Baisée dans le métro

 

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Il est 23h30 quand je quitte mon boulot. Aujourd’hui je n’ai pas pris ma voiture, plus trop d’essence, donc je me suis rendue au boulot en utilisant les transports publics…

Hélas pour moi, il m’est arrivé une catastrophe au boulot… je me suis renversée un plateau de 4 tasses de café dessus. Obligée de changer ma tenue et forcément la seule dans mon casier et trop petite. Oui, j’ai un peu grossi, surtout de la poitrine. J’ai dû terminer mon service avec une tenue moulante et là, forcément, je vais devoir rentrer avec cette tenue, trop petite. La tenue souillée dans mon sac.

Je sors du boulot, papote un peu avec mon responsable… 23h45 je dois filer le dernier métro est à minuit…

A peine arrivée dans la station que j’entends le métro arriver sur les quais, je m’y précipite et puisque c’est le début de la rame, il est vide. Je peux m’asseoir là où je veux, pile devant, comme ça je vois les rails et j’adore être à la place du conducteur. Car oui, ici, les métros sont automatiques, donc pas de chauffeur. Bref, je m’assois et je sors le dernier E.L James, Grey, la saga Fifty Shades of Grey à travers les yeux de Christian.

Bien installée à la tête de la rame, le métro sonne, fermeture des portes et nous, enfin, me voilà partie. Prochain arrêt dans à peine 2 minutes…

Les lampadaires scintillent au rythme des tchoukoutchou des roues sur les rails.

Nous entrons en station, je suis toujours assise à ma place, les jambes croisées, la jupe légèrement remontée au-dessus des genoux. Ma chemise trop petite me fait une énorme poitrine et, pour plus de confort, je dois vous l’avouer, je n’ai pas de soutien-gorge. Déjà que cette chemise m’enserre, je n’ai pas vraiment besoin de l’être un peu plus…

Les portes s’ouvrent, je lève les yeux et vois 5 jeunes s’engouffrer dans ma rame. Un peu turbulent, l’effet de groupe s’en doute. Ils parlent fort, chahutent et rient aux éclats. Difficile de se concentrer dans ma lecture… je persiste, après tout, je n’ai qu’à faire comme s’ils n’existaient pas.

Au bout de 5 minutes environ, le silence s’installe. Le bruit de leur chahut laisse place à des chuchotements inaudibles. Face à moi, une banquette de 3 places, à côté de moi 2 places vide, enfin… plus pour longtemps…

Les jeunes décident, après avoir lâché quelques rires, de venir s’installer vers moi. Les 3 plus virulent s’installent en face de moi, les deux autres sur ma droite. Je me retrouve collée à la paroi du métro.

Ils parlent du livre que je suis en train de lire, enfin, en train d’essayer de lire. Ça rigole, ça chahute à nouveau et… une nouvelle fois, ils chahutent. Puis, ils commencent à parler de moi.

Il semblerait qu’ils aient remarqué que ma tenue était bien moulante…

Avant d’arriver à la station de la Reynerie l’un des 3 jeunes assis devant moi m’interpelle :

– T’es plutôt bonne toi, c’est du combien tes miches ?!

Il n’attend pas ma réponse et interroge ces potes :

– R’gardez moi ces miches, ils demandent qu’à sortir !!!

Inutile de vous dire où leurs regards se sont tournés. Inutile de vous dire, aussi, que je commençais à être excitée…

Sans même attendre leur réponse il continu :

– Y’a moyen de les toucher ?!!

Sa question n’avait, au final, rien d’une question puisque à peine terminée il agrippait déjà mon sein droit. Ce fut le top départ pour les autres…

Le mec juste à ma droite pose sa main sur ma cuisse, la caresse puis remonte en direction de mon entre-jambe tandis que mon sein, lui, est extrait de ma chemise. Très vite je me suis retrouvée à poil…

A cet instant j’aurai dû être apeurée, en panique, mais non… moi, j’étais excitée et bien humide… très excitée même.

Faut dire aussi, qu’ils savent s’y prendre. Au début un peu abrupte, mais ils sont plein de douceur surtout celui qui est en train de me lécher… humm, trop bon !!

D’ailleurs, il semble que mon goût l’excite un max et sa langue, elle, et bien… elle m’excite tout autant. Elle titille mon clitoris à la perfection, elle s’introduit délicatement dans mon intimité, un pur régal…

Pendant ce temps, les autres caresses mes seins, doucement… un peu trop à mon goût, il semble qu’ils les trouvent beaux. C’est vrai que ma poitrine est très belle, j’en suis fière, en fait !

