Divine serveuse par Wolvie : partie 2

 

***

Aurélie semble apprécier, ses gémissements se font de plus en plus forts, m’encourageant à y mettre encore plus d’ardeur et de passion. Ma langue en elle et mon nez finissant par caresser son clitoris, il n’était désormais plus question de champagne tarit depuis quelques secondes déjà. Le souffle court et ses petits râles qu’elle étouffait avec le bouchon de la bouteille de champagne logé dans sa bouche, Aurélie était en train de convulser grâce au châtiment divin de ma langue qu’elle avait attisé. Petit à petit, se positionnant de manière plus confortable sans me laisser arrêter, Aurélie se retrouve désormais assise face à moi, les cuisses autour de ma tête plongée dans sa vulve. Sa main droite alternant entre des caresses dans mes cheveux et de les saisir pour appuyer ma tête plus fortement sur sa chatte.

Ses encouragements initialement délicats et classieux, commençaient à se transformer en langage beaucoup plus cru. Les deux m’excitent, mais ces mots crus me font un de ces effets. Et sa chatte douce et juteuse, je m’en délecte sans fin. Je peine à réaliser comment nous en sommes arrivés là, mais je compte bien faire en sorte qu’elle ne regrette pas la moindre de ses avances. C’est alors que je décide de poser mes mains sur ses fesses dans cette position pour la dévorer avec encore plus d’acharnement et il n’en fallu pas plus pour sentir quelque chose s’écouler sur mes lèvres, recouvrir ma langue.

— Putain continue, je suis en train de mouiller abondamment ! Oh oui, mon salaud ! Bouffe ma chatte de putain ! Ma petite chatte de chienne en manque !

Je sens désormais ses deux mains sur ma tête qui appuient encore plus fort pour son plus grand plaisir. Son nectar inondait mon visage qui encaissait des convulsions de plus en plus intenses accompagnées par des cris aussi excitants que plaisants. Jamais je n’avais réussi à faire jouir une femme aussi fortement. Est-ce l’alcool qui me rend plus doué ? Est-elle plus sensible que les autres femmes avec qui j’ai été ? Je n’en sais rien. Ce que je sais, c’est que cette somptueuse brune aux yeux bleus hypnotiques s’offre à moi et apprécie fortement ce que je lui offre.

Le belle ne convulse plus. Son souffle fort indique l’effort surhumain qui lui a fallu pour encaisser telle jouissance. J’en profite pour sortir ma langue de son antre et lui caresser l’entrée sans oublier de titiller son clitoris bien gonflé, en la regardant satisfait de mon effet. Aurélie descend du comptoir et sort deux bières du frigo qu’elle décapsule et en pose une sur la table installée devant une banquette dans un coin du bar l’autre qu’elle englouti rapidement.

— Il ne faudrait pas se déshydrater, mon ange. Ta langue est divine, regarde, j’en dégouline encore. Viens t’asseoir à côté de moi.

Je ne me fais pas prier et suit son déhancher excitant qui dévoile quelque chose que je n’avais remarqué plus tôt : la coquine à les fesses bien occupées. Cette absence de timidité est sans doute due à l’alcool qui prend le dessus, probablement le goût de son minou qui me hante.  Je m’assois à côté d’elle, toute nue, et nous discutons. De tout, de rien, de ses fantasmes, de ses envies, des miens. Régulièrement elle en profite pour m’embrasser à pleine langue. Notre dizaine d’années de différence ne semble pas la gêner. Encore moins mon physique, puisqu’elle n’arrêtait pas de me rappeler qu’elle aimait en avoir plus à « aimer ». Quant à ma timidité, elle trouve cela mignon de me dévergonder de la sorte.

Nous rigolons, nous nous enlaçons, nous nous embrassons.

A un moment, elle décolle même ses fesses de la banquette et retire son plug en se plaignant l’inconfort d’être assise sur la banquette trop rigide, puis dépose l’objet préalablement inséré dans son derrière, devant moi, me narguant presque de venir d’un endroit que je n’avais jamais visité chez aucune femme, et encore moins d’une beauté pareille. Vu la taille de l’objet, elle doit être bien écartée la coquine.

A peine le plug posé et son derrière reposé, qu’elle glisse sa main sur mon jean et le déboutonne en me disant : « Laisse-toi faire, mon ange », avant de l’insérer à l’intérieur de mon boxer pour masturber délicatement de haut en bas ma verge déjà bien dressée par le spectacle qu’elle m’a offert plus tôt. Ses lèvres sont occupées à jouer avec les miennes.

