La cabane de chasseur par Jedi18

 

***

Par une belle matinée ensoleillée de printemps, Cécile décida d’aller faire un petit footing.

Comme à son habitude elle enfila sa tenue rose et noire. La température étant clémente elle opta pour son débardeur qui lui laissait le ventre à l’air et le cuissard qui s’arrêtait au genoux et qui surtout lui faisait les fesses bombées.

Ses baskets aux pieds elle quitta sa maison et pris la direction du petit bois.

Rapidement la cadence qu’elle s’infligeait lui fit couler des gouttes de sueur. Elle les sentait couler entre ses seins et le long de son dos. Elle avait déjà parcouru 3 ou 4 kilomètres lorsqu’elle décida de faire demi tour, après la petite cabane de chasseur.

Alors qu’elle s’approchait de la cabane elle entendit de petit gémissement. A la fois inquiète et intriguée elle s’arrêta et s’avança prudemment de la cabane …

Les gémissements étaient de plus en plus forts. Elle regarda au travers de la fenêtre et aperçu de dos un homme nu …

*

Il devait mesurer 1m90, les épaules larges et des cuisses musclés. Son bassin semblait faire des mouvements de va et vient.

Immédiatement Cécile compris que cet homme était en train de faire l’amour à une femme.

Les gémissements continuaient de plus bel. Les mouvement de bassin de l’homme étaient puissants et très rythmés.

Cécile était hypnotiser par les fesses de l’homme qui allait d’avant en arrière. A cet instant elle pensa à son amant Greg et inconsciemment sa main commença à descendre au niveau de son pubis.

L’homme administra une claque sèche sur les fesses de sa partenaire.

— C’est à toi de travailler un peu maintenant.

L’homme se décala, Cécile pu enfin voir son visage, un bel homme au trait fin et une barbe de 3 jours. Pour la première fois elle pu apercevoir son sexe. Fièrement en érection, rarement Cécile n’en avait vu d’aussi gros. Maintenant elle comprenait mieux les gémissements …

La femme quand à elle était penchée en avant sur une table. Elle se releva. Sa longue chevelure brune recouvrait en partie ses seins. Elle devait bien mesurer 1m70 et avait des courbes quasi parfaites. L’homme s’allongea sur la table et sa partenaire se coucha sur lui.

De sa cachette, Cécile avait une vue parfaite sur la scène.

Rapidement la femme s’empala sur le vigoureux pénis de son partenaire. Elle lui tournait le dos et faisait face à Cécile.

Les deux amants étaient tellement excité qu’ils ne l’avaient pas remarqué, pourtant elle s’avançait de plus en plus à la fenêtre. L’envie de ne louper aucun détails devenait plus intense que le risque de se faire voir.

Cécile avait désormais la main sous son cuissard. Comme souvent elle n’avait pas mise de culotte et ses doigts avaient rapidement trouver le chemin de son clitoris. Elle jouait avec son bouton au même rythme que la femme chevauchait son amant. A cet instant Cécile ne savait plus si elle était derrière la fenêtre ou bien si c’était elle qui était assise sur ce divin pénis.

Image d'illustration - La cabane du chasseur

Kmille en train de se caresser …

La femme accéléra encore ses mouvements. Ses fesses venaient heurter violemment les cuisses de l’homme. Cécile n’en pouvait plus elle retira son débardeur pour pouvoir caresser ses seins. Ses mamelons étaient dressés comme pour donner la direction à suivre vers les deux amants. L’homme poussa soudain un râle de plaisir, ses fesses se contractèrent et il souleva le bassin comme pour pénétrer au plus profond de sa partenaire. La femme stoppa ses mouvements et s’appuya sur les cuisses de son homme. Elle aussi laissa échapper un cri de plaisir. Le couple avait réussi à jouir en même temps. A sa grande surprise, Cécile aussi laissa échapper un petit bruit. Heureusement ils ne l’entendirent pas.

Les deux amants restèrent quelques minutes couché ensemble sur la table puis ils se r’habillèrent. Ils étaient en tenue de randonnée. Rapidement ils quittèrent les lieux, laissant Cécile, seule et choquée de cet instant de plaisir qu’elle venait de vivre.

Elle attrapa son téléphone dans sa poche.

— Greg ? Viens me rejoindre dans la cabane de chasseur du petit bois. J’ai une surprise pour toi …

Fin … ou pas !?

***