Eva et ses fesses au Cap d’Agde : partie 1

 

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Je m’appelle Éva et je vais beaucoup parler de mes fesses. Mais ne croyez pas que je fasse une fixation sur cette partie de mon corps, ce sont les Messieurs qui s’intéressent spécialement à elles. Moi, je suis nettement moins emballée. J’aurais préféré que ce soit un peu plus équilibré, un peu moins de fesses et un peu plus de seins, que du 85 B.

Un ami m’a dit un jour « Tu pourrais jouer au volley avec des Brésiliennes sur la plage d’Ipanema, c’est ton cul qu’on regardera ».

C’est trop gentil et c’est même trop, tout court. Entendons-nous, j’ai de belles fesses … mais un peu moins bombées, ce serait largement aussi bien !

Seul avantage, et non des moindres, ça plaît énormément aux hommes. Sinon, physiquement, je ne suis pas mal … et même mieux que ça. Il paraît que je suis carrément séduisante, malgré mes petits seins et mes grosses fesses. Je suis blonde avec de grands yeux gris, grâce à ma grand-mère Suédoise.

Je n’ai jamais connu mon père, j’ai même l’impression que ma mère ne sait carrément plus qui c’est. Elle a 38 ans et elle est belle. C’est d’elle que je tiens ma taille mince et mes fesses bombées.

Ma mère est une servante. On dit qu’il n’y a pas de sots métiers, mais certains sont quand même plus glorieux que d’autres. Elle travaille depuis une quinzaine d’années pour la même famille. Je la connais bien, puisque, le mercredi après-midi, je devais rejoindre ma mère pour l’aider à faire la lessive et à l’étendre.

Ses patrons ne sont pas méchants, mais ce sont des patrons. Il y a Monsieur, Madame, Monsieur Louis et Mademoiselle Évelyne, c’est comme ça que je devais aussi les appeler, quand j’allais aider ma mère. Ils ne se gênaient pas pour me dire : « Éva, apporte-moi un Coca » ou « On a sonné, va ouvrir ». Quand je m’en plaignais un peu à ma mère (Après tout, ce n’est pas moi la bonne) elle me disait « quelle importance … ».

Les patrons de ma mère tiennent beaucoup aux usages : uniforme, révérence, sonnette pour appeler la servante … toute la panoplie.

Je dois avouer que je trouve ma mère sexy dans son uniforme, avec son tablier blanc. Ses fesses sont bien mises en valeur, surtout quand elle nettoie à genoux. Disons que j’ai des sentiments ambigus en ce qui concerne son travail. Jouer à être la bonne, oui, en être une, certainement pas.

Je me suis toujours dit : « Je serai médecin ou avocate. Je gagnerai beaucoup d’argent et c’est moi qui aurai une bonne. »

Hélas, je n’ai pas brillé dans les études. Je viens d’avoir péniblement mon bac. Pour échapper à ma condition de prolétaire, il me reste les rencontres. Ce n’est pas convenable, mais je ne suis pas farouche … du tout et je plais aux hommes.

Cet été, ma mère devait partir au Touquet avec ses patrons. J’ai décidé de partir seule dans le midi et plus spécialement au Cap d’Agde. Je m’imaginais nue, sur la plage, me faisant draguer par de riches jeunes gens. Je ne comptais pas rester seule longtemps et j’allais me servir de ce que j’ai de mieux, mes fesses. Mes petits moyens m’ont obligée à faire le voyage en car.

Paris – Marseille, c’est 12 heures. Ensuite, j’ai pris un autre car pour Béziers et un dernier pour le Cap d’Agde. Quel voyage ! Bien sûr, on m’a draguée pendant ce voyage, j’ai même flirté pour passer le temps … Ce n’est pas que j’ai le feu au cul, mais je ne suis pas une ville fortifiée qui ne se rendra jamais : si un homme me plaît, je suis le genre de ville qui va lui remettre les clés en disant « Bienvenue, étranger. »

Dans la vie, je ne me laisse pas faire, mais sexuellement, ce n’est pas du tout la même chose. Je l’ai su très tôt. À une époque où je ne savais ni lire ni écrire, ou à peine, j’ai vu un film à la télé du genre « Les mille et une nuits » dans lequel il y avait des esclaves obligées d’obéir, sous la menace du fouet. Ça m’a tellement impressionnée que j’ai voulu écrire le mot « esclave ». Je savais déjà écrire un S, alors j’ai demandé à un oncle comment on écrit « clave » pour faire s-clave. Il m’a répondu « ça n’existe pas ». Depuis lors, dans mes rêveries, je suis une esclave dans un harem. Avec un partenaire, presque sans m’en rendre compte, je me retrouve à genoux ou à tendre mes poignets croisés pour qu’il maintienne fermement son … esclave.