Son mouvement se fait de plus en plus rapide, ses baisers plus fougueux et joueurs, puis elle arrête de m’embrasser. Aurélie me regarde, l’air coquin, se pourlèche les babines et baisse sa tête au niveau de mon entrejambe…

D’un petit coup de langue pour commencer, elle ne se fait pas prier et me mange le gland avec envie avant d’avaler ma tige de manière acharnée. La belle ne me lâche pas du regard malgré tout et continue de me sucer de la sorte en me branlant d’une main. Puis elle stoppe et me lèche la queue sur toute sa longueur. Je baisse un peu plus mon boxer et mon jeans et en voyant mes testicules, Aurélie les gobe sans retenue tout en continuant de m’astiquer. Elle alterne entre fellation et dégustation de bonbons de manière experte. Je dois être loin d’être sa première queue qu’elle prend en bouche, mais c’est clairement la première bouche qui me fait autant de bien. Sa langue délicate qui parcourt le moindre centimètre de mon sexe, ses lèvres pulpeuses qui enveloppent chaleureusement et avec envie mon chibre, et son regard… Oh putain son regard ! Je me demande encore comment il ne m’a pas fait juter !

Mais le téléphone du bar vint casser l’ambiance décontractée et relaxante qui s’était installée. Elle quitte sa dégustation, puis m’embrasse.

— Merde, ça doit être mes parents, j’ai oublié qu’ils appellent tous les jours pour voir comment cela s’est passé ! Ne fais pas de bruit, je m’en débarrasse rapidement et je reviens à toi.

— Je vais en profiter pour aller aux toilettes alors.

*

Les toilettes de ce bar sont somme toutes classiques : Deux lavabos, deux urinoirs et deux cabines de toilettes. Les éternels savons et rouleaux de papier ornent le dessus du lavabo, tout comme un distributeur de préservatifs. C’est alors que je me suis rappelé d’un de ses fantasmes qu’elle m’a avoué quelques dizaines de minutes plus tôt : se faire prendre par surprise, au moment où elle s’y attend le moins. L’alcool influe nettement sur ma manière de penser, jamais je n’aurais imaginé envisager ce genre de choses ni être dans une telle situation.

Mais ma queue est encore toute dure et Aurélie m’a dit qu’elle voulait que je me dévergonde et que je lui fasse tout ce dont j’avais envie. Comme j’en avais envie.

Je me dénude dans les toilettes après avoir pris une boite de préservatifs du distributeur, j’en enfile un sur mon sexe bien dur et encore dégoulinant de la bave d’Aurélie. Je sors discrètement des toilettes, elle est encore au téléphone avec ses parents, assise sur une chaise haute et accoudée au bar, son arrière train fortement cambré. Elle ne me voit pas, son postérieur m’est offert.

Je n’ai que 3 secondes d’hésitation, au lieu des 10 ans habituels, en m’approchant d’elle le plus discrètement possible pour dissimuler ma présence à son interlocuteur, mais aussi pour maintenir la surprise.

Me voilà bien derrière elle, le brin de lucidité non affecté par l’alcool me fait hésiter encore un peu, puis je cède et enfonce mon engin dans son anus. Aurélie essaie d’étouffer sa surprise, mais apparemment difficilement, puisqu’elle s’invente une blessure en nettoyant un soit-disant verre cassé, pour justifier à son interlocuteur ce petit cri.

Je suis dans son cul. Je ne bouge plus et la vois retourner sa tête, toujours accoudée et en train de parler avec ses parents. Elle me regarde d’un œil demandeur et se mordille les lèvres. Se saisit d’un bloc note situé à côté, elle venait de noter des informations , elle déchire la feuille de son bloc pour écrire un nouveau message : « Continue ! Encule-moi comme ça, ça m’excite, je suis ta chienne ! »

J’étais déjà bien lancé, pris de panique de se faire repérer par ses parents, alors pourquoi m’arrêter ?  Et elle demande. Alors je commence de légers va-et-vient dans cette anus bien accueillant, ma main droite vient malaxer son sein. De sa main libre, elle la dirige dans son entrejambe et nous touchons son clito vivement.

L’excitation me prenait aussi et je commençais à perdre ma retenue, pris par l’action je claque fortement son cul. Là encore, cela ne la dérangea pas, loin de là, mais pour ses parents, cette première fessée est connue, comme le carnet de compta quotidien qui vient de tomber par terre. Quant à la deuxième, elle sera connue… comme étant le cahier de compta qui est retombé par terre.

Voyant qu’elle a du mal à se retenir de crier de plaisir et à trouver des excuses bidons pour justifier le fait qu’elle adore se faire fesser, Aurélie coupe court à la conversation avec ses parents, prétextant une envie pressante d’aller aux toilettes, puis raccroche.

