Quand une autrice de talent jongle avec nos sentiments !
C’est le troisième livre/recueil de la belle Stella Tanagra, que j’ai le plaisir de lire et je dois dire sans craindre de ruiner cette chronique, que j’ai une nouvelle fois adoré ( 😀 ). Après « Sexe Primé » qui m’a terrifié de plaisir et « Les dessous de l’innocence » qui m’a tenu en haleine jusqu’à la dernière page, j’avais hâte de lire son dernier ouvrage : La peau du monstre, un recueil de 12 nouvelles.
J’avoue que je pensais lire des histoires érotiques mais c’était sans connaître Stella qui aime tant nous surprendre.
Dans ce recueil la belle ne cherche pas à nous troubler avec des fantasmes malaisants mais en nous plongeant au gré des mots qu’elle couche avec brio sur ses pages, dans nos pensées tantôt monstrueuses, tantôt angéliques. C’est une ode aux monstres qui sommeillent en nous 😳
Bon, je ne suis pas « critique littéraire » et donc vous ne trouverez ici que l’avis d’une lectrice sans autre prétention que celle de vous faire partager son ressenti comme on le partagerait entre ami·e·s, autour d’un bon verre de vin euh de jus d’orange 😀
Mais avant de partager avec vous mon avis, si vous ne connaissez pas l’autrice Stella Tanagra, honnêtement, je vous invite fortement à la découvrir en la suivant sur Twitter (En passant, n’hésitez pas à me suivre aussi ( 😉 )) et/ou en lisant son blog. Et n’hésitez pas à passer sur son portfolio et/ou à lire mon interview de la belle, qu’elle a gentiment partagé avec nous, sur LDDK ( 😳 ). Vous verrez non contente d’avoir du talent c’est une femme désirable (En tout cas moi je la désire fortement ( 😳 )).
Ceci étant dit on peut sans plus tarder plonger dans « La peau du monstre » et dans ses 12 nouvelles qui risquent fort de vous perdre dans le méandre de vos pensée et de vous troubler. Stella a en elle cet art de nous perdre, de nous retourner la tête pour au final nous surprendre avec une fin souvent étonnante voire malaisante. Ce malaise né de notre propre façon de lire et d’analyser ses écrits.
Pour vous le prouver je vous invite vivement à lire ce recueil puis à relire ses nouvelles une seconde fois. Vous verrez que Stella Tanagra a pris soin de déposer ici et là des indices sur la fin de l’histoire. Des indices invisibles lors de notre première lecture.
C’est ce qu’on appelle le talent !
J’ai personnellement adoré la première nouvelle « Naïve orgie » qui a su m’emporter naïvement vers des pensées juvéniles avant de m’assommer avec une fin atroce, et que dire de « Sacré fils » qui m’a guidé page après page vers une fin franchement surprenante. C’est aussi là le talent de Stella, elle sait manier les mots comme personne, elle jongle avec sa plume et couche ses lignes pour nous manipuler selon son bon vouloir. C’est une autrice diaboliquement efficace.
Une sorte de monstre monstrueusement efficace 😉
Elle nous bouscule avec brio et nous emporte dans les méandres de nous-même, elle nous guide dans nos pensées avant de nous laisser choir dans notre malaise. Ce qu’on pense être monstrueux ne l’est pas et vice versa…
Clairement si vous aimez être surpris·e et bousculé·e, c’est sans aucun doute le livre qu’il vous faut avoir sur votre chevet. Lisez-le avant de vous endormir mais surtout, surtout, terminez la nouvelle commencée avant de vous endormir 😉
La peau du monstre m’a surprise, il m’a bousculée et parfois dérangée par mes pensées. C’est un livre qui tient en haleine !
Perso j’ai adoré et clairement, je suis toujours sous le charme de Stella Tanagra et de son talent !
Merci à Isedition, pour m’avoir permis de partager avec vous mon avis sur ce recueil La peau du monstre, de Stella Tanagra.
Coucou Kmille, ce livre s’adresse autant à un public masculin que féminin d’après toi ?