Dès que je suis sortie du lit, je redeviens « normale », même exigeante par moment !

Bref, je suis au Cap d’Agde avec mon sac à dos. Je vais dans le village naturiste et je me déshabille dans un coin. C’est vite fait, je n’ai qu’un mini-short en jean et un tee-shirt.

Image d’illustration – Mia Raconte : Eva et ses fesses au Cap d’Agde

Quelle impression délicieuse … Le vent léger fait se dresser la pointe de mes seins et ébouriffe les poils de mon minou. Je me promène, émue, dans le village. Presque tout le monde est nu. Ceux qui sont habillés doivent être des ouvriers venus faire un travail dans le village. Les policiers aussi, je suppose. Il y a de tout : des beaux, des moches, des minces, des gros, mais dans l’ensemble, pas mal de belles filles. La concurrence va être rude.

Presque toutes les femmes ont la chatte épilée ou au moins toilettée, je dénote avec mon minou en friche !

Dans la galerie marchande, tout le monde est nu. Même les femmes dans les fauteuils du coiffeur. Première chose à faire : trouver un petit hôtel bon marché. J’entre dans un magasin de journaux et je m’adresse à la grosse dame blonde et nue, d’une cinquantaine d’années, en lui disant :

— Pardon madame, je viens d’arriver et je cherche une chambre pas trop chère.

Avec un fort du Midi, elle me répond :

— Malheur, pitchounette ! Tout est hors de prix, ici. Tu dois aller à Agde Ville, ou encore mieux, à Béziers.

Je prends ma mine d’esclave du harem qui a peur de se faire fouetter pour lui demander :

— Et du travail, Madame, vous croyez que je pourrais en trouver ?

Elle me regarde en hochant la tête :

— Mignonne comme tu es, c’est possible … Tu pourrais être serveuse.

Pfff … serveuse ça ressemble fort à bonniche, mais bon :

— Oui Madame, certainement.

Elle écrit une adresse sur un morceau de papier et me dit :

— C’est mon beau frère, tu peux lui expliquer que tu viens de la part de Mireille.

Je la remercie grandement. Elle m’indique le chemin, puis m’embrasse sur la joue, ses gros seins contre ma poitrine menue, en disant :

— Bonne chance pitchounette.

Je me retrouve dans le village. Oh ! Tout le monde est nu et … Oh, moi aussi !

Je me rends à l’adresse de la dame. C’est le long d’un canal. Il s’agit d’un restaurant qui s’appelle « Chez Bruno ». Il y a aussi une terrasse vers l’avant et on entre d’abord dans un bar.

J’entre. Il y a là un gros moustachu d’une cinquantaine d’années derrière le comptoir et une dizaine de clients qui doivent être des gens d’ici. Des ouvriers, ou des marins qui s’occupent des bateaux. Ils sont nombreux sur le canal, devant nous. Ce qui est surprenant, c’est qu’ils ont tous des vêtements. Moi, je suis nue comme un lombric le jour de sa naissance au milieu d’une dizaine d’hommes habillés.

Je lui dis :

— Bonjour Monsieur. Je viens de la part de Mireille du tabac-journaux.

— Oui, c’est ma belle-sœur. Tu veux retenir une table pour ce soir ?

Je suis devant le bar, face au patron, et je sens des dizaines d’yeux posés sur mes fesses … C’est gênant et troublant.

— Elle m’a dit que vous cherchiez une serveuse.

— Oui, j’ai une serveuse qui m’a lâché. Tu as déjà travaillé dans la restauration ?

Pas la peine de mentir !

— Non monsieur, mais je suis motivée et je travaillerai dur.