A peine le combiné raccroché, elle pousse un cri de plaisir qui vient du fond du cœur et l’accompagne de petits cris en harmonie de mes coups de reins.

— Oh putain, c’est trop bon ! Si tu savais comment ça m’a excité que tu m’encules par surprise. Mais en plus pendant que je suis au téléphone avec mes parents, je n’y avais jamais pensé, tu m’as fait mouiller d’excitation ! Prend-moi plus fort ! Claque-moi le cul ! J’aime sentir ta queue défoncer mon trou !

Je ne sais pas ce qui m’a pris. Je me saisis de ses cheveux, et les tire bien en arrière, la forçant à se redresser un peu. Puis lâchant ses cheveux, j’entoure mes doigts délicatement, sans serrer, autour de sa gorge et continue de la pénétrer. Sa réaction m’a surprise, pas autant que mes actions précédentes, mais quand même : « Serre plus fort.»

— Comment ?

— Etrangle-moi pendant que tu m’encules, je t’en supplie maître… C’est trop bon ! Oui, comme ça ! Oh putain ! Merci, maître ! Encore… encore maître !

Rien qu’à l’entendre, je bande plus fort et m’active encore plus dans son anus. Les doigts de ma main gauche sont autour de son cou, je vois dans le miroir du bar face à nous qu’elle commence à avoir les traces de mes doigts.  Elle ne me lâche pas du regard, ses yeux crient : « Encore ! Plus fort! ».

Elle gémit fortement et je ressens sur mes doigts excitant sa vulve, dégouliner à nouveau de la mouille. J’imbibe bien mon index et mon majeur de ce précieux nectar, puis les porte à sa bouche, elle les avale sans hésitation et les suce avec gourmandise.

Je retire alors ma queue de ses fesses, puis tapote son popotin avec cette massue de chair dressée grâce à elle et rien que pour elle.

Cette fois-ci, c’est moi qui lui propose un petit jeu : « Tu veux rebondir ? ».

*

Ses yeux brillants d’envie montraient sans hésitation qu’elle avait compris ce qui allait se passer. Je monte à mon tour sur le comptoir et m’allonge dessus. Alors qu’elle allait les retirer, je la stoppe : « Garde tes bas et tes talons ! ».

— Tu aimes comme ça ?

— L’état de ma queue devrait t’avoir donné la réponse. T’es hyper sexy.

Aurélie s’approche de mon visage, m’embrasse, puis fait demi-tour pour me présentant ses fesses. Je les attrape sans la laisser finir de s’installer sur ma verge et glisse ma langue sur sa rondelle bien écartée, bien dilatée avant de l’insérer un peu et la caresser ainsi pendant deux petites minutes. Ses mains, appuyées sur mes cuisses commencent à les serrer, et rapidement ses ongles pénètrent ma peau, pris par le plaisir de ma torture.

Je libère mon emprise, puis la laisse finir ce qu’elle voulait faire. Elle se saisit d’une des capotes de la boite laissée sur le comptoir, puis dandine son derrière pour m’hypnotiser. Je lui écarte ses fesses et caresse de mon pouce son anus, je la sens se dandiner de la tête. Je suis surpris ! Elle est en train de sucer une des pompes à bière sur laquelle elle a enfilé le préservatif !

Je ne comprend que trop la raideur de l’objet. Pour avoir été préalablement passé entre ses lèvres expertes, si cela avait été un vrai pénis, il se serait déjà écoulé de son précieux liquide enivrant qui parcourait ses tuyaux. Quelle gourmande ! Elle n’hésite pas à enfoncer au maximum de ce qu’elle peut, faisant disparaître quasiment à chaque fois la poignée en bois de la tireuse.

Les quelques regards qu’elle me jette,  avec cet objet encombrant sa bouche ne faisait rien pour aider à calmer ni mon excitation, ni la sienne.

C’est après je ne sais combien de temps de ce spectacle littéralement bandant qu’elle éloigne sa bouche comblée.

— Maître, vous voulez que je rebondisse dans quel trou ?

— Celui qui te fera plaisir, mais on n’est pas obligés de s’en contenter d’un seul tu sais.

— Hanhan ! Vous  êtes très cochon finalement, vous savez, j’adore ! Mais je vais vous montrer et vous choisirez celui dans lequel vous voulez d’abord.

Aurélie se positionne au dessus de la tireuse et s’assied dessus, fesses les premières, elle fait des va-et-vient réguliers dans son petit cul.

