Le casting

 

***

Inscrite depuis quelques mois sur un site de Burusera, j’ai reçu dernièrement un mail d’un site de Showcam, un site classe et haut de gamme, qui me propose de rejoindre leur équipe de CamGirl. Ayant, comme tout le monde, besoin d’argent, j’ai rapidement répondu à ce mail qui ne resta pas longtemps sans écho.

Par retour, j’apprends que pour rejoindre les CamGirls de ce site, je dois passer un casting. Il permet de montrer qui je suis et de répondre à quelques questions. Rendez-vous fut pris pour le surlendemain au Campanile rue Marius Aufan. Je connais bien, je n’y habite pas très loin…

14h00, c’est habillée d’une robe rouge, couverte d’un petit gilet noir que je me rends au lieu-dit. Etant un peu en avance, d’une demi-heure pour être précise je décide de me prendre un petit diabolo fraise au café situé au carrefour de la rue Voltaire et de la rue Marius Aufan, ce n’est pas très loin donc dès que je recevrais le numéro de la chambre, je pourrai m’y rendre rapidement… sans trop me poser de question.

14h25, je reçois enfin le texto qui m’indique le numéro de la chambre. Il est 14h32 quand je rentre dans l’hôtel, je me dirige vers l’accueil pour demander où se trouve la chambre numéro 145. C’est au premier étage, je décide, un peu stressée, de prendre les escaliers.

Mon ventre se noue dès que j’arrive dans le couloir, entre excitation et crainte, car, oui, je connais ces vidéos qui circulent sur le net où, sous prétexte de casting des mecs abusent de nanas candides.

Je suis devant la chambre 145, après quelques secondes d’hésitation, je frappe…

C’est un homme d’âge mur qui m’ouvre la porte, la cinquantaine bien passée. En rentrant je jette vite fait un dernier regard dans le couloir puis, machinalement, regarde ma montre : il est 14h40, je rentre dans la chambre.

L’homme a fière allure, un 501 noir et une chemise rose. Je ne sais pas si ce sont ces cheveux grisonnants ou sa barbe de deux jours, mais il met en confiance. Il est poli et son sourire accueillant me met à l’aise.

C’est donc lui qui me fera passer mon casting, mon tout premier casting.

Il se dirige vers la chaise et m’invite à m’asseoir sur le bord du lit puis il commence à me poser quelques questions : mon âge, mes orientations sexuelles, si j’ai déjà fait des Showcam, etc.

Puis, vient le moment de prendre quelques photos et de me filmer un peu. C’est, soi-disant, pour me présenter à ces collaborateurs, car il n’est pas le seul à prendre la décision finale.

Hésitante, je me lève et retire mon gilet, première réaction de mon casteur :

— T’as l’air d’avoir une belle poitrine, montre-la !

Gênée ou hésitante, je ne sais pas trop, je laisse glisser les bretelles de ma robe le long de mes bras. Laissant ainsi apparaitre mon soutien-gorge seins nus. Mes tétons fiers d’eux se présentent grossis par l’excitation, bien dures. Eux, clairement, ne stressent pas…

Mon casteur marque un temps d’arrêt et s’approche de moi appareil à la main. Sans même prendre la peine de me demander s’il pouvait… il prend mon sein droit en main, le presse et titille mon téton en commentant :

— Ils sont doux, un peu flasques mais agréables à toucher !

Sa main est rugueuse mais douce à la fois. Il tient mon sein fermement, il contourne son galbe, le faire rebondir dans le creux de sa main et se recule :

— Continues, retire ta robe et tes dessous !

Sonnant comme un ordre je m’exécute dans la seconde et me retrouve vêtue de mes bas et de mes escarpins.

Quelques poses et quelques photos plus tard il me dit qu’il souhaite me filmer pendant que je me caresse, il veut me voir prendre mon pied. Voyant mon hésitation il prétexte que je vais être CamGirl et que c’est ce que je ferai souvent, il veut donc voir comment je m’y prends.

Je m’allonge sur le lit en me disant qu’ils auraient pu me dire que ce casting demanderait une mise en situation…

Me voici là, allongée sur ce lit, les jambes écartées mon clito entre deux doigts et une main sur mon sein, en train de me caresser. Je mouille et ça ne lui échappe pas. Il fouille dans ce que je pense être une mallette et sort deux sextoys. Un vibro et un gode énorme et me temps le vibro puis le gode… énorme. Et me dit :

— Vu ta chatte béante, il va rentrer tout seul !!!

A peine prit en main qu’il s’approche du lit, sur le côté et encore une fois, sans me demander, il commence à caresser mes seins, effleurant mes tétons puis les pétrissant fermement.

— T’as de très beaux seins, dommage qu’ils soient flasques !

« Merci », lui balbutiais-je entre deux gémissements.

Il voit que j’aime ça, que je suis excitée, c’est à ce moment qu’il me dit que ce casting l’excite beaucoup, puis il retourne vers sa mallette et en sort des liens, un bâillon et des pinces…

Avec force et vigueur il empoigne mes poignets un à un et les attaches au lit, de chaque côté. Avec un sourire pervers il me lâche :

— Maintenant, j’ai envie de m’amuser avec toi ma petite salope !

