Comment faire gagner son équipe par Mia Michael : chapitre 5

 

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Le samedi suivant … ils gagnent. Tout le monde est surpris. Des joueurs passent même à la télé. Tout ça grâce à moi et à mes fesses.

Bon, c’est l’heure de passer à la casserole. On est dans les vestiaires. Ils viennent de terminer le match. Ils devraient être épuisés … mais non, ils sont tout frétillants. Même les trois abstinents. Stéph me dit :

— Voilà Mia. Paul, qui est catholique, a envie de faire un câlin avec toi. Ensuite, il ira se confesser. C’est quand même fait pour ça., hein ?

— Bien sûr.

— Mike, qui est gay, te prendra par-derrière et on a convaincu Louis qui est fidèle que sucer c’est pas tromper. Commence par lui.

Je ne bouge pas de mon banc.

— Tu as entendu Mia ?

Je murmure un truc.

— QUOI ? Articule.

— V’ m’aviez promis un truc.

M’ba répond :

— On a effectivement quelque chose pour toi.

Il me donne un joli paquet. Je l’ouvre et … Oh! Un bracelet  » love  » de Cartier ! Les larmes aux yeux, je leur dis :

— Merci à tous, c’est très gentil. Je n’ai jamais reçu un aussi beau cadeau !

C’est vrai, en plus.

Stéph répond :

— C’est grâce à toi qu’on est en Première Division, on te doit bien ça.

Mia Michael - Comment faire gagner son équipe chapitre 5

Bon … Si Paris vaut bien une messe, un bracelet  » love  » de Cartier vaut bien une pipe et même un peu plus … Je me déshabille avant de m’agenouiller devant le Père Paul. Il est tout gêné, si ça se trouve on ne l’a jamais sucé. Et pourtant, il paraît que Marie-Madeleine a fait une fellation à …

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— MIA !!

Mais, quoi ? Je voulais dire à … Ponce Pilate.

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Je suis à genoux et je relève la tête pour lui dire :

— Mets-toi debout.

Il se lève. Il est tout contre moi. Je descends son short et son slip sur ses chevilles. Aussitôt, un sexe alangui, mais déjà de belle dimension, me saute au cou. C’est une image. Une fois de plus, je préférerais qu’on prenne une douche avant. Je couvre son sexe de bisous. La bête se cabre aussitôt. Je lui dis :

— Assieds-toi.

Je prends son sexe en main, fais coulisser la peau pour dégager le gland et pose mes lèvres dessus. Il gémit un peu. Si ça se trouve, sa femme ne lui a jamais fait ça. Vous savez comment sont les femmes fidèles ? Non, vous ne savez pas ?

Son gland est rose et luisant … une grosse goutte émerge du méat, preuve qu’il aime ça ! Je cueille la goutte du bout de la langue (Je vous rappelle le bracelet Cartier  » love « ). Ensuite, je prends son gland en bouche pour le sucer soigneusement. Par moment, j’ai le nez dans les poils de son pubis, et l’instant suivant, je serre le gland entre mes lèvres. Il aime ! Il le dit, le gémit … Il remercie même ses potes.

Evidemment, ce n’est pas lors de la première pipe de sa vie qu’il va battre des records de durée … Bientôt, je sens son sexe grossir encore plus dans ma bouche. Il se cambre, ça y est ! Je le sors vite et arrose une serviette qui traîne par terre. Décidément ! Celui qui va s’essuyer avec cette serviette aura une petite surprise … Stéph dit :

— Le suivant, c’est toi, Paul.

— Euh … non. J’ai changé d’avis les gars, je ne me vois pas raconter ça en confession.

Stéph regarde ses copains en disant :

— Je m’en doutais un peu.

Il ajoute :

— On fait comme on a dit, les gars.

Aussitôt, ils le prennent à plusieurs et le couchent sur un tas de serviettes. Ces types sont costauds, mais je vois bien que le Paul se défend mollement. C’est peut-être ce qu’il veut, genre  » on m’a forcé « .

