cambre et redresse sa poitrine. Le séant tendu elle s’offre à Antoine qui, très vite, n’y résistant plus, se retire et se répand sur le sol…

C’est agenouillée sur le tabouret qu’elle s’apprête à recevoir en elle la bite hors-norme du jeune flic. Le cul tendu, le buste plaqué sur la table elle suce la pine moins impressionnante d’Antoine.

Délicatement, Franck s’enfonce en elle, le gland force son vestibule et pénètre son vagin, son gland est imposant et de suite il impose son diamètre. Sa chatte se dilate… Manon gémit, elle aime ça la coquine…

Enfoncé à son quart il commence ses va-et-vient, lent, profond puis il se retire et admire se trou béant. Il s’enfonce à nouveau, ramone Manon qui ne manque pas de gémir et de montrer son plaisir :

— Humm oui, c’est bon, vas-y… encore ! Oui !

— Oh mon Dieu ! Putain que c’est bon… oui !

— Baise-moi ! Oui !

— Putain cette bite ! Oh ! Oui !!! Humm

— Humm… Humm… Humm

— Oh oui ! Oh oui ! Oh oui !!

Stimulé par ces gémissements et ces commentaires, Franck se déchaine. Le con de Manon se dilate, mouille abondamment, son plaisir coule en elle, il recouvre, à présent, l’intégralité de cette bite monstrueusement énorme. Régulièrement il se retire et admire son œuvre, un trou de plus en plus large, sans fond, puis, il s’enfonce à nouveau. Quelques « Clacs » viennent alterner cette chevauchée fantastique. Son cul rougit sous les fessés insistante de Franck…

Les sens assaillis par cette saillis sans complexe Manon perd toute notion de temps. Elle subit les outrages de ces deux policiers depuis… 1 heure, peut-être 2.

Son cerveau est en ébullition, submergé par tant de sensations. Le souffle court elle gobe, pompe et lèche la bite toujours dressée d’Antoine qui, dans un second spasme se vide à nouveau, mais cette fois, la coquine avale. Elle n’a plus assez de conscience pour penser à recracher.

Franck la sonde de son appendice, chaque pénétration lui paraisse plus profonde, à chaque fois c’est un râle de plaisir qui raisonne dans ce fourgon. Puis, d’un mouvement, il sort de ce gouffre béant, la retourne et s’offre un dernier moment de plaisir.

Tenant son membre viril d’une main, elle lèche cette belle queue qui se présente à elle. Elle se déguste puis enfonce ce chibre. Rapidement, Franck prend le relais et baise impunément sa bouche, il s’enfonce en elle, la remplit et s’enfonce encore. Une superbe pipe en mode « Gorge profonde » qui se termine en fontaine de foutre mélangée à la bave de Manon.

Satisfaits, les deux policiers se rapprêtent et tendent une boite de kleenex à Manon, encore souillée de sperme. Elle s’essuie et se rhabille, elle aussi, satisfaite de ce moment de débauche.

Sans un mot, ils la laissent repartir avec un petit sermon la mettant en garde sur les méfaits de la vitesse.

Manon rentre chez elle et après une longue douche bienveillante et épuisée, elle s’endormira dans son grand lit vide…

***

Note de l’Autrice :

Cette histoire est une fiction (Ou pas…) volontairement libérée. Toutes les scènes décrites dans La visiteuse, ne représentent pas la vision du sexe par les femmes. Chaque femme est libre d’explorer sa sexualité selon ses envies. Merci de respecter les femmes, nous sommes si douces et si belles, et surtout nous sommes douées de conscience 😉

 

Retrouvez toutes mes histoires érotiques dans ma rubrique Kmille raconte.

Retrouvez les aventures de Karine dans mon e-roman « Aux services du vieux pervers » qui prend naissance avec Lutte des classes.