Toujours très excitées, au premier coup sur mes tétons je gémis, je sens ma chatte se contracter, mes jambes s’ouvrent un peu plus, mon clito durcit et… et je dégouline.

Pinces après pinces, tétons après tétons, gémissements après gémissements je me tords de plaisir. Il décide de me bâillonner afin de l’étouffer, j’adore ça et je n’hésite pas à le montrer en me cambrant.

Mes tétons sont gonflés et durcis par tant de stimulation, humm j’adore ça…

L’homme n’est plus mon casteur mais mon tortionnaire, mon bourreau, ce casting devient une séance BDSM très excitante. Chaque « clac » sur mes seins contracte mon clitoris. Ma mouille se répand sur mes lèvres, elle dégouline le long de mon anus puis s’épand sur le lit. Je ne suis pas une femme fontaine mais là, c’est les chutes du Niagara. Je coule, je n’aurai pas se bâillon je le supplierai de me faire jouir. Mais il s’arrête à chaque fois au bord du précipice.

Cette douce torture des tétons se termine, enfin, quand il décide de s’occuper de mon clitoris.

— Mais il est énorme ton clitoris, tu aimes ça salope !

D’un signe de la tête de lui réponds « oui ». Sa main s’abat alors, sans aucune tendresse, sur mon bouton, surprise je sursaute avant de lui tendre à nouveau tellement cette décharge de plaisir était bonne. Une puis deux et trois « clacs » tendent mon clitoris vers le haut, mes jambes s’écartent à leur maximum, mes lèvres s’ouvrent à leur tour tandis que mon plaisir souille les draps du lit.

Délicatement il place une pince sur mon clitoris, la pression le comprime et décharge en moi une sensation délicieuse. Ses doigts venant me fouiller, mon tortionnaire se penche sur ma poitrine, ouvre grand sa bouche et la referme sur mon téton. L’aspire légèrement et le mordille, d’abord doucement puis plus durement. Ses dents toujours autour de mon mamelon il se redresse et l’étire au maximum. Sous cette tension, il glisse entre ses dents, fermement fermés. Mon plaisir était tel que mes yeux lui suppliaient de recommencer. Mais il n’en fit rien. Il me détache et me retourne, m’allonge sur le ventre et me dit :

— Redresse ton cul, cambre toi bien !

Mon cul dressé je lui offre une vue imprenable sur mon anus mais il ne l’intéresse pas, ma chatte si ouverte doit lui sembler bien plus accueillante. Sans ménagement il s’y introduit. Mon con lui ouvre ses portes bien grandes. Ses va-et-vient son intenses et profonds.

De ses mains il agrippe mon séant et me redresse en levrette, les jambes bien ouvertes, je sens ses bourses frapper mon clitoris à chaque pénétration, il se déchaine, s’agrippant à mes hanches, frappant régulièrement mes fesses. C’est trop bon, je vais… je…

Il se retire d’un coup puis présente sa bite à ma bouche. Sans y penser je l’engloutie, lui tète le gland, puis l’enfonce à nouveau. Je le ressors et le lèche puis d’une main je commence à le branler tout en titillant du bout de la langue son gland gonflé par l’émotion.

— Reste comme ça, et caresses-toi, fais-toi jouir !

En levrette, sa bite en main je m’agenouille pour pouvoir utiliser mon autre main sans risquer de tomber comme une merde…

Mon clito est énorme, il va exploser là entre mes deux doigts. Je le fais rouler pendant que lui se branle devant ma bouche ouverte, prête à le recevoir. Il attend ma jouissance pour se répandre, et au moment où mon visage se crispe sous le plaisir, je sens un jet l’arroser, un second vient se perdre dans mes cheveux, le troisième échoue sur ma joue tandis que le quatrième vient se perdre sur ma langue. Je le suce à nouveau afin de lui prendre la dernière goutte.

— Ne bouge pas !

Le visage souillée, agenouillée sur le lit, je reste là…

— Souris et regarde-moi !

Il est au pied du lit, sur mon côté droit, l’appareil photo à la main :

— Regarde-moi, cambre ton cul et souris. Tu es trop belle !

Je m’exécute et c’est ainsi que ma photo, le visage souillé de son sperme, c’est retrouvée publiée sur internet à mon insu…

***

Note de l’Autrice :

Cette histoire est une fiction (Ou pas…) volontairement libérée. Toutes les scènes décrites dans La visiteuse, ne représentent pas la vision du sexe par les femmes. Chaque femme est libre d’explorer sa sexualité selon ses envies. Merci de respecter les femmes, nous sommes si douces et si belles, et surtout nous sommes douées de conscience 😉

 

Retrouvez toutes mes histoires érotiques dans ma rubrique Kmille raconte.

Retrouvez les aventures de Karine dans mon e-roman « Aux services du vieux pervers » qui prend naissance avec Lutte des classes.