Il y en a deux qui tiennent ses poignets et deux autres, ses chevilles. Pour la première fois de ma vie, je vais violer un mec. Stéph me dit :

— Mets-toi en position de 69.

Ah ? Bon … Je m’accroupis au-dessus de lui, puis je me couche sur son torse en lui collant ma chatte dans la figure. Il bande, cet hypocrite, et il me met une langue timide dans la chatte. Je suis très mouillée, mais il a l’air d’apprécier. Sa langue me fouille, tandis que la mienne lui fait des agaceries. On se lèche un petit moment, puis un joueur me dit :

— Baise-le !

D’accord. On se désunit et je vais m’asseoir sur sa bite dressée. Il est en moi … Il a mis le petit Jésus dans ma crèche.

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— MIA ! Si le Pape lit ça, tu es excommuniée …

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Je rectifie : il met son petit pain dans mon four. Ses copains l’ont lâché et il ne pense plus à s’échapper. On l’a forcé, donc ce n’est pas un péché. Il m’empoigne les fesses pour me faire aller et venir sur son sexe. Il pose même ses lèvres sur les miennes. Oh ! Il a la même odeur que ma chatte ! Ah oui, c’est normal. On s’embrasse … Ça fait beaucoup de stimulation, surtout avec mon odeur … Je sens venir un orgasme.

— Mmmhhh ouiiii, je juouiiis …

Lui continue encore un peu, puis il me désarçonne et arrose le plancher. On va devoir faire gaffe à pas glisser !

Voilà … déjà deux de fait. Mais il en reste neuf, c’est beaucoup, même avec un bracelet au poignet.

Maintenant, c’est au tour de Mike, le gay. Lui veut me prendre par-derrière. Normal. Il regarde ses copains en disant :

— Si je pouvais sucer un de vous pendant que je la baise …

Deux des joueurs lui disent :

— D’accord

Pourquoi pas ? Moi, j’aime bien fourrer ma langue dans la chatte de mes copines. Je me mets à quatre pattes. Sa bite vient m’effleurer la chatte, mais elle se recule aussitôt affolée. Il remonte vers l’anus. Ouf ! Elle connaît.

Ses copains viennent de chaque côté et il commence à les lécher. Aussitôt, ça se met à durcir entre mes fesses. Je réussis à bien me décontracter. Il donne un coup de reins et je sens son gland forcer mon anus. Le voilà en moi … Il me sodomise à un bon rythme, mais j’ai déjà donné et je préférerais que ça ne dure pas. J’entends gémir un des copains qu’il suce. Il jouit. L’autre aussi et, réaction en chaîne, Mike se retire de mon derrière pour mettre une deuxième couche sur le plancher.

Ouf ! Je viens d’en faire trois. Plus les deux qui viennent de jouir. Ah oui, et un qui s’est caressé. Je termine les quatre restants dans la bouche et la chatte. Je suis fatiguée … Si, si, je vous assure, baiser une dizaine de mecs, c’est fatiguant. Demandez à votre femme ou à votre …

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— MIA, merde! T’es une vraie kamikaze !

Mais non, c’est pour rire.

— Continue !

***

Il y a un moment de flottement … et puis, Stéph nous dit :

— On se douche ?

Il ajoute, comme la dernière fois :

— Mais rappelez-vous, on a promis au coach de ne pas lui baiser sa femme.

On rigole.

Dans les douches, un joueur me lave avec ses grandes mains pleines de savon. Il me prend dans ses bras et me murmure à l’oreille :

— J’ai envie de te revoir, mais rien qu’à deux.

— Moi aussi.

On se sèche, on se rhabille et en partant, celui qui m’a lavée me glisse un bout de papier dans la main.

Il s’agit de …. Mais ça, c’est une autre histoire …

FIN.

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