— Ce trou, vous y avez déjà goûté. Il adore votre grosse queue et veut la recevoir à nouveau. Regardez comment mon anus s’écarte facilement. Vous m’avez bien dilatée.

Cette belle cochonne monte et descend le long de la pompe sensuellement, les jambes bien écartées pour me présenter sa chatte pendant qu’elle rempli son cul de cet objet de plaisir de fortune.

— Huuuum. Ca rentre tout seul, coquine. Tu n’est pas à ton premier essai on dirait.

— Han han. C’est le premier truc que je me suis mis dans les fesses en jouant avec des copines à « Action ou Vérité» quand j’avais 16 ans. On était saoules, toutes les cinq. Et c’est parti en sucette ! Ce qui était problématique sans garçons sous la main, alors on a fait avec les moyens du bord.

La regarder ainsi me fit instinctivement poser la main sur mon sexe pour le masturber. La belle ne quittait pas ma queue des yeux, le regard empli d’envie, la bave dégoulinant de ses lèvres.

— Vas-y, ça m’excite terriblement de te voir te branler pour moi… et devant moi. Astiques-toi bien vite, à l’allure que tu aimerais que je rebondisse sur toi. Oh oui, putain, j’ai envie de retrouver ta grosse queue en moi. La sentir me remplir les trous et se frotter contre mes parois toutes serrées et qu’avec, tu me fasses hurler de plaisir.

Mais ce n’était pas suffisant pour la déloger de la pompe. Trop éloignée de mon membre pour le toucher, le goûter, le lécher, Aurélie se retire alors de la pompe et se retourne, me montrant l’énorme cratère qu’est devenu son anus en prenant bien soin d’écarter ses fesses afin d’en augmenter l’effet. Elle approche son popotin ainsi de mon visage et instinctivement, langue la première, je la pénètre pour goûter à nouveau sa caverne sombre et excitante, profitant de la posture pour me léchouiller le gland après avoir craché dessus sans aucune retenue.

Puis sans crier gare, elle s’éloigne de moi pour se rapprocher de cette pompe en se positionnant comme précédemment avant de s’y asseoir à nouveau, ce coup-ci dans son sexe.

— Et celui-là a hâte que tu le remplisses. Ma chatte dégouline d’envie de t’accueillir, de sentir ta grosse queue me bourrer l’intimité. Regardes comme ça glisse bien. Avant d’avoir les moyens d’acheter un sextoy, je me glissais dans le bar alors que tout le monde était endormi et je faisais joujou avec, ainsi qu’avec d’autres choses. Mon cul à été le premier que la pompe a visité, mais ma chatte a dégouliné comme jamais avec. Rares sont les hommes qui peuvent en dire autant.

— Alors ? Lequel veux-tu prendre ?

Voyant mon indécision, Aurélie de plus en plus impatiente me dit de faire vite : « Dépêches-toi de choisir si tu ne veux pas que je change d’avis et ne te laisse pas rebondir. ».

Les flammes de la défiance et du désir brûlent dans les yeux d’Aurélie. Elle bave littéralement sur mon sexe et vient frotter sa chatte contre ma verge, comme si elle utilisait son minou en guise de massage. Les mains de la belle à califourchon se positionnent sur mon torse tout en continuant de dandiner son bas ventre. Petit à petit, ses déhanchements permettent à ma queue d’entrer en elle. Aurélie est prise d’une frénésie et me chevauche comme une bête sauvage, rentrant ses griffes dans ma peau et faisant tout le travail à elle seule. Ses seins gigotaient fortement et je ne m’empêche de les saisir pour les malaxer et jouer avec ses tétons. De temps en temps, j’arrête, une de mes mains pour claquer le cul bombé de cette cochonne.

J’ai du mal à tenir le rythme des pénétrations de cette tigresse. 2 minutes que cela dure. Si ça continue, je vais juter alors que je désire tant lui donner encore plus. Tant prolonger cette rencontre formidable avec cette demoiselle sublime.

Mais la voilà qui s’arrête et retire ma verge de sa chatte encore plus trempée qu’avant, elle me tourne le dos pour s’allonger sur moi. Avec ses fesses, elle titille ma verge, je lui caresse la poitrine, le ventre, lui embrasse le cou alors qu’elle balance ses bras en arrière pour entourer le mien.

Tout en continuant de jouer avec ma queue de ses deux joues bombées, elle reprend son souffle avant de me dire : « Tu veux bien me la remettre dans le cul, comme ça ? Mes bras sont occupés. ».