Je suis là, nue dans ce métro, les jambes ouvertes, en train de presser de mes deux mains la tête du jeune mec qui me lèche si bien. Sa langue court sur mes lèvres, tape mon clitoris puis redescend entre mes lèvres, son doigt s’immisce en moi, fouille l’entrée de mon vagin, lape à grand mouvement mon plaisir. Il me déguste et il le fait bien.

Les autres ? Et bien tour à tour, ils s’occupent de mes seins, qui n’en demandent pas tant. Ou plutôt si, ils en demandent beaucoup plus… là, et bien là ils sont beaucoup trop doux. C’est plaisant, oui, mais moi j’aime quand on me les brutalise un peu. J’aime quand on pince mes tétons, quand on les tord, les tire et… et j’adore quand on les frappe un peu…

Là, et bien là, ils se contentent de les caresser, d’effleurer mes tétons, de les faire durcir. Ils les tètent tour à tour, les aspirent légèrement dans leur bouche, les lèchent à grand coup de langue puis… de temps en temps les titilles de petits coups de langue rapide et agile. Sous leur salive mes tétons durcissent, ils pointent et clairement ils indiquent qu’ils veulent être claqués…

Je pourrai leur faire comprendre, mais… mais ce cunni est tellement bon que… humm… Ma bouche n’arrive à émettre que mes gémissements… humm… c’est trop bon…

Je sens leur excitation monter à leurs façons de caresser ma poitrine. Ils sont devenus plus intenses, s’attardant un peu plus sur mes tétons et j’adore ça. Mes gémissements les encouragent, enfin ils commencent à les tirer de plus en plus. Incités à être plus brutal par mes gémissements ils les pincent, pétrissent mes gros seins… Les insultes commencent à poindre leur sonorité et entre mes humm ils commencent à se lâcher.

– Tu aimes ça p’tite salope !

Oh si tu savais comme j’aime ça, oui… j’adore ça !

– T’as de bonnes mamelles, mets-toi à quatre pattes, comme une bonne chienne !

Sans hésiter une seule seconde je m’exécute. Je leur tends mon cul bien arrondi, là dans le métro.

Je suis tellement excitée, le clito gonflé que je me surprends à tortiller mon cul, mes doigts s’y lancent à l’assaut et ainsi pincé par mon index et mon pouce je commence à le faire rouler, à le tirer. Cambrée comme une bonne chienne, mes seins pendouillent et effleurent le sol froid de ce dernier métro

Une main se pose alors sur ma croupe, j’entends le bruit de l’emballage d’un condom se déchirer et quelques secondes plus tard je me fais saillir par un mâle bien gâté par mère Nature. Sa bite s’enfonce en moi, ma chatte s’ouvre à son maximum, j’accueille dans un gémissement de satisfaction cette bonne grosse verge. Elle s’enfonce délicatement, tout en douceur puis ressort presque entièrement, les va-et-vient sont profond et lent. Je la sens se gonfler en moi, elle est encore plus grosse au moment ou ces va-et-vient s’intensifient, plus rapides, mon con dégouline de plaisir. Je tripote toujours mon clitoris, le plaisir est si intense que sans réfléchir je lâche mon petit bouton et agrippe la première bite à portée de bouche…

Encore dans son fourreau, je déboutonne d’une main, secouée par les coups de butoir imprimés par les va-et-vient du mec en train de me démonter la chatte. Je sors ce chibre, petite mais bien raide, d’un mouvement de nuque je l’engloutie en moi. Ma main ayant abandonnée mon bouton des plaisirs s’occupe à présent de ces bourses pendantes, je les tire un peu, les presse fermement.

J’enfonce et ressort cette petite queue goulument, je la lèche et j’en profite pour gober ses couilles, je les déguste, bave dessus puis lèche à nouveau cette petite bite, très vite j’arrive sur le gland. Ma langue s’attarde sus sa couronne et à brûle-pourpoint, sans crier gare, mes lèvres l’enserre et je l’enfonce à nouveau. De ma langue je la titille, la déguste. Je la plaque sur mon palais, je la mordille même un peu mais pas trop, tous les hommes n’aiment pas ça…

Du coin de l’œil je vois les 3 autres mecs s’astiquer, j’ai de la peine pour eux, les pauvres… vais-je pouvoir les satisfaire. C’est vrai quoi, 5 mecs rien que pour moi, ma chatte va-t-elle tenir le rythme. Y aura-t-il assez de stations de métro pour assouvir leurs envies ?