Un client derrière moi fait remarquer :

— Elle n’a pas d’expérience, mais elle a mieux, tourne-toi petite et montre ton dos au patron.

Je comprends très bien ce qu’il veut dire. En rougissant de nouveau, je me retourne. Le patron fait « fffwwwwwiiiii », il siffle, quoi ! Il dit :

— C’est vrai que tes fesses, ça vaut tous les certificats.

Tout le monde rigole. Enfin, moi, à moitié.

— D’accord, je te prends à l’essai.

— Merci beaucoup …

— Attends. Le travail est dur. Tu devras aider au nettoyage de 10 à 11 heures avec les autres, puis faire le service, ici, dans le bar et sur la terrasse de 11 heures à minuit. Ah oui, c’est quand même 14 heures de travail ! Et du nettoyage comme ma mère ! Du nettoyage toute nue, ça doit être très spécial ! Mais quel autre boulot pourrais-je trouver ? Et puis … j’essaie de trouver des raisons d’accepter, je ferai des rencontres …

Ce qui serait décisif, c’est qu’il puisse me loger. Je lui dis :

— Je dois aussi trouver une chambre, pas chère.

Un des clients me dit :

— Tu peux venir chez moi, j’ai un grand lit.

Gros rires.

Je suis consciente, à nouveau, qu’ils regardent tous mes fesses.

— Il y a une petite chambre ici, tu peux la partager avec une autre serveuse.

Dans ces conditions … Je lui tends la main, paume vers le haut en disant :

— Je suis votre nouvelle serveuse.

Il tape sur ma paume. On a conclu l’affaire, comme des marchands de chevaux …

Un client lui dit :

— Elle peut commencer tout de suite, Bruno ? On lui donnera des conseils.

— D’accord. Dépose ton sac ici, petite.

Je le dépose et sans mon sac, je me sens vraiment nue au milieu de tous ces hommes.

Le patron me dit :

— Tu t’appelles comment ?

— Éva, Monsieur.

Aussitôt un des clients m’appelle :

— Éva, apporte-moi un petit Ricard, mon petit.

— Et moi, un paquet de chips, Éva.

— Et un perroquet.

Bon, Éva, bouge-toi le cul ! Je vais derrière le comptoir, je prends un petit verre et je demande au patron :

— C’est bien les verres pour le pastis ?

— Oui.

Je prends la bouteille de Ricard, je la renverse, la mesure se remplit et je la verse dans le verre. J’ouvre le frigo. Le patron me montre où sont les glaçons.

J’en mets deux dans le verre et je remplis une petite carafe, d’eau. Je place le tout sur le plateau, que je tiens à une main par en dessous. Mes fesses et moi, on apporte la conso. Les clients m’applaudissent.

Je salue en m’inclinant, montrant à nouveau au patron à quel point je suis faite pour ce métier. Puis, me tournant vers lui, je salue à nouveau, le dos tourné aux clients. Je suis applaudie de plus belle. C’est trop facile, si j’étais plus souple, j’embrasserais mon fessier sur les deux joues !

D’accord, serveuse, ça ressemble fort à servante. Mais là, je suis sur un petit nuage. Il ne me manque qu’un beau jeune homme riche dans une belle voiture. Je vais apporter les chips, le perroquet (Un pastis avec du sirop de menthe) et le ballon de rosé.

Le patron me donne une ceinture avec une petite sacoche pour remettre la monnaie. Même avec cette sacoche à la taille, je me sens très nue. Je suis émue, pour ne pas dire humide …

Bon, je me doute que le patron ne m’a pas engagée juste pour mes beaux yeux et mes belles fesses, il a sûrement des idées derrière la tête. Ce soir, je risque bien de passer à la casserole. Il ne me plaît pas, mais rien n’est parfait et puis il a l’air sympa. Alors, il y a un truc : la levrette ! Ni vu ni connu, je pourrai m’imaginer que c’est un riche play-boy qui me baise.

Il est obligé de m’expliquer beaucoup de choses, mais il est gentil et puis ses clients sont contents, donc lui aussi.

A suivre

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Si vous aimez cette histoire, dites-le dans les commentaires et vous pourrez lire la deuxième partie cet été. En attendant, il y aura d’autres récits sur le blog de Kmille 😀

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