*

Je ne me fais clairement pas prier. Retourner dans cet anus bien ouvert et confortable. Je glisse ma main sous ses fesses, cherche ma verge collée contre elle et en lui faisant lever un peu les fesses, dirige mon éperon droit en elle. C’est alors qu’elle rebondit, qu’elle glisse sur mon chibre. Mes mains de plus en plus baladeuses explorent son corps, ses seins, sa peau, ses bras. Je ne sais pas ce qui me prend. L’alcool n’est plus à blâmer : quelque chose s’est déclenché en moi depuis tout à l’heure. De mon bras droit, je la saisi juste sous ses seins les comprimant vers le haut, ma main serre son mamelon, laissant son téton tout juste dépasser entre deux de mes doigts que je m’amuse à serrer. Mon autre main se met à explorer une nouvelle fois son minou et son clito avant de s’infiltrer dans son intimité.

Ses mouvements de bassin sont de plus intenses et son anus se serre de plus en plus autour de ma verge alors que mes doigts visitent l’autre entrée.

La respiration d’Aurélie est haletante, ses cris de plus en plus intense et plus elle s’active sur ma queue sur le point de jouir, plus j’ai des pulsions violentes. Non pas pour lui faire du mal, mais pour lui faire du bien. Ma main gauche entre quelques va-et-vient de mes doigts en elle, se met à lui claquer la chatte. Ma main droite, serre encore plus son mamelon et le claque également. J’ai déjà du mal à me retenir, elle m’encourage à lui en faire encore plus. Elle est insatiable. Mais je n’en peux plus de ce tunnel tout serré qui va me faire cracher tout mon venin.

— Oh merde ! Je vais jouir.

— Laissez-vous faire, maître, je vais vous finir comme il faut. »

Aurélie arrête de glisser le long de mon tube et se met à remuer des fesses, mon engin encore inséré. Puis après une dizaine de secondes, elle se redresse et se retire.

La voilà debout au dessus de moi. Putain qu’elle est sexy ! J’y crois pas d’avoir baisé une telle beauté. Elle s’allonge sur moi, m’embrasse en retirant le préservatif, puis en me branlant.

Délicatement, elle descend ses lèvres, déposant régulièrement des baisers sur mon corps, elle les glisse sur la longueur de ma verge, embrasse le gland et m’avale le sexe avec une délicatesse passionnée sans quitter mon regard. Là encore, elle ne fait cela qu’une vingtaine de secondes, puis se remet à califourchon au-dessus de moi et caresse ma queue avec sa chatte. D’avant en arrière, de plus en plus vite. Ses lèvres inférieures enserrent mon pénis prêt à expulser ma semence.

La sauvagerie préalable était redevenue sensuelle. La voilà qui fait expulser par saccades mon jus qui s’éparpille sur mon corps, atteignant même mon visage. Voyant que plus rien ne sort, elle se lève et me reprend en bouche pour s’assurer qu’il ne reste plus rien.

Délicatement, Aurélie embrasse et lèche les petites flaques de sperme éparpillées sur mon torse, sur mon corps et me nettoie soigneusement. A chaque endroit tâché, elle me montre avec sa langue qu’elle a avalé après avoir joué un peu avec ma semence.

Me voilà propre, sauf au visage. Elle se saisit de mon menton d’une fermeté exemplaire et se met à me lécher le visage. Elle ne s’arrête qu’une fois tout nettoyé, puis ouvre grand la bouche et joue avec mon sperme qu’elle mélange avec sa salive.

Que fait-elle ? Elle approche ses lèvres des miennes… trop tard, elle dépose un baiser et je me laisse faire. Sa langue joue avec la mienne, nos salives se mélangent avec ce reste de sperme, elle aspire le tout pour garder dans sa bouche ce cocktail de fluides. C’est très érotique, mine de rien !

La voilà au-dessus de moi, elle fait s’écouler dans un long filet, ce mélange droit dans ma bouche et m’embrasse à nouveau. Mais cette fois-ci, je ne la laisse pas récupérer le tout. Je me redresse et la fait descendre pour l’agenouiller sur le sol. C’est à mon tour d’être au-dessus, je lui fais ouvrir la bouche. Elle tire la langue de bon cœur et je laisse le tout s’écouler droit sur sa langue habile et gourmande, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus rien dans ma bouche.

Elle rentre sa langue bien chargée et avale en jouant avec ses seins alors que je la fouette de mon sexe encore dur contre sa joue, finissant par la faire rougir par ses biffless de plus en lus violentes.

— C’était trop bon maître ! J’en veux encore !

— Donne-moi un petit instant et je t’en promet encore plus.

Fin… ?

***

Histoire coquine ayant participé au concours un Satisfyer pour la journée des femmes