A peine le temps d’y penser, que le mec qui s’occupe de moi se lâche dans un râle de soulagement, il est au fond de moi, je sens les spasmes de se phallus dressé en moi, il se retire et laisse sa place à un autre… euh non, aux deux autres. Le premier se glisse sous moi pendant que le second trouve sa place derrière moi, les jambes encore plus écartées mon anus se recouvre de salive, un doigt vient l’élargir et rapidement mon cul se trouve enfourné par une bite énorme. Mon visage se crispe, mes lèvres relâchent l’emprise qu’elles avaient autour de la bite que j’étais en train de pomper. Je ne suis pas forcément adepte de la sodomie mais excitée, je ne dis jamais non…

Quelques va-et-vient et mon con s’élargie pour laisser place à un autre sexe. Une petite doublette comme ça, au calme d’une rame de métro.

Station Esquirol je dois descendre dans 2 stations et changer de ligne.

Ah eux aussi :

– Oh les mecs magnez-vous, on descend bientôt.

– Putain ta gueule, regarde cette pute, elle prend bien !!!

Sur ces mots, je sens les assauts des deux mecs en moi s’intensifier, leur va-et-vient sont plus rapides, mon anus s’ouvre et se ferme au rythme de ceux-ci. Les deux bites alternent leur mouvement : quand l’une s’enfonce l’autre ressort. Je veux les satisfaire avant Jean-Jaurès.

Station capitole, je reçois une première giclée dans la bouche, j’en bave de plaisir, tout en le suçant je le branle de ma main, relâche ma salive mélangée à son foutre. Je lèche ce membre encore raide puis le pompe à nouveau, jusqu’à la dernière goutte.

Les assauts sur mon cul cessent et je sens les jets de sperme s’étaler sur le bas de mon dos.

Encore empalée et secouée, les seins agrippés par deux énormes mains de rugbyman, tirés et pétris, on me tire par les cheveux. Me forçant à me redresser :

– Suce ma belle !

Je crois que je dois déguster mon cul, alors méticuleusement je lèche la queue présentée à mon visage. L’odeur de mon anus est délicate, non mon cul ne sent pas la merde… il sent bon et je m’apprête à le goûter. D’abord le gland que j’aspire doucement, ma langue me déguste.

C’est à la fois humiliant et excitant.

Pendant que je suce ce mec, je continu à imprimer de larges mouvements de bassin sur la queue de l’autre toujours en moi, je sens mon plaisir jaillir.

Je ne sais pas si se sont mes mouvements ou le côté humiliant de devoir nettoyer le goût de mon anus, mais mon vagin commence à se contracter. Et de manière synchrone je jouis en même temps que les deux mecs dont je m’occupe.

On jouit tous les 3 au moment où le métro arrive à Jean Jaurès.

Les mecs sont plus rapides pour se renfroquer et de manière galante ils prennent mes fringues, bloquent la porte et attendent sur le quai de métro que je me rhabille. Honteuse, je bredouille :

– Merci…

– Oh mais de rien ma belle, on se reparle toute à l’heure sur le tchat.

Car oui, c’est bien la première fois que je vois ces 5 mecs, mais je les connais d’internet depuis 6 mois déjà. Nous avions organisé ce scénario la veille. C’était un fantasme que je voulais réaliser depuis longtemps. Le voici, aujourd’hui, réalisé.

Nous nous séparons au sommet de l’escalator, je cours prendre ma correspondance.

Il est 02h30, je suis assise devant mon PC et j’écris ces dernières lignes.

– Merci à vous de m’avoir lu.

***

Note de l’Autrice :

Cette histoire est une fiction (Ou pas…) volontairement libérée. Toutes les scènes décrites dans La visiteuse, ne représentent pas la vision du sexe par les femmes. Chaque femme est libre d’explorer sa sexualité selon ses envies. Merci de respecter les femmes, nous sommes si douces et si belles, et surtout nous sommes douées de conscience 😉

 

Retrouvez toutes mes histoires érotiques dans ma rubrique Kmille raconte.

Retrouvez les aventures de Karine dans mon e-roman « Aux services du vieux pervers » qui prend naissance avec Lutte des classes.